• Un an après...


    La crise commencée au début de 2007 connaît donc une accalmie. À voir comment les banques ont reconstitué leurs profits, et les banquiers leur appétit illimité, on pourrait même croire qu’elle est terminée. Il n’en est rien, et la stabilisation actuelle risque d’être provisoire. Les problèmes posés par cette crise n’ont en rien été résolus par les mesures prises depuis un an. Il est particulièrement regrettable, mais pas spécialement surprenant, que le sentiment de relative sécurité dans lequel nous sommes depuis le mois de mai nous ait conduits à renoncer aux mesures les plus importantes et les plus radicales. Les gouvernements ont, par impéritie ou par dessein, laissé s’échapper le moment de la crise qui aurait aussi pu être celui des réformes. Mais ce moment n’a été qu’ajourné et en rien conjuré. Il nous faut nous préparer à d’autres moments de ce type pour ne pas, cette fois, laisser passer l’opportunité.
    Avant la crise, des divergences importantes se faisaient jour en Europe, au point que l’on pouvait parler d’un mécanisme « d’Euro-divergence » . Ce dernier n’a pas été éteint par la crise, mais l’investissement a partout baissé. La question d’une sortie de l’Euro est aujourd’hui posée pour plusieurs pays, et se posera demain pour d’autres, en raison des effets dépressifs qu’aura un Euro fort . Ceci était largement prévisible .




    votre commentaire
  • Les lifeprimes !

     

    Wall Street veut titriser la mort !
    D’après un article paru dans le New York Times, les banques d’affaires s’apprêtent à lancer de nouveaux produits financiers exotiques. Vous avez aimé les subprimes ? Vous allez adorer les lifeprimes !

    L’idée de nos petits génies de la finance, c’est d’acheter des life settlements, c’est-à-dire des polices d’assurance vie que les personnes âgées et malades seront bien contentes, en fonction de leur espérance de vie, de vendre pour une poignée de dollars afin de payer leurs soins médicaux ! Par exemple, des polices d’une valeur d’un million de dollars pourraient se vendre pour 400 000 dollars.

    Ensuite, à l’image des valeureux subprimes, il s’agit de titriser ces polices en les regroupant en paquet de centaines ou de milliers. Les banques revendront alors ces titres à des investisseurs qui recevront l’usufruit des assurances vie quand les personnes mourront.

    La logique nous informe que la marge de profit augmente en fonction de l’abaissement de l’âge du décès du détenteur de l’assurance vie. On a tout intérêt à garantir que ce dernier ne vive pas plus longtemps qu’espéré, car l’investisseur verrait ses revenus baisser et perdrait même de l’argent.

    Pour Wall Street, c’est du gagnant-gagnant, car les banques encaisseraient une marge juteuse pour l’émission, puis la vente, et enfin l’échange des titres.

    A ce jour, neuf propositions pour de telles titrisations de polices d’assurance vie sont déjà sur la table. Elles viennent d’investisseurs privés et de sociétés financières, notamment le Crédit Suisse. Le marché des assurances vie représente plus de 26 000 milliards de dollars, ce n’est pas rien !

    Le Crédit Suisse a déjà acheté une société spécialisée dans la revente de polices d’assurancesvie et vient de créer un pôle financier chargé de structurer le marché. La banque d’affaires new-yorkaise Goldman Sachs, jamais en reste quand il s’agit d’oublier la morale, vient d’élaborer des index sur l’espérance de vie de différentes catégories de personnes afin de permettre aux banquiers de parier sur le bon numéro.

    Le seul risque que prennent les investisseurs, c’est que les gens vivent plus longtemps que prévu. Bien que, si la réforme de la santé d’Obama est adoptée, avec le rationnement des soins et son volet euthanasie, ce risque deviendra proche de zéro.

    Ils doivent bien rire, ces petits génies de la finance, quand le secrétaire américain au Trésor, Tim Geithner, un ancien de Goldman Sachs, élève la voix pour affirmer qu’il « hors question que l’industrie financière revienne aux pratiques d’avant le krach. Cela ne peut pas arriver et cela n’arrivera tout simplement pas. Il y aura un changement fondamental. L’échec décisif de cette crise consistait à tolérer un effet de levier énorme, en terme de risque, à travers toutes les banques du monde et dans des organismes financiers fonctionnant comme des banques ».

    Signez dès aujourd’hui l’appel pour la création d’une equête parlementaire sur la crise financière


    votre commentaire
  • Effondrement des USA dans 2 mois

    Effondrement des USA dans 2 mois
     Le Professeur Russe Igor Panarin a déclaré que les événements continuent à confirmer sa prévision apocalyptique faite il y a 10 ans, que les Etats-Unis s'effondreront complètement, comme l'Union Soviétique l’a fait, avant la fin de 2010, et a averti que le chaos pourrait commencer à sévir d’ici à peine deux mois.  
     
