• Deep Water en Chine

    Jeudi, l'opérateur de la plate-forme a indiqué que la fuite n 'était pas colmatée. 1?500 barils se seraient écoulés dans la mer Jaune frappant les côtes de la ville de  Dalian.  Il est possible que les ressources provenant de  la mer soient compromises.

    Fuite d'un puit ou d'un oléoduc entre  la plate-forme et le point  d'arrivée  de l'oléoduc? Les  jours à venir répondront à cette question .

    Depuis fin juin, une catastrophe frappe la Chine. Une plate-forme pétrolière inonde le golfe de Bohaï. 4200 km2 d'eau sont pollués. L' écosystème est en danger.

    D'abord cachée, puis minimisée , l 'ampleur de la catastrophe a été rendue publique vendredi. Les propriétaires de la plate-forme pétrolère sont une compagnie  américaine ConocoPhillips et une société d' état chinoise CNOOC. ConocoPhillips pourrait  être amené à verser des compensations à hauteur des  dommages occasionnés relate le Figaro.fr.

     


    Désastre Environnemental En Chine [VOSTFR] por la-matrice_org


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  • Que sont les révolutionnaires devenus ?

     


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  • Kadhafi appelle ses partisans à marcher sur Benghazi et Misrata

     

    Le leader libyen Mouammar kadhafi a appelé jeudi ses partisans à «marcher» sur Benghazi, la «capitale» rebelle dans l'est du pays, pour la libérer des «traîtres», en allusion aux insurgés qui la contrôlent.

    «L'heure de la bataille a sonné, préparez-vous pour marcher sur Benghazi, sur Misrata (enclave à 200 km à l'est de Tripoli) et sur les montagnes de l'Ouest», a-t-il dit dans un message relayé par haut-parleurs à ses partisans rassemblés à al-Ejelat, dans l'est de Tripoli.

    Dans ce message, le troisième depuis le 1er juillet, le dirigeant libyen a assuré que son «peuple est le plus fort car il défend sa dignité, son honneur et sa terre» et que les «croisés» -allusion aux forces de l'Otan qui bombardent les troupes loyales depuis mars- seront vaincus car «ils mènent une guerre injuste».

    «Nous sommes là et nous resterons sur cette terre, je resterai aux côtés de mon peuple jusqu'à la dernière goutte de mon sang», a-t-il déclaré, accusant Nicolas Sarkozy d'être un «criminel de guerre». «Ce Sarkozy est un criminel de guerre qui a entaché l'histoire de la nation française et détruit les rapports de son pays avec la Libye et les pays musulmans. C'est un dérangé mental», a-t-il lancé.

    Ce discours triomphaliste et mobilisateur intervient alors que les rebelles libyens ont consolidé leurs positions dans l'Ouest, près d'Al-Assabaa, ville stratégique à 80 km au sud de Tripoli. Dans la région de Brega, sous contrôle des forces du régime dans l'est de la Libye, les combats ont repris.

    Ils ont fait un mort et cinq blessés, selon un médecin dans un hôpital de la ville voisine d'Ajdabiya, tenue par les rebelles.

    (Source AFP)


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  • Projet Big Bang - Les Etats Unis d’Europe sous controle Allemand ?

    La dernière onde de Choc pour la Zone Euro, c’est la dette de l’Irlande qui se retrouve déclassée en catégorie spéculative, dite “Junk”, et l’Italie dans la ligne de mire d’un prochain sauvetage…Et un projet Big-Bang ?

     

    Paul Nutall, député européen, membre du Parti pour l’indépendance du Royaume-Uni (UKIP), s’exprime en direct de Bruxelles sur ces derniers événements et dévoile le projet européen appelé le « projet Big-Bang », qui devait être discuté ce vendredi…

     

    par C.la.Vie jeudi 14 juillet 2011


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  • L'euro ou la triste histoire d'une libido qui flanche

    Chronique "International" | LEMONDE | 14.07.11 | 13h29   •  Mis à jour le 14.07.11 | 13h49

    par Alain Frachon (Chronique "International")

    La dernière crise de l'euro n'est pas financière, elle est d'abord politique. Elle ne témoigne pas de la cupidité des marchés ; elle reflète l'irresponsabilité des gouvernants de la zone. Elle est moins une affaire de technique financière que le symbole du malaise européen en général, moins une question de ressources que de coordination politique. Plus grave : elle était évitable.

