• Dans la série... Vie des médias et mort de la démocratie et de la liberté d'expression...

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    Si Frédéric Taddéi qui anime l'émission Ce soir ou jamais sur France 3 ne reçoit plus depuis longtemps ceux que plus personne ne reçoit, de même Taddéi continue-t-il de recevoir tous ceux que tout le monde reçoit, et en premier lieu... BHL ; c'était le mardi 29 mai sur France 3 et une petite semaine plus tard, sur France culture le dimanche 9 juin, à l'occasion de la sortie de ce qui est censé être un "livre" et ce qui se voudrait un "documentaire", le tout ayant pour sujet, non pas ce que de mauvaises langues nommeront Bernard Henri Lévy lui-même, mais un pays... la Libye... du moins ce qu'il en reste.

    Ni intello chez les intellos, ni philosophe chez les philosophes, ni reconnu journaliste chez les journalistes ni auteur chez les auteurs, mais bien plutôt mercenaire-tribun de sa propre cause, en digne représentant selon les dires de l'intéressé "de la tribu d'Israël", en 2010, BHL s'en était pris à Taddéi dans son bloc-notes hebdomadaire du Point ; un Taddéi, coupable selon lui d’avoir invité à plusieurs reprises Dieudonné.

    Dans son droit de réponse, toujours en 2010, Taddeï expliquera : "... si j'ai reçu plusieurs fois Dieudonné, c'est pour montrer qu'il n'existe pas de lobby interdisant à celui-ci l'accès aux grands médias."

    Mais alors, qu'en est-il aujourd'hui ?

    Taddéi était le dernier à tenir la dragée haute à des individus tels que BHL, véritables épurateurs médiatiques et pourfendeurs impitoyables de toute pensée alternative d’où qu’elle vienne ; il ne l'aura pas tenue longtemps ! A la rentrée de 2011, son émission fut bel et bien amputée, en partie reconvertie dans le cinéma, même si, sans doute à titre de consolation, France Culture lui ouvrit ses micros : Tête à tête, le dimanche soir à 18h. Audience estimée : 5 auditeurs dont deux mal-entendants.

    Avec un Taddéi parti se coucher, et pour longtemps, avec cette mise en sommeil, un peu à l'image des téléspectateurs somnolents face au petit écran, les jours de semaine, après une journée épuisante (travail, transport, enfants, ménage... la vie, la vraie quoi !)... un Taddéi rentré dans le rang, en rangs d'oignons... interviews après interviews d'un BHL qui est partout chez lui (et chez Taddéi plus qu'ailleurs, faut croire !), c'est le dernier projecteur qui s'éteint et le rideau qui tombe définitivement sur la scène de médias, télés et radios privées comme publiques, dont il est vraiment inutile d'attendre la poursuite d'un engagement, même timoré, en faveur de la défense de la liberté d'expression et de ceux qui en font un usage aussi étendue qu'extensif.

    Reste alors Internet : notre bien commun... commun à tous, plus précieux que jamais ! Et même si là aussi, la censure menace, nous ne devons pas cesser de nous organiser et de nous soutenir mutuellement : il en va de la vie de notre démocratie et de la défaite de tous ceux qui souhaitent faire crever cette démocratie, subrepticement, jour après jour, un homme... une voix après l'autre.


     
     

    par Serge ULESKI (son site) vendredi 15 juin 2012


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  • La Russie va renforcer, début juillet 2012, sa flotte de la Caspienne avec le navire projet 11661 "Daghestan". Il sera le plus puissant navire de la flotille de la mer Caspienne.

    Il est prioritairement destiné à la lutte anti-sous marine et anti-aérienne. Premier des navires russes à être équipé de 8 missiles "Kalibr-NK" permettant d'atteindre des cibles sous-marines aussi bien que des navires de surface à une distance de 300 km. 

    Bien qu'une de ses missions possibles puisse être le contrôle de zone afin de faire respecter la zone maritime russe en Caspienne (qui fait l'objet d'un litige avec l'Iran), il est possible que ce pré-positionnement ne fasse qu'anticiper une future présence occidentale sur la rive sud de cette mer en cas d'intervention de l'Otan en Iran.