     Panarin, Docteur en sciences politiques et professeur à l’Académie de la Diplomatie Russe au Ministère des Affaires Étrangères, a déclaré aux journalistes durant la présentation de son nouveau livre hier, que le Président Obama n'a rien fait pour devancer la crise qui approche rapidement et qui pourrait commencer à se faire sentir pour de bon en Novembre.
     
      « Obama est « le président de l'espoir », mais dans un an il n'y aura aucun espoir, » a dit Panarin. « Il est quasiment un autre Gorbachev - il aime parler mais n’est pas vraiment parvenu à réaliser quoique ce soit. Gorbachev a au moins été Secrétaire d'une administration régionale de parti communiste, tandis qu'Obama était juste un travailleur social. Sa mentalité est totalement différente. C’est est un bon gars qui parle bien - mais ce n'est pas un leader et il conduira l'Amérique au crash. Quand les Américains comprendront cela – cela fera l’effet d’une bombe. »  
     
     Depuis 1998, Panarin n’a cessé d’avertir d'une future désintégration des Etats-Unis et de l'effondrement du Dollar. La récente victoire électorale du parti Démocrate au Japon est un autre signe que l'effondrement économique des États-Unis est imminent, selon Panarin.  
     
     « Aujourd'hui j'ai reçu une autre confirmation que l'effondrement du dollar et des USA est inévitable. Le parti Démocrate a remporté les élections au Japon, et je voudrais vous rappeler que son leader [Yukio Hatoyama] a prévu l’évinçage du Dollar parmi ses plans économiques. En langage clair, il prévoit de transférer les réserves monétaires du Japon du Dollar US à une autre devise. Le changement accélérera sérieusement la récession du taux de change du dollar dès ce mois de Novembre. La désintégration suivra sous peu, » a-t-il dit, ajoutant que l'année prochaine la Chine commencera aussi à massivement se débarrasser de ses dollar et la Russie commencera à vendre le pétrole et le gaz en roubles.  
     
     Panarin a précédemment déclaré que le Dollar serait par la suite remplacé par « une devise commune, l’Amero comme nouvelle unité monétaire », se rapportant aux accords entre les États-Unis, le Canada et le Mexique, dans le cadre du Partenariat pour la Prospérité et la Sécurité (SPP).  
     
     Il prévoit que les États-Unis vont se fragmenter en six territoires différentes, grossièrement le long des mêmes lignes que celles tracées en
    1865 pendant la guerre civile, « la Côte Pacifique, avec sa population chinoise croissante ; les Sud, avec ses hispaniques ; Le Texas, où les mouvements pour l'indépendance sont en hausses ; la Côte Atlantique, avec sa mentalité distincte et séparée ; cinq des états centraux plus pauvres avec leurs grandes populations de Natif américain ; et les états nordiques, où l'influence du Canada est forte, » selon Panarin.

     

    Effondrement des USA dans 2 mois

    A plus long terme, Panarin prévoit que les Etats détachés seront par la suite pris en charge par l'Union Européenne, le Canada, la Chine, le Mexique, le Japon et la Russie et l'Amérique et cesseront totalement d'exister, comme représenté dans l'illustration ci-dessus.  
     
     Panarin reproche l’effondrement à « une élite politique qui a mis en place une politique absurde et agressive dont l’objectif est de créer des conflits à travers la planète » et avertit que cela les ventes croissantes d'armes à feu aux États-Unis sont un signe que les gens se préparent pour le « chaos » au lendemain d'une chute financière totale.  
     
     « À mon avis, la probabilité que les USA cessent d'exister avant juin 2010 dépasse 50%. En ce moment, la mission de toutes les puissances internationales importantes est d'empêcher le chaos aux USA, » a conclu Panarin.  


    votre commentaire
  • Chaos final


    Chaos final qui finira donc par ramener, de force, dans l’injustice et la douleur, l’économie fictive des spéculateurs au niveau de l’économie réelle des entrepreneurs…

    Une crise et un chaos imminents dont l’Occident ne pourrait sortir que par une véritable révolution du système capitaliste. La mise en place d’un système sain et raisonnable fondé sur l’investissement productif, et non sur la spéculation abstraite et parasitaire. Assainissement évoqué et voulu dès les années soixante par nos meilleurs dirigeant politiques, et qui a sans doute coûté la vie au président Kennedy (qui voulait reprendre le contrôle de la FED) et sa place au général de Gaulle (qui exigeait du dollar qu’il soit à nouveau arrimé à quelque chose de réel comme l’or et pas juste à lui-même !).