     

    Il ne dépendait que des dix-sept membres de l'union monétaire d'empêcher que la méfiance des marchés s'étende à l'Espagne et à l'Italie, transformant une difficulté périphérique en crise centrale. On le sait, la dette publique cumulée des trois pays les plus mal en point de la zone euro - la Grèce, l'Irlande et le Portugal - ne représente que 6 % à 7 % du produit intérieur brut de l'Union européenne. Rien qui ne devrait dépasser les capacités d'emprunt des seuls Dix-Sept. Mais ils s'y sont pris de telle manière qu'ils ont semé la panique sur les marchés et le doute sur la solidité de l'ensemble de la zone. Ce ne sont pas les marchés qui ont imposé leur loi ; ce sont les Etats qui n'ont pas été au rendez-vous !

    Au départ, il ne s'agissait que de se mettre d'accord sur un deuxième plan d'aide financière à la Grèce. Le premier n'a pas suffi. Les comptes d'Athènes sont tellement plombés (une dette publique de l'ordre de 150 % du PIB) que la Grèce ne peut financer ses déficits en allant sur le marché. Pour que ses bons du Trésor trouvent acquéreurs, il lui faudrait pratiquer des taux prohibitifs, qui ne feraient que l'enfoncer plus avant dans la dette.

    Les Dix-Sept ont convenu d'une nouvelle assistance de quelque 110 milliards d'euros. Mais prétextant une possible révolte de ses contribuables, l'Allemagne d'Angela Merkel, bientôt suivie par les Pays-Bas et la Finlande, entend que le secteur privé participe, cette fois, à l'opération. Pas question qu'il ne s'agisse que d'"argent public" venant du Fonds d'aide de l'Union, de la Banque centrale européenne (BCE) ou du Fonds monétaire international. Les acheteurs de bons du Trésor grecs - banques, compagnies d'assurances, fonds de pension, etc. - doivent contribuer au deuxième plan de sauvetage de la Grèce.

    C'est ce qu'on appelle la question de la participation du "secteur privé". Elle obéirait à la morale autant qu'à l'économie : ceux qui ont gagné de l'argent en achetant de la dette souveraine doivent aider à sauver les Etats émetteurs... Quitte, pour ce faire, à sacrifier certaines de leurs créances, qu'il s'agisse d'en allonger les délais de remboursement, d'en diminuer le montant ou, lorsqu'elles viennent à échéance, de s'engager à souscrire autant de nouveaux emprunts.

    Volontaire ou forcé, cet engagement revient pour les agences de notation à déclarer la Grèce en défaut de paiement, même temporaire, sur une partie de sa dette. De cela, la BCE ne veut pas. Ce serait pour la zone euro une funeste première, ce que le milieu appelle bizarrement un "événement de crédit", en fait un événement qui jetterait le discrédit sur l'ensemble de l'union monétaire européenne. Il entamerait la réputation de l'euro ; il conduirait, dans toute la zone, à un relèvement des taux d'intérêt. Bref, une catastrophe !

    Pour l'éviter, voilà deux mois que les Dix-Sept sont engagés dans la quête d'un improbable graal : concocter un montage miracle qui ne donnerait pas à la fameuse "participation du secteur privé" l'inélégante allure d'un "événement de crédit". Deux mois que, de réunion en réunion, ils se querellent sur la bonne formule, annoncent des bribes de solution au compte-gouttes, pinaillent et, pire, donnent l'impression de l'indécision la plus totale, comme si le temps ne leur était pas compté.

    Ajoutez à cette attitude irresponsable quelques interrogations des Italiens sur leur propre redressement budgétaire et vous avez le feu à la zone euro : le doute sur la solidité de l'ensemble. Cette crise, les Dix-Sept l'ont ainsi fabriquée tout seuls. Ils ont affiché la désinvolture d'Etats qui ignoreraient que les marchés, créatures sensibles, ne détestent rien plus que le flou et l'indécision.