    Source : svpressa.ru


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  • Vichy et la Shoah

    Enquête sur le paradoxe français


    Alain Michel (CLD, 402 pages, 25 €,  2012)
       

    Vichy et la Shoah

    Dans un livre dense qui vient de sortir en librairie, l’historien franco-israélien Alain Michel réexamine l’idée selon laquelle «un quart des Juifs de France auraient été exterminés en raison de Vichy et les trois quarts sauvés grâce à des citoyens anonymes».

    Cette idée a été diffusée par l'avocat Serge Klarsfeld et l’historien américain Robert Paxton, auteur d’un livre fameux : La France de Vichy, 1940-1944 (Seuil, 1973).

    Mais Alain Michel ne se satisfait pas de ce manichéisme rassurant et plusieurs observations l’ont amené très tôt à en douter.

    Lui-même issu d'une vieille famille juive de Lorraine n'a entendu dans son enfance que des récits d'une grande banalité à propos de l'Occupation. Sa famille, réfugiée dans le Sud-Ouest, a vécu cette période douloureuse ni plus ni moins mal que les autres gens de la région. Toute autre est l'histoire de son épouse, issue de juifs orientaux qui ont connu les horreurs des persécutions…


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  • Le libéralisme est la matrice originelle de la crise économique.

    par borowic


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  • La crise de l’euro semble s’accélérer. Les acteurs du marché réagissent de plus en plus rapidement aux déclarations et aux décisions des eurocrates.

    Une ruée bancaire en slow motion a débuté depuis l’année dernière, et l’anxiété augmente sur les marchés. Pour Matthew Lynn, de Market Watch, la zone euro va bientôt se disloquer. Lynn pense que cela pourrait avoir lieu dès cet été, et que c’est l’Espagne qui pourrait mettre le feu aux poudres :

    1. Le Spanic (pour « panic in Spain » / Panique en Espagne) Cette panique surviendra lorsqu’il deviendra évident que les 100 milliards d’euros du sauvetage espagnol sont très insuffisants pour résoudre les problèmes du pays et que l’économie continue de se contracter sous la pression de la récession et les coupes budgétaires. Cette année, on s’attend encore à une récession de 1,7% en Espagne, et le marché immobilier continue de s’effondrer.

    En outre, on ne sait toujours pas d’où viendra l’argent du sauvetage espagnol, et combien il aurait fallu en réalité. Si le plan de sauvetage échoue, la ruée bancaire pourrait brutalement s’accélérer pour se transformer en véritable mouvement de panique.

    2. Le Quitaly (pour "Italy’s quitting" / L’Italie part) Le sauvetage de l’Espagne renforce la pression que l’Italie subit sur les marchés financiers. Les banques espagnoles bénéficient de prêts au taux de 3%, tandis que les banques italiennes et le gouvernement doivent se financer à des taux de 6%. Etant la troisième économie de la zone euro, l’Italie doit contribuer pour 22% au plan de sauvetage espagnol. Il est probable que l’Italie va réclamer le même traitement de faveur que l’Espagne, et qu’à défaut de l’obtenir, elle commence à menacer de quitter la zone euro, ce qui provoquera encore plus de chaos sur les marchés.

    3. Le Fixit (pour "Finnish exit" / sortie finlandaise) La crise atteindra son point culminant lorsqu’un des membres de la zone euro annoncera son départ. Et ce sera très probablement la Finlande, affirme Lynn. La Finlande est un petit pays avec une économie forte qui pourrait même mieux se débrouiller hors de la zone euro qu’à l’intérieur. Au contraire de l’Allemagne, le pays ne retire pas de bénéfices substantiels à son adhésion à l’euro, et n’a rien à redouter de son départ. Sur le plan politique, le parti anti-euro des Vrais Finlandais a obtenu de bons résultats lors des dernières élections, et il pourrait continuer de progresser.

    Si les Finlandais quitter la zone euro, c’est la fin de la monnaie unique. Après le départ d’un premier pays, il sera plus facile pour d’autres de quitter volontairement la zone euro.

    Bien entendu, les choses ne se passeront pas sans douleur et il est probable que ce scénario, s’il devait se réaliser, s’accompagnera de chaos et d’agitation sur les marchés. A ce moment-là, assurez-vous de ne conserver dans votre portefeuille que des dollars, de l’or et des francs suisses, conseille Lynn. Parce que le reste n’aura quasiment plus aucune valeur.