    Une fois compris le mécanisme et le rapport de forces, admise l’imminence du chaos, on peut se poser la question : quelle peut être la réponse de ce pouvoir assassin, le vrai, celui de la Banque, qui se nourrit de ce déséquilibre et qui commande aux politiques ? (Du moins en Occident, beaucoup moins au Venezuela, en Iran et en Russie, d’où la diabolisation de ces trois pays par les médias…)

    C’est sans doute en posant cette question – question plus inquiétante à mesure que se rapproche l’avenir qu’elle concerne – qu’on peut comprendre l’étrange pandémie de grippe porcine et le tout aussi fictif réchauffement climatique !

    Quel rapport ?

    On peut penser que le pouvoir bancaire mondial, ne voulant pas réformer un système dont il tire sa richesse et son pouvoir, mais qu’il sait générer déséquilibres et inégalités accrues, sait aussi n’avoir plus d’autre choix, s’il veut continuer à mener la danse et conserver sa tête, que d’aller vers la dictature. Vers ce gouvernement mondial pour lequel travaille Attali…

    Alain Soral


    2 commentaires
  • Ben Shalom Bernanke reconduit à la tête de la Fed

    La Tribune.fr - 25/08/2009 | 14:14 -

    Barack Obama en a fait l'annonce officielle ce mardi avant l'ouverture de la Bourse de New-York. Il s'agit du deuxième mandat de Ben Bernanke, alors que les Etats-Unis s'interrogent sur la sortie de la crise économique. Le président Obama en a profité pour déclarer qu'une reprise économique complète est "encore loin".

    Ben Shalom Bernanke[1], né le 13 décembre 1953 à Augusta, Géorgie, aux États-Unis, est le président de la Réserve fédérale des États-Unis.


    votre commentaire
  • Antisémitisme ?

    Bien moins médiatisée que l'affaire Fofana, et pourtant beaucoup plus coûteuse en vies humaines pour cause de suicides, ruines, famines… l'affaire Goldman Sachs.

    Relayé seulement en France par la blogosphère, un important article, paru dans le numéro de juillet du magazine Rolling Stone, révèle pourtant le rôle de la prestigieuse banque d’affaires dans presque toutes les crises financières depuis quatre-vingts ans.

    Intitulé : “La grande machine à bulles américaine” et dû au courageux journaliste d’investigation américain Matt Taibbi, ce long réquisitoire apporte un éclairage cru sur les événements financiers et économiques des années vingt à nos jours. On y apprend, démonstrations à l'appui et en des termes accessibles aux non-initiés de la finance, que, de la bulle Internet à la flambée du brut et du blé, en passant par l'effondrement de l'immobilier et le récent renflouage public des banques d'affaires privées… toutes ces manipulations des marchés, depuis la Grande dépression, sont la fabrication de Goldman Sachs (maison fondée, comme son nom l'indique, par deux fervents catholiques)… Et que celle-ci s’apprête à récidiver, sous le prétexte bidon du tout aussi bidon “réchauffement climatique”. Une énième entreprise de spoliation appelée “taxe carbone”, dont l'introducteur en France n'est autre que le récent rallié au sarkozisme, l'ex PS Michel Rocard. Michel Rocard, de gauche comme Julien Dray ?

     

    Pour lire la traduction française de ce long texte roboratif :

    http://www.agoravox.fr/actualites/economie/article/goldman-sachs-la-grande-machine-a-59168

    Nos lecteurs encore sensibles au discours d'extrême droite libérale y découvrirons que, niveau goberge et spoliation, Goldman Sachs c'est autre chose que les privilèges du comité d'entreprise EDF !

     


    votre commentaire
  • LaRouche : l’effondrement du dollar fera exploser le système monétaire global

     

     

    LaRouche : l’effondrement du dollar fera exploser le système monétaire global

    Parlant devant des journalistes et des membres du corps diplomatique de Washington, Lyndon LaRouche a précisé hier sa prévision d’une externalisation violente de la crise d’ici la mi-octobre.

    Dans le domaine des certitudes, on peut ranger le fait que nous assistons à l’écroulement « de tout le système monétaire international » et que cet écroulement « progresse », disait LaRouche.

    « Ce qui provoquera cette écroulement, c’est l’effondrement du dollar américain. Tout le système est prêt à partir. Où se trouve le détonateur sur la charge explosive ? Il se trouve à l’intérieur des Etats-Unis avec l’effet d’un effondrement de la valeur du dollar sur les marchés internationaux. Et quand je dis effondrement, je veux réellement dire effondrement. Nous avons déjà 48 des 50 Etats des Etats-Unis en faillite technique ; nous avons une dette du Trésor et de la Réserve fédérale qui avoisine les 23000 à 25000 milliards de dollars. L’effondrement d’une dette de cet ordre, une dette en dollar, entraînerait immédiatement toutes les économies du monde dans la faillite. Ce qui implique que nous sommes au bord d’une crise qui frappera d’ici le 15 ou le 25 octobre lors de la clôture de l’année fiscale américaine, c’est-à-dire fin septembre. »