    Il fut un temps où un chancelier allemand dans de telles circonstances - qu'il s'appelle Helmut Schmidt ou Helmut Kohl - avait assez d'envergure politique pour dire à ses élus : l'intérêt supérieur de l'Allemagne est de ne rien entreprendre qui puisse fragiliser l'euro. Il fut un temps où le même chancelier pouvait, à l'appui de sa démonstration auprès des contribuables allemands, évoquer aussi l'intérêt supérieur de l'Europe...

    A l'évidence, ce temps n'est plus. L'Allemagne est comme les autres membres de l'Union : repliée sur elle-même, d'abord attachée à la défense de ses intérêts nationaux - bref, ayant de l'Europe une vision strictement comptable, "à la Thatcher". Premier ministre britannique de 1979 à 1990, Margaret Thatcher tenait à ce que Londres ne contribue pas -d'un penny de plus à l'Europe que ce qu'elle en recevait.

    Philip Stephens, le plus européen des commentateurs du Financial Times, décrit une Europe redevenue "westphalienne". Comme le voulait le traité de paix de Westphalie signé en 1648, elle s'organise à nouveau autour de la notion sacralisée de souveraineté nationale. C'en est fini - dit Stephens pour le regretter - de cette "expérimentation postmoderne que fut (...) une construction européenne fondée sur l'idée de souveraineté partagée".

    Pour son malheur, l'euro souffre ainsi du même mal congénital que celui affectant les velléités de politique extérieure et de sécurité communes : alors que son existence suppose un minimum d'esprit de solidarité, le sens d'un intérêt partagé, il a été lancé au moment où, les campagnes souverainistes aidant, les Etats membres regagnaient toutes leurs prérogatives aux dépens des institutions communautaires. La crise de l'euro est une crise de l'Europe, de l'envie d'Europe - l'histoire d'une libido qui flanche.


    frachon@lemonde.fr


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  • Finkytraining : niveau talmudiste

     


    la solution de BHL pour le monde por sebas54dieuce

     


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  • Le plafond de la dette pour les Nuls

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    Alors que les discussions entre démocrates et républicains sont toujours dans l'impasse, le magazine "Mother Jones" rappelle à ses lecteurs pourquoi il est vital pour les Etats-Unis de relever le plafond de leur dette.

    Revenons-en aux bases : le 2 août (à moins que ce ne soit quelques semaines plus tôt), l’Etat américain atteindra le seuil maximum légal de ce qu’il peut emprunter – ce que l’on appelle également le "plafond de la dette". Pour l’heure, il est fixé à 14 300 milliards de dollars [10 120 milliards d’euros]. L'argent obtenu grâce à ces emprunts, le gouvernement s'en sert pour tout payer, des restitutions de l'impôt aux guerres en passant par les pensions des anciens combattants. Sans oublier les remboursements des créanciers – dont la Chine, le Japon, le Royaume-Uni, les Etats et les municipalités américaines, les fonds de pension, des investisseurs en Amérique et dans le monde entier.
    Le principe du plafond de la dette existe depuis 1917. Auparavant, le Congrès devait donner son approbation à chaque fois que le département du Trésor souhaitait vendre la dette américaine pour récupérer des fonds. En instaurant une limite à l’emprunt, on donnait davantage de flexibilité au gouvernement fédéral, dès lors capable de remplir ses coffres sans passer systématiquement par le Congrès. Les législateurs ont bien souvent relevé le plafond de la dette (dont huit fois au cours des dix dernières années), et le secrétaire au Trésor Tim Geithner a prévenu que si, cette fois, on ne le faisait pas, les Etats-Unis se déclareraient en cessation de paiement et cela "ébranlerait les fondations de l’ensemble du système financier mondial”.

    Que se passera-t-il si le Congrès ne relève pas le plafond de la dette ? En un mot, ce sera une catastrophe. Du moins, c’est ce que Geithner a déclaré au Congrès en janvier. Dans une lettre lourde de menaces, il a écrit qu’un défaut de paiement des Etats-Unis sèmerait la dévastation dans l’économie nationale et aurait pour principale conséquence de lourdes taxes pour tous les Américains.

