• Les Khazars (Hazarlar en turc, כוזרים en hébreu, Хазары en russe, Xäzärlär en tatar, Hazarlar en tatar de Crimée, Χάζαροι en grec, خزر en arabe, خزر en persan, Cosri en latin) étaient un peuple semi-nomade turc d’Asie centrale ; leur existence est attestée entre le VIe et le XIIIe siècle après J.-C. Le nom Khazar semble dériver d'un mot turc signifiant errant, nomade (gezer en turc moderne). Au VIIe siècle les Khazars s'établirent en Ciscaucasie aux abords de la mer Caspienne où ils fondèrent leur Khaganat ; une partie d'entre eux se convertirent alors au judaïsme qui devint religion d'État. À leur apogée, les Khazars, ainsi que leurs vassaux, contrôlaient un vaste territoire qui pourrait correspondre à ce que sont aujourd'hui le sud de la Russie, le Kazakhstan occidental, l'Ukraine orientale, la Crimée, l'est des Carpates, ainsi que plusieurs autres régions de Transcaucasie telles l'Azerbaïdjan et la Géorgie.

    Les Khazars remportèrent plusieurs séries de succès militaires sur les Sassanides. Ils luttèrent aussi victorieusement contre le Califat, établi en deçà de la Ciscaucasie, empêchant ainsi toute invasion arabo-islamique du sud de la Russie. Ils s'allièrent à l'Empire byzantin contre les Sassanides et la Rus' de Kiev. Lorsque le Khaganat devint une des principales puissances régionales, les Byzantins rompirent leur alliance et se rallièrent aux Rus' et Petchenègues contre les Khazars. Vers la fin du Xe siècle, l'Empire Khazar s'éteignit progressivement et devint l'un des sujets de la Rus' de Kiev. S'ensuivirent des déplacements de populations rythmées par les invasions successives des Rus', des Coumans et probablement de la Horde d'Or mongole. Les Khazars disparurent alors de l'histoire, n'étant plus mentionnés dans aucun récit historique.


    Astana, capitale illuminati por biomeca9927


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  • <article class="article article_normal" itemscope="" itemtype="http://schema.org/NewsArticle">

    Le Monde.fr avec AFP et Reuters | <time datetime="2012-06-01T11:14:56+02:00" itemprop="datePublished">01.06.2012 à 11h14</time> • Mis à jour le <time datetime="2012-06-01T11:14:56+02:00" itemprop="dateModified">01.06.2012 à 11h14</time>

    <figure class="illustration_haut"> En mars 2012, l'Espagne a enregistré un record avec une fuite nette vers l'étranger de 66,2 milliards d'euros, contre un solde positif de 5,38 milliards en mars 2011. </figure>

    Après la Grèce, l'Espagne ? Le volume des capitaux retirés d'Espagne par les investisseurs pour être placés à l'étranger a atteint un niveau record au premier trimestre, atteignant 97 milliards d'euros, selon les chiffres publiés jeudi par la Banque d'Espagne qui reflètent l'inquiétude que suscite l'économie du pays.

    Lire : Les banques grecques font face à des retraits massifs depuis deux ans

    Ce chiffre marque un record depuis le début de la série statistique, lancée en 1990, et signifie qu'investisseurs espagnols et étrangers ont préféré se tourner vers l'extérieur pour placer leurs fonds. En comparaison, au premier trimestre 2011, l'Espagne avait enregistré un solde positif de 20,89 milliards d'euros de sa balance financière, qui n'inclut pas les placements de la Banque d'Espagne.

    DAVANTAGE DE SORTIE DE CAPITAUX EN MARS

    Pour le seul mois de mars, la sortie des capitaux s'est accentuée, l'Espagne enregistrant là aussi un record avec une fuite nette vers l'étranger de 66,2 milliards d'euros, contre un solde positif de 5,38 milliards en mars 2011.

    Au premier trimestre, ce sont avant tout les opérations interbancaires qui plombent la balance financière. Ainsi, les investisseurs aussi bien étrangers qu'espagnols ont retiré 75,76 milliards, notamment en prêts et dépôts, pour les investir à l'étranger. Les investisseurs ont également retiré 34,38 milliards d'euros placés dans les portefeuilles, d'actions et de titres de dette du pays, pour les transférer à l'étranger.

    INQUIÉTUDES AUTOUR DU SECTEUR BANCAIRE

    L'inquiétude autour du secteur bancaire est alimentée par les incertitudes autour du plan de recapitalisation de la quatrième banque du pays, Bankia, à hauteur de 23,5 milliards d'euros. Madrid a indiqué avoir l'intention de recourir au Fonds de restructuration bancaire (FROB), mais la Commission européenne lui a demandé de préciser ses projets.

    En outre, la majorité des banques espagnoles, soit 70 %, vont passer les tests de résistance menés par le Fonds monétaire international (FMI), a déclaré jeudi le ministre espagnol de l'économie, Luis de Guindos. Le résultat de ces tests indiquera comment ces établissements de crédit, confrontés à des prêts immobiliers toxiques en raison de l'éclatement de la bulle immobilière en 2008, vont se comporter si l'activité économique continue à se contracter.

    Bankia représente "un gros pourcentage" de ces 30 % d'établisssements qui "ont le plus de difficultés", a reconnu le ministre de l'économie. La banque espagnole avait demandé vendredi dernier une aide publique de 19 milliards d'euros. En ajoutant la première injection d'argent frais déjà réalisée, le sauvetage atteint 23,5 milliards d'euros, un record historique en Espagne.