    « Quand l’année fiscale se terminera, tous les secrets du gouvernement américain seront déballés. Et quand ils deviennent publics — comme cela doit se faire à la fin de l’année fiscale —, alors, à ce moment, voire plus tôt, tout le système étasunien explosera. Cependant, cela pourrait tout aussi bien exploser demain car les conditions d’une telle explosion sont déjà réunies. Et ce n’est pas quelque chose qui va nous arriver de l’extérieur ; cependant, si cela arrive à partir des Etats-Unis, alors le reste du monde sera entraîné dans une banqueroute généralisée du système. Parce que la dette des Etats-Unis est telle, qu’un effondrement de la valeur de cette dette aura un impact dévastateur. Pensez à la Chine. Si la valeur du dollar plonge, alors que devient la valeur de la dette américaine envers la Chine, une dette libellée en dollars ? Ce sera une crise pour la Chine ainsi que pour la Russie et bien d’autres nations. »

    voir aussi :

    Attali prévoit un effondrement total de l’économie mondiale 


    votre commentaire
  • Californie: un Etat bientôt sous tutelle de la FED?

    Posted By Albator On 22/8/2009 @ 5:00 In Amérique Nord, General, International, crise économique | No Comments

    schwarzy_flammes1Le chômage continue d’augmenter en Californie (ouest) avec un taux record de 11,9% de la population sans emploi en juillet, a annoncé vendredi le département de l’emploi et du développement de l’Etat le plus riche des Etats-Unis. La Californie est à contre-courant de l’ensemble du pays, où le chômage a reculé en juillet pour s’établir à 9,4%.

    En juin, le taux de chômage en Californie s’élevait à 11,6%, tandis qu’il était de 7,3% en juillet 2008. Selon le Los Angeles Times, la Californie n’avait pas connu un tel taux de chômage depuis la Seconde Guerre mondiale. Le gouverneur de Californie, Arnold Schwarzenegger, a déclaré que face à ces chiffres, il fallait “réparer ce qui est cassé dans cet Etat”. “Notre eau, nos prisons, nos systèmes de retraites où la remise à plat de notre système d’imposition, voilà les problèmes aigus que nous devons aborder pour reconstruire” la Californie, a-t-il affirmé dans un communiqué.

    Si elle était indépendante, la Californie, Etat le plus riche et le plus peuplé des Etats-Unis, serait la huitième économie mondiale. Mais l’Etat, particulièrement touché par crise de l’immobilier, peine à sortir du marasme économique, aggravé par des problèmes budgétaires chroniques.

    Fin juillet, après des mois d’âpres négociations, les parlementaires avaient fini par voter le budget de l’Etat, taillant drastiquement dans les dépenses publiques pour combler un déficit de 24 milliards de dollars.


    votre commentaire
  • Crise financière : les Etats américains au bord du précipice
    17 juillet 2009 - 10:14

     

     

    16 juillet 2009 (Nouvelle Solidarité) – Pendant que Goldman Sachs annonce des bénéfices record et qu’on chuchote partout que l’économie mondiale est en train de repartir, une énorme vérité éclate au grand jour : celle de l’état de quasi-faillite d’un grand nombre d’Etats américains.

    Désormais, c’est 48 des 50 Etats qui affichent des déficits qu’en principe la loi leur interdit. Si le total représente 166 milliards de dollars pour 2010, ces déficits représentent une moyenne de 24% des revenus des Etats, avec 32,2% pour l’Etat de New York, 33% pour l’Illinois, 37,8% pour le Nevada, 41,1% pour l’Arizona et même 58,2% pour la Californie qui se trouve en quasi-cessation de paiements depuis le 1 juillet.

    Puisque les Administrations Bush et Obama renflouent les banques, l’Etat fédéral américain s’abstient de toute aide. C’est à chacun de se débrouiller pour trouver de l’argent frais et, en la matière, hélas, l’imagination ne manque pas.

    Si 30 Etats ont déjà opté pour une hausse des impôts et sept autres s’apprêtent à faire pareil, 39 ont choisi de réduire les dépenses. Le problème, avoue un membre du Center on Budget and Policy Priorities, c’est que « ces diminutions de prestations publiques touchent les citoyens les plus vulnérables au moment où ils en auraient le plus besoin, car ils sont fragilisés par la récession. Ce qui risque, dans un cercle vicieux, d’aggraver encore la situation économique du pays ».

    Exemple : en Floride, une femme de 67 ans a un accident de voiture. Elle se félicite aussi vite de la réaction rapide des pompiers et de la police. Une semaine plus tard, elle reçoit dans sa boite aux lettres une facture de 316 dollars ! « Je croyais que mes impôts couvraient ce genre de chose », se lamente-t-elle dans les pages du New York Times. En principe, oui.