    C’est une des premières leçons d’économie. Si vous vous avérez incapable de rembourser votre crédit immobilier, par exemple, ou celui que vous avez contracté pour votre voiture, les créanciers estiment que vous représentez un risque plus aigu. Par conséquent, à l’avenir, vos nouveaux emprunts vous coûteront plus cher. Il en va de même dans l’affaire qui nous préoccupe, sauf que là, tout le monde – les consommateurs, les municipalités, les Etats, les entreprises et le gouvernement – va payer plus cher ses emprunts si l’Etat fédéral ne règle pas ses échéances, nous assure Geithner. Pour ne rien dire du fait que le gouvernement va se retrouver à cours de liquidités pour verser les salaires des fonctionnaires et des militaires, les pensions des anciens combattants, les prestations sociales et de santé, les allocations chômages aux Etats, les restitutions d’impôt aux personnes privées et aux entreprises, et ainsi de suite.

    Et maintenant, où en est-on ? Les parlementaires républicains refusent de relever le plafond de la dette sans une réduction significative des dépenses publiques. Le gouvernement fédéral n’est à leurs yeux qu’un panier percé laissant les déficits échapper à tout contrôle et mettant en péril l’intégrité du pays. "Nous vivons une crise de la dette, a déclaré Eric Cantor, représentant de l’Etat de Virginie et chef de la majorité républicaine à la Chambre des représentants. Les Américains attendent de nous que nous tenions nos promesses sur la crise des dépenses à Washington." Majoritaires à la Chambre des représentants, les républicains peuvent bloquer toute proposition de relèvement du plafond de la dette jusqu’à obtenir satisfaction sur leurs demandes de forte réduction des dépenses publiques.

    Les démocrates, eux, considèrent l’obstruction des républicains comme une bravade politique et un jeu dangereux qui pourrait pousser les Etats-Unis en situation de défaut de paiement. Pendant des mois, un groupe biparti, constitué de parlementaires et de représentants de l’administration Obama et dirigé par le vice-président Joe Biden, a bien essayé de trouver un accord sur la réduction du déficit fédéral (qui s’élève à près de 930 milliards de dollars) en échange du soutien des républicains sur le relèvement du plafond de la dette. Mais les négociations ont toutefois achoppé fin juin. En quête de nouveaux revenus, les démocrates ont proposé de réduire de manière draconienne les subventions accordées aux sociétés pétrolières (soit 21 milliards de dollars) sur dix ans. De leur côté, les républicains ont rejeté tout projet d'augmentation de l'impôt. Le 23 juin dernier, devant le refus des démocrates de renoncer à toute augmentation, Eric Cantor et Jon Kyl, sénateur républicain de l’Arizona et numéro deux du parti au Sénat, ont finalement mis un terme à ces discussions.

    Résultat, à quelques jours de l'échéance, la question du relèvement du plafond de la dette a atterri sur le bureau du président Obama.


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  • La baronne Morano, le rival d’Israël et les bougres de Fukushima

    Nous sommes en campagne.

    Hier la baronne Morano était envoyée au front ONPC pour claironner des vérités fondamentales.

    D'une part, il n’y a aucune embrouille dans son parti.

    Copé aime Fillon.

    D'autre part, elle va révolutionner l'Education Nationale.

    Ces nouvelles, on s'en doute, sont aussi crédibles l'une que l'autre. Dans son parti on s'entrégorge et dans l'Education Nationale on éduque élèves et parents à aller dans le privé. C'est la seule forme d'éducation qui soit claire.

    Disons tout de même un mot de sa réforme : donner plus de lustre aux métiers manuels.

    Je lui donne un tuyau. (C'est le cas de le dire.) Qu'elle procède par l'exemple. C'est ainsi que la semaine dernière j'ai donné 25 euros à un médecin en visite chez moi pour vérifier la tuyauterie de ma mère et 350 euros à deux "détecteurs de fuites " qui ont vérifié la tuyauterie de ma piscine. Certes ils avaient une caméra. Mais quand même. D'un côté les clients sont pénibles, ainsi ma mère qui accueille tout intervenant en hurlant : "Putain, sortez connard !"De l'autre, un tuyau plastique qui est plus coi. De même, « garagiste » est plus rentable que « prof ». Sortir de chez le garagiste avec seulement une note de 600 euros est vraiment une merveilleuse nouvelle. Je ne parle pas des plombiers que l'on accueille avec du champagne et des vidéos quand ils daignent venir.