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  • note Webrunner : cette video n'est pas accessible sur dailymotion en Espagne


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  •  

    (Boursier.com) -- Quatre années !... C'est la durée estimée par Standard & Poor's pour que le secteur immobilier espagnol purge ses stocks d'invendus. Au cours de cette période, les prix immobiliers espagnols qui ont déjà baissé de 22% en valeur nominale depuis le premier trimestre 2008, pourraient encore fondre de près de 25%.

    "Les prix immobiliers sont une variable clé de la performance de l'économie espagnole", explique Jean-Michel Six, chef économiste de S&P pour l'Europe, l'Afrique et le Moyen-Orient. "Le boom immobilier a créé des déséquilibres insoutenables, comme une offre de logements surabondante, qu'il faudra corriger complètement avant qu'une reprise durable ne s'installe".

    Le poids du secteur de l'immobilier est passé de 22% du PIB en 2006 à 12,7% en 2012. Les stocks d'invendus pèsent toujours fortement sur les prix. Ce stock est estimé à 680.000 logements par le ministère à fin 2011 et à 818.000 par la banque Catalunya Caixa à fin septembre 2011.

    S&P rappelle que l'éclatement de la bulle spéculative immobilière se reflète dans ses projections économiques pour l'Espagne, à savoir une contraction du PIB de 1,5% en 2012 et de 0,5% en 2013...


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  • Créé le 15-06-2012 à 17h37 - Mis à jour le 16-06-2012 à 15h34

    REPORTAGE. Depuis l'émergence de l'extrême-gauche, les Grecs se ruent sur les distributeurs. La police déconseille de conserver de trop grosses sommes à domicile.

     

    Nous l'appellerons Irène. Elle est cadre supérieure dans une banque en bordure de Kolonaki, un quartier chic d'Athènes, et préfère conserver l'anonymat. Le sujet est sensible. Au lendemain des élections qui ont vu émerger Syriza, le parti d'extrême gauche, 700 millions d'euros ont été retirés en une seule journée. Depuis, officiellement : "Tout est rentré dans l'ordre."

    Irène a une autre version : ces quinze derniers jours, les Grecs auraient retiré 7 milliards d'euros. Peur d'un krach bancaire ? Peut-être. Mais surtout crainte d'un retour à l'ancienne monnaie : "Pour 10.000 euros, t'auras 3.000 drachmes." Nikos, patron d'un bar-restaurant branché de Kolonaki, a préféré "assurer" : "J'ai mis une partie de mon épargne à Chypre." Comme beaucoup de ses compatriotes, il est allé au plus près. "Chypre, c'est le plus simple, approuve un consultant en communication, même si là-bas aussi, il commence à y avoir des problèmes." D'autres ont transféré leur épargne dans une banque étrangère pour la mettre à l'abri dans un fonds commun de placement, a constaté Irène. Les plus riches ont depuis belle lurette assuré leurs arrières en Suisse ou à Londres.

    Retraits en liquide

    "Moi, j'ai mis mon argent chez HSBC, nous confie un homme d'affaires. C'est la seule banque qui me permette, sans frais, de jongler entre différents comptes à Londres, Shanghai ou Athènes." Irène assiste aussi tous les jours à des retraits en liquide. Souvent de personnes âgées. "On les met pourtant en garde." Repérés à la sortie des banques et suivis jusqu'à leur habitation, les Grecs qui planquent leur argent sous leur matelas sont une proie facile pour les voleurs. Les infractions à domicile augmentent.

    Le chef de la police nationale, Thanassis Kokkalakis, a dû prévenir :"Evitez de conserver de trop grosses sommes à la maison." Mieux vaut éviter en tout cas de les planquer n'importe où. Un homme se serait fait boulotter toutes ses économies en les dissimulant dans un trou de souris. Personne n'imagine que l'histoire puisse être vraie. Mais elle court la ville.

    Jean-Baptiste Naudet, Nicole Pénicaut et Maud Vidal-Naquet


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    "- Les Juifs ont la finance internationale entre leurs mains?

    Théodorakis : Ils contrôlent une grande partie des finances mondiales.

    - Donc le capitalisme mondialisé d’aujourd’hui est contrôlé très largement par les... Juifs?

    - Puisque nous parlons franchement, je vais vous dire quelque chose d’autre. Les Juifs contrôlent la plupart des grands orchestres symphoniques du monde.