    Dans les faits, nous sommes retournés au Moyen-Âge, bien avant l’époque de Louis XI. L’Etat a été « volé » et les impôts ont été détournés au profit de « banksters ».


    votre commentaire
  • Des fusils d'assaut lors d'un meeting d'Obama

    NOUVELOBS.COM | 18.08.2009 | 18:42

    Alors que le débat sur la réforme du système de santé américain fait rage, de plus en plus de participants aux réunions publiques organisées par la Maison Blanche arborent ostensiblement des armes à feux.

    Plusieurs hommes armés de fusils d'assaut attendaient le président américain Barack Obama lors d'une réunion consacrée à la réforme du système de santé du pays, lundi 17 août à Phoenix en Arizona.
    Sur les images diffusées par la chaîne CNN, on peut voir un homme portant un fusil AR-15 interviewé par un journaliste. Il n'était pas précisé si l'homme faisait partie des "pro" ou des "anti" Barack Obama. Le journaliste de CNN précise avoir aperçu peu de temps auparavant un autre homme portant le même type d'arme et se revendiquant comme un opposant au président américain. La législation de l'Etat d'Arizona permet à ses citoyens de porter des armes dans des lieux publics.

     

    Face au scandale provoqué par ces images, les médias américains ont essayé d’en savoir un peu plus et ont retrouvé les deux hommes. Le porteur de l’arme se nomme en fait "Chris" et celui qui a organisé sa venue au meeting, et sa médiatisation, n’est autre que le journaliste qui l’interrogeait. Et celui-ci se nomme Ernest Hancock, éditeur du site internet "Freedom's Phoenix"milice d’extrême-droite condamnée dans les années 90 pour avoir projeté de faire sauter un immeuble fédéral à Phoenix.


    votre commentaire
  •  

    Attali prévoit un effondrement total de l’économie mondiale



    4 commentaires
  • Richard Heinberg : « La croissance mondiale a atteint ses limites »

    Un an après le pic pétrolier

     

    Il y un an, le baril de pétrole atteignait le prix record de 147 dollars. Le monde entier se tourna alors vers l’Arabie Saoudite —traditionnel producteur d’appoint— pour lui demander d’augmenter sa production afin de répondre à la demande en stabilisant les prix. Mais le Royaume en fut incapable car ses puits s’assèchent. Cet événement marque la fin d’une période. Dans un enchaînement dramatique, la prise de conscience que la croissance économique serait désormais limitée par la raréfaction de l’énergie fossile, fit s’effondrer les investissements, la demande en pétrole et son prix.
    Richard Heinberg, auteur reconnu pour ses travaux sur la déplétion des ressources, examine cet événement historique, ses conséquences pour l’activité humaine et les perspectives d’avenir dans une interview exclusive accordée au Réseau Voltaire.

     



    Richard Heinberg : « La croissance mondiale a atteint ses limites »
    http://www.alterinfo.net/Richard-Heinberg-La-croissance-mondiale-a-atteint-ses-limites_a35766.html?print=1

    votre commentaire
  • Crise systémique : le trou noir

     

    Crise systémique : le trou noir

    votre commentaire
  • Jacques Attali avoue : le lobby bancaire corrompt le congrès et enfonce les Américains dans la crise

    Ce n’est pas la première fois que Jacques Attali nous annonce le pire, mais cette fois c’est une véritable cassure avec l’idéologie qu’il nous a vendu pendant tant d’années.

     Jacques Attali ne sait plus comment faire pour être bien vu après la crise.

    Après nous avoir vendu pendant des années ce modèle qui est en train de tous nous faire sombrer, cela fait maintenant plusieurs mois qu’il tire la sonnette d’alarme ; il avait été un des rares, surtout dans cette autocongratulation délirante, à dire que le sommet du G20 avait été une mascarade, ”organiser le G20 à Londres revient à organiser une réunion d’alcoolique dans un bar”, remarque cinglante d’un fin connaisseur, puisque participant !

    Aujourd’hui, il revient à la charge, encore plus remonté, il dit tout haut, ce que les “conspirationnistes” crient chaque jour, on sait tous que la FED est un cartel constitué d’un pool de banques privées, et oui c’est un cartel de banques privées qui “vend” la monnaie à l’État. Ce sont eux qui empochent les taux d’intérêts.

    Truc de dingue, quand même, quand y on pense vraiment c’est absolument incroyable.

    Ce n’est pas pour rien que Henry Ford a dit : “Si les gens de cette nation comprenaient notre système bancaire et monétaire, je crois qu’il y aurait une révolution avant demain matin”.

    Voila donc le héraut (héros) du Nwo, qui nous a rabâché tant d’années que le marché libre était l’unique solution, venir nous annoncer la vérité sur ce système inique.