    Bon. Voilà ce qu'il faut dire, madame Morano !

    Elle, en tout cas, ne doute pas de sa réussite et se voit très bien ministre de l’Education Nationale. Dans le cadre de l’entreprise du NWO qui veut détruire le service public, après Allègre et Ferry, celui qui laisse courir les pédophiles, elle serait un incontestable atout !

    Que cette Morano soit revêche, pète-sec, soûlante, gueularde, vulgaire, imbue de sa réussite, puisqu’elle répète à toutes les phrases « ce n’est pas parce qu’on est ministre… », comme si elle n’y croyait pas elle-même, n’est une révélation pour personne. Mais elle soigne son look. Comme Hollande, elle a taillé dans le gras. (Extérieur). Sa nouvelle coupe au bol et ses airs d'innocente collégienne pourraient à la rigueur exciter quelque japonais irradié, mais chez nous aucun muscle ne se tend si ce n’est celui de la fesse qui propulse le corps vers l’ailleurs.

    Ah ! Morano, Jouanno, Bachelot, Kosciusko : Les voilà les Miss O qui rendent "gyne" ! (Bon...C'est lundi…)

    Je pense d'ailleurs à ce sujet qu'il faut absolument interdire la politique aux femmes,

    Si c'est pour se rendre compte qu'une femme peut-être aussi vénale, menteuse, magouilleuse, hypocrite, basse qu'un homme, il vaut mieux qu'elles restent chez elles à tricoter, noble occupation où les comptes de mailles ne peuvent qu'être rigoureux. 

    Ce soir-là, à ONPC, le nouveau centre de campagne de l'UMP, madame Morano parle haut.

    Il est vrai qu'elle s'adresse à un parti de vieux et que ces gens-là sont souvent durs d'oreille. Mais avec des micros, il faut le lui dire, c'est inutile. Elle n’est pas sur un marché. Elle nous a explosé la cicrane et ce d'autant plus que les ex- molosses, les Eric, sont shootés au valium avant chaque émission et ne peuvent donc couper les longues tirades tympanicides de la Morano.

    Ruquier, dont on connaît maintenant la couleur des boxers-shorts, laisse cette virago s'exprimer comme on laisse un orque faire des galipettes dans un bassin : sous les applaudissements.

    Mais Ruquier lance un sujet : L’histoire de cette vendeuse (une fille chocolat d'après les photos, hé oui, les noirs sont souvent chocolat,) mise au chômage pour avoir crié au Printemps :

    -Il y a Morano dans le magasin ! Qui va lui casser la gueule à celle-là !" car elle était accompagnée de son garde du corps.

    Certes la formule est énergique mais comme le faisait remarquer Macé-Scarron, qui a perdu toute chance d'être chroniqueur dans ONPC l'an prochain : "L'exemple doit venir d’en haut et quand on a un président de la République qui tient des propos obscènes, (Allusion au célèbre jingle « Casse-toi, pov-con ») ,il ne faut pas s’étonner de certains dérapages ! »

    Grand éclat de rire quand Morano rappelle qu’elle est ministre du travail et de la solidarité !!

    Biolay, alors, intervient. A-t-il été comme la rumeur l’a dit, le consolateur de Bruni ? Ce n’est pas invraisemblable car ce garçon, très mou, est une parfaite antidote aux gesticulations de qui l’on sait. Un havre d’inexpressivité parfaite. Une oasis propre à l’oubli et au roupillon. Biolay, pour commencer, critique la ministre mais, sans doute, un texto sur son mobile, de la part de la prod de son film, lui indique qu’il commet une erreur, car deux minutes après il a changé d’avis.

    C'est alors que Naulleau, le malheureux, muselé par maintes et maintes interventions de Ruquier, ne pouvant supporter son bâillon, grattant ses liens de toutes ses forces, s'échappe tout à coup, comme ces chiens attachés à leur niche et qui, épris de liberté, après s’être furieusement débattus, cassent leurs liens et courent bouffer l’intrus qui les provoque !!!

     Que n’ose-t-il pas dire !!