    - Quand j'ai écrit l'hymne national palestinien, l’Orchestre Symphonique de Boston projetait une production de mon œuvre. L’orchestre est contrôlé par des Juifs. Ils n'ont pas permis que le concert se fasse. Depuis lors je ne peux travailler avec aucun grand orchestre. Ils me refusent.

    - Vous avez connu ce problème avec d'autres orchestres aussi?

    - Partout où il y a des Juifs. Partout où il y a des orchestres contrôlés par des Juifs, on boycotte mon oeuvre.

    - Vous avez vraiment l’impression que les Juifs contrôlent largement la musique mondiale?

    - Oui.

    - Idem pour la finance mondiale?

    - En Amérique, la communauté juive est très importante. Elle contrôle largement l’économie. Certainement les médias de masse.
    Que je sois bien clair: Lorsque l’Etat d’Israël a été créé, nous étions du côté d’Israël. Il y avait beaucoup de sympathie pour le sionisme à cause de ce que les Juifs avaient souffert durant la guerre. C’est l’un des côtés des Juifs. Mais la communauté juive internationale constitue également un phénomène négatif. Le peuple juif semble désormais contrôler les grandes banques. Et souvent les gouvernements. Ainsi, si quelque chose de mauvais ou de mal vient des gouvernements, il est normal que les gens ordinaires l’associent aux Juifs.

    - Vous-même, vous pensez que les Juifs, la communauté juive internationale, ont le contrôle des banques, de Wall Street, des mass media?

    - Oui.

    - Et vous dites qu’aujourd’hui la communauté juive, à travers son influence sur Bush, contrôle les affaires du monde?

    - Oui.

    - Quelle est l’influence juive sur la politique de Bush?

    - Je crois que la guerre en Irak et l’attitude agressive contre l’Iran sont largement influencées par les services secrets israéliens.

    - Les Juifs ont-ils tant de pouvoir qu'ils puissent diriger la politique de la seule superpuissance du monde?

    - Il y a un groupe de Juifs qui entourent Bush et contrôlent la politique des Etats-Unis.

    - Ainsi les Juifs tirent les ficelles derrière Bush?

    - Non. Ils sont sur l'avant-scène.

    - L'Amérique, la grande superpuissance, est-elle réellement contrôlée aujourd'hui par les Juifs?

    - Oui.

    - Quelles sont les intentions des Juifs qui contrôlent le Président Bush?

    - Le front principal, ce sont les Arabes. Ils croient qu'en frappant les Arabes, ils pourraient aider Israël à survivre. Ils donnent une solution militaire au problème de l’existence future d'Israël.
     
    (...)
     
    - Mais ce que je n'accepte pas chez les Juifs, c’est ce que je n'accepte pas chez les francs-maçons. La loge maçonnique est un groupe de gens qui s'aident juste parce qu'ils sont membres de cette loge. Cela se produit aussi parmi les Juifs. Particulièrement dans des secteurs sensibles, comme l'art et la musique. Je n'accepte pas cela.

    - Les Juifs ont-ils trop de pouvoir?

    - Dans certains secteurs – oui. Je n'aime pas ces petits groupements qui se soutiennent les uns les autres. Je les considère comme des expressions d'une approche raciste. Les clans nationaux ou religieux ou mafieux sont des excroissances cancéreuses."

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  • R-courtoisie 2012.06.14 Slobodan Despot - ci-git... por Hieronymus20

    Radio courtoisie LJ du 14 juin 2012 animé par Christian Brosio, lequel reçoit Slobodan Despot, écrivain éditeur, pour un entretien sur la défunte Yougoslavie et la géopolitique des Balkans à propos de la parution d’un livre de Alexis Gilles Troude "Balkans, un éclatement programmé"

     

    Propos résumés de S.Despot "la destruction de la Yougoslavie est dûe à l’exploitation par des puissances étrangères de forces de tension intérieure dans la structure de cet état composite, 2 pays ont joué un role majeur, les Etats Unis qui souhaitaient affaiblir la présence russe en Europe et donc leurs alliés les Serbes, mais aussi l’Allemagne qui a pour alliés traditionnels les Slovènes et les Croates également opposés aux Serbes. Ensuite la présence d’un conflit en Europe permettait de justifier la prorogation de l’Otan devenu en principe caduc à la fin de la guerre froide. Enfin la sécession du Kosovo obtenue par ruse et par force a permis aux Etats Unis d’établir une gigantesque base militaire sur le sol européen"

     

    http://editions-xenia.com

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