    Morceaux choisis :

    “De plus, Wall Street continue à disposer de considérables moyens d’influence. Des lobbys bancaires, fort bien dotés, arrosent le Congrès. Et les banquiers, devenus ministres ou superviseurs, réussissent à écarter toutes les législations qui pourraient gêner leurs ex et futurs employeurs.”


    votre commentaire
  • Un milliard d'euros de plus provisionné pour les traders de BNP Paribas en 2009

    RTR26E6N_Comp Dans un contexte de reprise des marchés financiers, les politiques s'indignent que les banques se remettent à distribuer des bonus importants. Et bien voilà de quoi nourrir leur réflexion. Selon ses comptes semestriels, BNP Paribas s'apprête à distribuer à ses traders un milliard d'euros de plus en 2009 qu'en 2008 (le montant total des bonus distribués n'est en revanche pas indiqué). La banque ne le crie pas sur les toits, mais, du fait de ses bonnes performances de début d'année, elle a fortement augmenté ses provisions pour payer à ses traders des rémunérations variables faramineuses au début de l'année prochaine.

    Interrogé lors de la présentation des résultats sur le montant exact qu'il comptait distribuer, Baudoin Prot, le directeur général (photo), a refusé de répondre, se contentant d'indiquer que le seul ratio à retenir était le coefficient global d'exploitation des activités de marché (le rapport entre le chiffre d'affaires et les coûts) qui était à un niveau historiquement bas, à 43,8%.


    votre commentaire
  • Les banques arrêtent le crédit à la consommation

    Société Générale a aussitôt mis en place une cellule de crise afin de faire face à cette mesure. Selon une source bien informée, la direction générale de cette banque française a notifié jeudi, soit le jour même de la publication des textes au Journal officiel, à toutes ses agences de par le territoire national l’arrêt définitif de ce type de prêt aux consommateurs. La Société Générale n’est pas seule, loin s’en faut, à se mettre en conformité avec la nouvelle législation ; l’ensemble des banques, privées et publiques, est en fait concerné par cette décision et doit impérativement cesser l’octroi de crédits à la consommation aux particuliers, et ce, à compter du 30 juillet, date de la publication de la loi de finances complémentaire, affirme une source proche de l’Association des banques et établissements financiers (ABEF).(El Watan).

     

    source :www.leap2020.eu


    votre commentaire
  • La Californication de Terminator

    La Californie sera-t-elle le premier état à faire cessession?

    Quel Etat ne rêverait pas de compter sur son sol DreamWorks, Walt Disney, Microsoft, Apple, Hollywood ou la Silicon Valley ? Les plus grands « monstres » de l’industrie et des services, synonymes de domination technologique et commerciale, de profits astronomiques, de richesses et d’emplois ...

    A ce tableau idyllique, ajoutons que la Californie produit 10 % de la richesse américaine et serait la huitième économie du monde si elle était indépendante.
    Et pourtant...
     
    L’Etat californien est au bord du dépôt de bilan. La vraie faillite, pas celle annoncée par un Fillon en 2007 en bon adepte de la secte des déclinologues de Nicolas Bazire, l’ancien chef de cab’ de Balladur...
     
    En effet, la Californie n’est plus en mesure de rembourser ses dettes, ni de payer les traitements de ses rares fonctionnaires... alors qu’elle concentre une industrie fleurissante et une population de milliardaires... Son déficit budgétaire représente 15% du Produit intérieur brut (PIB) américain.
    Victime de l’éclatement de la bulle internet ou d’une entreprise comme Enron dans les années 90, la Californie est également l’Etat le plus touché par la crise des subprimes et le ralentissement économique.

    votre commentaire
  • Crise systémique globale : Le choc cumulé des trois « vagues scélérates » de l’été 2009

    Comme anticipé par LEAP/E2020 dès Octobre 2008, à la veille de l’été 2009, la question de la capacité des Etats-Unis et du Royaume-Uni à financer leurs déficits publics désormais incontrôlés s’est imposée comme la question centrale dans le débat international, ouvrant de ce fait la voie au double phénomène d’une cessation de paiement des Etats-Unis et du Royaume-Uni d’ici la fin de l’été 2009.

    Ainsi, à ce stade de développement de la crise systémique globale, contrairement au discours médiatique et politique dominant actuellement, l’équipe de LEAP/E2020 n’envisage pas du tout de reprise après l’été 2009 (ni d’ailleurs dans les douze mois à venir)

    Du fait de l’absence de traitement de fond des problèmes à l’origine de la crise, les chercheurs de LEAP/E2020 considérent que l’été 2009 va voir la convergence de trois « vagues scélérates » particulièrement destructrices qui traduisent la poursuite de l’aggravation de la crise et vont provoquer des bouleversements historiques d’ici les mois de Septembre/Octobre 2009....