    "La mesure est disproportionnée et même si vous ne l’avez pas demandée, vous en êtes responsable ! »

    Morano hurle.

    Ruquier monte sur la statue du commandeur et dit qu’il soutient « madame la ministre » (non, mais on a compris qu’elle est ministre ! Le choc est passé !) Il affirme que l’on peut faire ses courses sans être insulté, et il a le mot de la fin :

    « Qu’est-ce qu’on raconte que « madame la ministre » a mis une femme au chômage puisqu’une autre qui était au chômage a eu un emploi et qu’elle sera peut-être plus polie ! »

    On est dans les bas-fonds que le corium de Fukushima n’atteindra jamais ! En d’autres temps un suicide d’honneur eût suivi mais là une promotion s’annonce ! 

    Ruquier sera-t-il ministre de l'information ? Président de toutes les chaînes confondues ?

    Il ne lui reste plus qu’à souhaiter que Sarkozy soit élu.

    Car si ce n’est pas le cas, Zemmour et Naulleau ne le prendront pas dans leur émission !!

    Sic transit gloria media mundi !

     

    Passons à Israël qui sont les amis des Zuniens, qui sont nos amis.

    Enfin, on le croyait.

    Les chiens, que nous ont-ils fait !

    Nous avions envoyé Miss Lagarde, à grands frais, faire sa campagne pour être directrice du FMI, c’est quand même nous qui payons, et que n'apprend-on pas ? Qu'un Israélien vient de déposer sa candidature ! Stanley Fischer. S'il devient président du FMI, on l'appellera Fischer-Price.

     Et nous serons ses jouets. 

    Gagnera-t-il ?

    Peut-être pas.

    Sa candidature présente, d'après certains, deux inconvénients.

    D’une part son âge : 67 ans. ( Pourquoi ? Ne peut-on plus être client des suites Sofitel à cet âge ?) Non. En fait les règles du FMI sont que le directeur ne peut pas plus avoir plus de 65 ans. ( Mais que vont-ils se tracasser pour ces broutilles ? Obama ne connaît-il pas un spécialiste des actes de naissance ?)

    D’autre part il serait à la fois Israélien et Américain. Encore ces problèmes de double nationalité.

    Alors là, arrêtez tout ! Il n’a aucune chance !

    Il est vrai qu'actuellement, pour réussir en politique et dans les affaires, être Américain et Israélien à la fois est un sacré handicap. Va-t-il falloir que Nettanyahou appuie sa candidature au Sénat ???

    Mais qui est ce Stanley Fischer ?

    On nous dit que c’est une grosse pointure. Spécialiste des affaires, des banques et des marchés. Ouais…Les Grecs vont l’adorer…. Il est , tenez vous bien : gouverneur de la banque d’Israël, vice-président et chef économiste à la Banque mondiale, directeur exécutif adjoint du FMI, vice-directeur de Citigroup, président de Citigroup International. « My City is rich », comme on l’apprend dans la méthode « Assimil vite les réalités de ce monde. »

    Mais ne sera-t-il pas tenté de favoriser Israël ? Si DSK, qui était Français, pensait à Israël tous les matins en se levant (sauf le fameux matin où il pensait à la Guinée) que dire de ce Stanley Fischer ?

    Bon. Récapitulons. Quelles sont les chances de notre grise ? Peut-on parier un kopeck sur elle ? (Monnaie plus sûre que le dollar.)

    Est-elle protestante ? Pour être plus claire est-elle Wasp ? (White-anglo-saxon protestant.)

    Car il paraît qu'en ce moment dans les hautes sphères du Nouvel Ordre Mondial, et ce d’après Thierry Meyssan, il y a une guerre entre Sionistes et Waspistes. (Comme qui dirait entre T-Rex et Brontosaures. ) C'est leur problème mais le nôtre c'est que ces races là ont d'énormes estrons qui nous tombent sur la tête. Chaque fois qu'ils chient c'est une guerre, une banqueroute, un tsunami !

    Alors ? Sioniste ou Wasp ? Résultat des courses de ces combats qui se passent au-dessus de nos têtes comme autrefois ceux des dieux de l’Olympe ?