    Le FMI a indiqué pour sa part n'avoir aucun projet d'assistance financière à l'Espagne et assure que ses équipes ne travaillent pas sur un tel scénario. L'institution précise que Mme Lagarde répondait ainsi à un article publié dans la journée par le Wall Street Journal affirmant que le département Europe du FMI avait "commencé à discuter de plans de secours en vue d'un prêt de sauvetage à l'Espagne dans le cas où le pays ne parviendrait pas à trouver les fonds nécessaires au sauvetage de Bankia".

    INTERVENTION DE LA BANQUE MONDIALE

    Ce vendredi, le président de la Banque Mondiale s'est exprimé en faveur d'un soutien à l'Espagne pour parer à toute aggravation brutale de la crise. Dans une tribune publiée vendredi dans le Financial Times (article payant), Robert Zoellick estime que "les leaders de la zone euro doivent être prêts. Il n'y aura pas le temps de réunir un sommet des ministres des Finances (...) Sur des marchés paniqués, les investisseurs fuient vers la sécurité en répandant les flammes".

    L'importance du danger "devrait encourager les leaders de la zone euro à prendre des mesures de précaution - telles que mettre maintenant des capitaux du Mécanisme européen de solidarité (MES) dans les banques et tomber d'accord sur un mécanisme de financement à moyen terme de pays tels que l'Espagne", selon M. Zoellick, qui estime que ce mécanisme pourrait venir du MES ou se faire par d'éventuels euro-obligations, actuellement rejetés par l'Allemagne.

    </article>

    Des investissements en berne La Bourse de Madrid a perdu près de 29 % depuis le début de l'année et le volume de dette publique détenue par des investisseurs étrangers n'atteignait plus que 37 % en avril, contre 53,7 % il y a un an. De plus, l'agence de notation Fitch a dégradé la note de huit régions et mis en garde contre d


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    Mathias Thépot

    Le groupement des cartes bancaires vient d'étendre son agrément de cartes et de terminaux compatibles avec cette technologie.

    Payer sans contact est désormais possible partout en France. Il ne reste plus qu'à équiper les clients et les commerçants des cartes et terminaux adéquats. Le groupement des cartes bancaires (CB), qui permet à 1,2 million de commerçants en France de bénéficier des paiements des cartes CB, a en effet transmis lundi aux banques son agrément pour l'implantation de terminaux de paiement « sans contact » partout en France. Selon nos informations, les terminaux seront fournis par l'industriel Ingenico le deuxième fabricant mondial de terminaux de paiement.

    La technologie du « sans contact » ou « near field communication » (NFC) permet, grâce à une antenne dissimulée dans une carte ou dans un téléphone, de régler les petites dépenses en passant à environ quatre centimètres du terminal de paiement lui aussi équipé d'une antenne. Le paiement « sans contact » par carte est plafonné à 20 euros par achat.

    Seule la région de Nice était jusqu'alors équipée de terminaux et de cartes pour ce type de paiement. Le « sans contact » pouvait y être utilisé dans la grande distribution, les petits commerces, les transports, les musées ect... L'opération, lancée en mai 2010, regroupait 11 banques et les émetteurs de cartes Visa et Mastercard.

    Etablissement bancaire pilier du paiement « sans contact » par cartes bancaires, BPCE (Banque populaire Caisse d'épargne) a déployé depuis le début de l'opération 154.000 cartes bancaires de paiement « sans contact » dans les deux départements de la Côte d'Azur. Le groupe en vise 300.000 à terme. La banque a également équipé presque 700 commerçants dans la région de Nice sur 1.500 équipés au total de terminaux. Contrairement à BNP Paribas ou au Crédit Mutuel-CIC qui misent sur le paiement « sans contact » mobile, BPCE privilégie le paiement par carte. « Le client a confiance dans ce bout de plastique. Pour faire décoller un moyen de paiement, autant le faire avec une technologie déjà utilisée plutôt que de miser sur une rupture », estime Fabrice Denèle, directeur de la stratégie des moyens de paiement BPCE. Le taux d'utilisation reste pourtant très faible, moins de 1 % des cartes distribuées par BPCE ont été utilisées au moins une fois sur la Côte d'Azur, soit 1.400 porteurs de cartes pour un total de plus de 10.000 transactions.

    Réduire le paiement en espèces

    « Au démarrage d'une telle innovation, il est normal que l'utilisation de la carte sans contact soit à ce niveau, explique Fabrice Denèle. Quand on équipe massivement les particuliers, la prise en main d'un nouveau moyen de paiement prend du temps avant de l'adopter. On ne peut donc pas avoir de chiffres exceptionnels dès le début. »

    La plupart des acteurs s'accordent d'ailleurs à dire que les cartes bancaires seront massivement équipées de la technologie sans contact ou NFC d'ici trois à cinq ans. Ils y voient un intérêt économique majeur : réduire le paiement en espèces des petites dépenses. « Le temps de traitement et le coût de gestion des transactions de petits montants en espèces sont souvent sous-estimés par les commerçants », souligne Charlotte Desbons, directrice marketing et communication de Visa Europe qui remarque que 80 % des paiements de faibles montants sont actuellement réalisés en espèces.

    Mathias Thépot - 02/04/2011, 18:04

    note Webrunner : tu ne pourras même plus t'acheter un crouton de pain sans l'accord de ta banque.

    En plus, ils se foutent de ta gueule : en effet, la société "GEMALTO", leader mondial des cartes à distance a le logo suivant :

    http://www.gemalto.com/_dotcom_template/images/logo_gemalto_head.gif

    http://www.gemalto.com/france/


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