    Les trois « vagues scélérates » de l’été 2009

    Les « vagues scélérates » sont des vagues océaniques très hautes, soudaines et qui étaient considérées comme très rares, même si aujourd’hui on sait qu’elles apparaissent au cours de pratiquement toutes les tempêtes d’une certaine importance. Les « vagues scélérates » peuvent atteindre des hauteurs de crête à creux de plus de 30 mètres et des pressions phénoménales. Ainsi, une vague normale de 3 mètres de haut exerce une pression de 6 tonnes/m². Une vague de tempête de 10 mètres de haut peut exercer une pression de 12 tonnes/m². Une vague scélérate de 30 mètres de haut peut exercer une pression allant jusqu’à 100 tonnes/m². Or, aucun navire n’est conçu pour résister à une telle pression. Il existe aussi le phénomène des « trois sœurs ». Il s’agit de trois « vagues scélérates » successives et d’autant plus dangereuses, car un bateau qui aurait eu le temps de réagir correctement aux deux premières, n’aurait en aucun cas les possibilités de se remettre dans une position favorable pour affronter la troisième. Selon LEAP/E2020, c’est à un phénomène de ce type que le monde va être confronté cet été ; et aucun état (navire) n’est en position favorable pour les affronter, même si certains sont plus en danger que d’autres comme l’anticipe ce GEAB N°36.

    La vague du chômage massif : trois dates d’impact qui varient selon les pays d’Amérique, d’Europe, d’Asie, du Moyen-Orient et d’Afrique

    L’été 2009 va marquer un point d’inflexion en matière d’impact du chômage sur le déroulement de la crise systémique globale. En effet, c’est le moment où de conséquence, le chômage va devenir partout dans le monde un facteur d’aggravation de la crise. Bien entendu ce processus ne se déroulera pas partout au même rythme, ni avec des conséquences identiques. …

    La vague déferlante des faillites en série : Entreprises, banques, immobilier, états, régions, villes

    Au-delà de ces évènements à très grande visibilité, on assiste partout à une hausse rapide et continue des faillites d’entreprises et d’établissements financiers de grande, moyenne ou petite taille qui va s’accélérer après l’été 2009, tandis que se prépare aux Etats-Unis, au Royaume-Uni et en Espagne en particulier, une deuxième vague de saisies immobilières et que l’été 2009 va être marqué par le début d’une vague de cessation de paiements d’états, de régions et de villes. Les « jeunes pousses » des médias financiers ne font que cacher les « feuilles mortes » de l’économie réelle.…

    La vague de la crise terminale des Bons du Trésor US, du Dollar et de <st1:personname productid="la Livre" w:st="on">la Livre</st1:personname>, et du retour de l’inflation

    Ce premier sommet des BRIC, dont il n’est pas difficile d’imaginer combien il a dû être difficile à organiser, constitue un premier signe de dislocation du système international actuel. Non seulement les Etats-Unis ont dû tout faire pour empêcher sa tenue, mais ils se sont en plus vus refuser la présence en tant qu’observateur, un signe clair que ce qui s’y est dit n’était pas destiné à être diplomatique. Et le sujet central n’était certainement pas un problème militaro-stratégique, mais bien une question monétaro-financière : que faire des centaines de milliards de Dollars US (sous forme de Bons du Trésor notamment) accumulés par ces quatre pays au cours des années récentes ?.


    votre commentaire
  • Economie

    Désintégration financière à l’automne, action dès maintenant


     


    Désintégration financière à l’automne, action dès maintenant
    On entend dire ici ou là que la reprise est au coin de la rue, que la crise serait aussi bénigne qu’une petite grippette, comme si le facteur psychologique et la manipulation des comportements pouvaient mettre un terme à la réalité. « Le monde entier est pris dans une désintégration financière, a déclaré samedi Lyndon LaRouche, entre les 12 et 15 octobre, c’est-à-dire la fin de l’année fiscale américaine, les Etats-Unis et la plupart des pays vont entrer dans un processus de désintégration accélérée. »

    « A moins de lancer une mise en banqueroute organisée du système financier, d’ici à la fin de l’automne nous aurons une situation économique mondiale chaotique. Il faut absolument mettre le système en redressement, en commençant par annuler les plans de renflouement. Nous devons faire en sorte que ce soit les Etats souverains qui reprennent les commandes de l’économie.

    « Le système arrive à échéance entre les 12 et 15 octobre, à moins que des changements imprévisibles aient lieu d’ici-là. Lorsque l’année fiscale américaine arrivera à son terme, on verra clairement que nous sommes lancés dans un effondrement mondial. »

    En effet, le 30 septembre marquera la fin de l’exercice fiscal outre-atlantique, où banques et sociétés seront dans l’obligation de publier leurs comptes. C’est aussi à l’automne qu’expirera le plan de rachat gouvernemental des actifs titrisés (TALF), qui a fourni à Wall Street près de 1000 milliards de dollars pour aller se refaire sur les marchés. Le 15 juillet, le Comité des normes comptables et financières (FASB), qui en début d’année avait permis aux banques américaines de contourner la comptabilisation de leurs actifs à la valeur du marché et de maintenir leurs bilans artificiellement gonflés, a déclaré son intention de revenir en arrière. Les membres du FASB semblent désormais moins effrayés par les lobbys financiers que par les peines de prison qui les attendent pour complicité de manipulations comptables. L’application du « mark to market » forcerait les banques américaines à comptabiliser leurs pertes sur les prêts et sur les créances titrisées.