    Hé ben les Wasp ont gagné ! On apprend ce matin que la candidature de Fischer, vu son âge, n’a pas été retenue. A quoi rimait cet effet d’annonce ? D’un candidat qui ne remplissait pas une condition fondamentale ? On ne le saura jamais.

    Il reste à Lagarde à affronter le Mexicain Agusto Carsten, encore un membre du sérail, gouverneur de la Banque du Mexique et ancien vice-directeur du FMI. Un homme énergique malgré une corpulence qui tentera les caricatures. 

    Ce physique à la Daumier enchantera ceux qui voudront représenter l’appétit du FMI . En ce qui concerne l’Europe, Carsten est plein de bonnes intentions puisque, fin mai, lors de son passage en Espagne, il avait déclaré : "après trois ans de crise et avec un directeur général européen, la crise européenne n'est pas résolue". Un non-Européen verrait "les problèmes européens avec plus d'objectivité (...) ce qui pourrait donner un plan d'action peut-être un peu plus sévère mais aussi plus réaliste".

    On n’est pas sorti de l’auberge. Espagnole, bien sûr.

     

    A propos de tsunami, une nouvelle commence à courir les forums d'internet. Plusieurs journaux, en 2010, avaient annoncé que le Japon allait enrichir de l'uranium pour l'Iran avec l'accord de la Zunie. http://www.hindustantimes.com/Japan-offers-to-enrich-uranium-for-Iran-report/Article1-512391.aspx

    http://www.insidejapantours.com/japan-news/1162/japan-makes-uranium-offer-to-iran/

    http://www.thenewamerican.com/index.php/world-mainmenu-26/asia-mainmenu-33/3016-japan-offers-to-enrich-uranium-for-iran

    Bigre !

    Ca c'est une nouvelle !

    Vous allez dire : mais c'est complètement invraisemblable ! Encore cette diarrhée complotiste qui est plus violente que celle de l'e-coli !

    Non, non. Rien n’est invraisemblable dans ce domaine. Le nucléaire est le grand jouet des puissants et de la Mafia. Ils trafiquent avec ça comme nous avec des cigarettes à la frontière espagnole. Exemple ? L’Egypte vient d’apprendre qu’elle avait chez elle une centrale cachée, qui d’ailleurs vient d’avoir une fuite. Oui, le 25 mai. A Anshas, dans la banlieue du Caire. Près des Pyramides. A chaque époque ses monuments. Un accident quand même classé 3 comme Fukushima à ses débuts. L’explosion de l’une des pompes du réacteur a provoqué une fuite d’eau radioactive d’une dizaine de mètres cubes. C’est le 2e accident de ce type en un an. Le directeur du département de recherche nucléaire égyptien, Samer Meikheimar, a précisé que “Le fait que le réacteur était par chance non activé le lendemain de l’incident a sauvé le territoire d’un désastre environnemental“.C’est dans ce contexte que l’Egypte s’apprête à construire une première centrale nucléaire à Al-Dabaa, sur la côte méditerranéenne, au nord du pays. Il s’agirait d’une centrale de 1000 mégawatts destinée à entrer en production en 2019 .

    Si vous avez envie de visiter l’Egypte, allez-y vite.

    http://bistrobarblog.blogspot.com/2...

    Par ailleurs, il existe maintenant des centrales portables individuelles qui se commercialisent comme des radiateurs. En vente sur i-shop. Un peu chères quand même, 25 000 dollars, mais c’est un début. Rappelez-vous au début du prix des écrans plasmas. http://www.i-shop.re/i-buzz/mini-re...

    Donc le plutonium fait tous les marchés noirs, et les déchets nucléaires sont dans nos ciments, nos tissus, nos salades, puisqu’une bonne irradiation ne plaît pas aux vers de terre…Il paraît aussi que ça soigne les cancéreux, grand argument. Ce même nucléaire qui donne aussi le cancer. Serait-ce un circuit fermé ?

    Comment se fait-il que nos medias ne nous en parlent pas ? Parce qu'ils sont nos medias. Et que « media » fait partie de ces mots mutants qui ne veulent plus dire ce qu'ils voulaient dire autrefois. Hé oui, il n'y a pas que les bactéries qui mutent. Médias veut dire « musique d’ascenseur pour l’échafaud », socialiste veut dire « libéral de Bilderberg », Sarkozy veut dire « Le Pen », démocratie veut dire « hangar aux bestiaux », Onu veut dire « autorisation de tuer ». Revoyez votre vocabulaire.

     

    Pendant ce temps une nouvelle expérience est tentée autour de Fukushima.

    Combien de temps la population Japonaise va-t-elle résister aux radiations de ces centrales en fusion ?

    Les tokyoïtes passent leur temps à mesurer ces fameuses radiations qui ont ceci de curieux qu’elles s’étendent sous forme de taches de léopards. C’est ainsi que sur votre balcon tout peut être nickel. Mais au bas d’une gouttière au bas de votre escalier cela peut être du grésillement grésillant ! Chante mon Geiger, chante ! Si votre enfant laisse glisser sa baballe et va jouer par là… Ah oui, tant pis !

    Les japonais de Fukushima sont-ils plus costauds que ceux d'Hiroshima et de Nagazaki ?

    Une nouvelle campagne, signée Séguéla, est lancée pour les stimuler : « Un kamikaze n’est pas un naze. Un samouraï ne dit pas « Aïe » ! »

    Le G8 a dit au Japon qu’ils étaient sûrs qu’ils allaient s’en tirer et ils leur ont donné un bonne tape dans le dos !

    C’est un génocide cool.

    Le Japon est responsable. Les Etats sont responsables. Le Nord de ce pays est condamné. Le Japon sera condamné si on laisse glisser le corium jusqu’aux nappes phréatiques. Il n’y aura plus de Japon. Il n’y aura plus de geisha. L’ukiyo-e, leur monde flottant, sera noyé sous le temple d’or de Kyoto. Un monde sera mort dans son cercueil bleu.

    Ca prendra le temps que ça prendra. Personne n’est pressé. Les bourses fonctionnent. Areva vend son mox. Qui vivra verra. Qui mourra ne verra plus…On ne vit qu’une fois. Et cette fois ce n’est pas la bonne. Dommage les gars…

     

    Je voudrais finir en vous conseillant un film super marrant.

    Il s’agit de « Low cost » que je suis allée voir sans grande conviction et qui m’a fait mourir de rire. Un film dans la lignée d’ « II y a-t-il un pilote dans l’avion ? » et dans la tradition burlesque des Monty Pythons ! Une grande inventivité. De supers comédiens (Darmon, Rouve et Godrèche) sans oublier une multitudes de seconds rôles parfaits comme dans tous les bons films. Ne vous laissez pas avoir par les critiques snobs qui le descendent !

    Les bons moments nous sont comptés. Ne comptez pas vos pas ! Courez-y !!

    par Ariane Walter mardi 14 juin 2011

     


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  • Maçonnerie : le mensonge républicain


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  • La CIA dispose d'un "vaste complexe clos" en Somalie

    L'agence de renseignement américaine utilise un complexe secret en Somalie, ainsi qu'une prison située dans la capitale Mogadiscio, pour mener à bien des activités en matière d'anti-terrorisme, assure le magazine The Nation.

    La CIA dispose d'un "vaste complexe clos" sur la côte de l'océan indien qui ressemble à une petite communauté fermée, avec plus d'une dizaine de bâtiments derrière d'imposants murs de protection, assure le magazine. Le complexe dispose de son propre aéroport et est gardé par des soldats somaliens, mais ce sont les Américains qui contrôlent les entrées, selon la même source.


    The Nation indique que la CIA cherche à mettre sur place "une force d'attaque autochtone capable de mener des attaques furtives et de prendre pour cible des opérations de combat" contre les insurgés islamistes shebab liés à Al-Qaïda, assure The Nation, plus ancien hebdomadaire des Etats-Unis.

    Il souligne que la CIA utilise aussi une prison secrète située au sous-sol du siège des services de renseignement somaliens (NSA), où les personnes soupçonnées d'être des membres des shebab, ou d'avoir des liens avec le groupe, sont détenues.

    Certains prisonniers ont été capturés au Kenya ou dans d'autres endroits, toujours selon la même source, qui précise que la prison est officiellement placée sous l'autorité de la NSA, mais que ce sont des agents de la CIA qui mènent les interrogatoires et qui versent des salaires au personnel.


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