    De surcroît, l’embellie boursière de ces dernières semaines, qui fait dire aux experts que la crise se termine (au mépris des indicateurs calamiteux de l’économie réelle), se révèle être le fruit d’une manipulation géante des marchés. Depuis trois semaines les bourses ont augmenté de plus de 10% ; dans ces conditions, on aurait du observer une hausse des volumes échangés, mais ces derniers ont baissé de 40% par rapport aux trois mois précédents. Il semble que l’activité des investisseurs traditionnels ait été remplacée par celle des logiciels de trading. L’affaire Aleinikov le confirme. Ce programmeur d’origine russe a été arrêté le 4 juillet à New York pour avoir dérobé les algorithmes top secrets qu’il avait mis au point pour Goldman Sachs. Ces derniers mois, ce logiciel a permis à Goldman Sachs de gagner plus de 100 millions de dollars par jour sur le trading d’actions. Logiciel miracle ? Pas vraiment. Ce programme, avec des codes de sécurité obtenus grâce aux entrées de Goldman Sachs au Trésor et à la Fed, capture les flux de texte des serveurs du New York Stock Exchange et d’autres bourses, ce qui lui permet d’avoir la tendance du marché avant tout le monde, et de jouer automatiquement sur une multitude de petits écarts gagnants à coup sûr (voir la tribune de Marc Mayor dans le MoneyWeek du 23 juillet).

    Dans le même domaine, la Chronique Agora, site d’information et d’analyse économique et financière, a dénoncé des manipulations de marché ayant eu lieu début juillet à la bourse de Paris.

    Les injections de liquidités pour soutenir cette grande folie spéculative - 23 700 milliards de dollars (170% du PIB américain) rien que pour les Etats-Unis selon l’inspecteur général du TARP (le plan de renflouement américain) - font peser le risque d’une hyperinflation brusque et violente, comparable à celle qui frappa l’Allemagne en 1923.
    Les 60 jours qui viennent seront décisifs pour l’avenir : chaos ou bouleversement. Rendez-vous tous les jours dans la rue avec nos militants, et le 1er Août à 19h, pour une conférence internet d’importance capitale de Lyndon LaRouche, en direct de Washington


    Mardi 28 Juillet 2009

    Source :
    http://www.alterinfo.net


    votre commentaire
  • Economie

    Les États-Unis conseillent vivement à leurs ambassades de stocker les monnaies locales


     


    Les États-Unis conseillent vivement à leurs ambassades de stocker les monnaies locales

    Washington's Blog, 19 juillet 2009


          Harry Schultz, un conseiller en placement chevronné, qui est le Peter Brimelow de la meilleure lettre d'information financière de l'année 2008 de MarketWatch, affirme désormais :


          Certaines ambassades étasuniennes des quatre coins du globe sont invitées à acheter d’énormes quantités de monnaie locale, assez pour finir année. Discrètement, d’énormes quantités de liquidités ont été envoyées à ces ambassades pour acheter des devises nationales. Sauf des livres sterling. À l'intérieur du ministère des Affaires étrangères, flotte un sentiment de tristesse et d'appréhension à propos d’« un truc » sur le point d'arriver... dans les 180 jours, mais ce pourrait être dans 120 à 150 jours.


          Bob Chapman, un conseiller en placement et ancien officier du contre-espionnage de l'armée, raconte la même chose, signalant la possibilité d’un soi-disant « jour férié » prévu pour fin août ou début septembre. Selon les sources de Chapman, les ambassades étasuniennes du monde entier vendent du dollar et stockent la monnaie des pays respectifs où elles opèrent.


          Gerald Calente, le principal prévisionniste en tendance, a également maintes fois prédit un « jour férié. » [un bank holliday se traduit par jour férié, mais sa signification anglo-saxonne effective est jour de fermeture des banques, ndt]


          Mais la rumeur, selon laquelle il est conseillé aux ambassades de stocker la monnaie locale, est accablante et, si elle est vraie, elle indique une éventuelle énorme dévaluation du dollar.



    www.washingtonsblog.com/2009/07/foreign-embassies-urged-to-stockpile.html
    Traduction libre de Pétrus Lombard pour Alter Info



    Lundi 20 Juillet 2009

    Source :
    http://www.alterinfo.net

    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique