• suite à la video de  Marion Sigaut


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  • Quel pourrait être le nouveau paradigme révolutionnaire ?

     

    Je suis fondamentalement d’accord avec Jean Zin : la notion de « décolonisation de l’imaginaire » (Serge Latouche) ou de « réveil des consciences » (Pierre Rahbi) est totalement insuffisante, car le grand problème est d’abord celui des institutions. Nous avons besoin d’un principe qui guide nos pas et qui soit capable de fédérer notre action. Les objecteurs de croissance revendiquent « plus de liens et moins de biens » mais comment y parvenir ? Beaucoup de nos amis ne croient pas en la possibilité de faire rêver et de défendre des intérêts, c'est pourquoi ils s'en remettent à la pédagogie des catastrophes. Ces adeptes de « la décroissance faute de mieux » se condamnent à l'impuissance. Je fais, au contraire, le pari opposé : celui du caractère désirable de notre projet. Ce qui suppose de partir de ce qui constitue l’angle mort de tout système car la solution est toujours du côté de la béance… entendue comme ce qui suture la structure. Toute société est en effet fondée sur un Interdit structurel : la monarchie a ainsi fait du régicide le crime absolu ; la bourgeoisie a ensuite élevé le respect de la propriété privée au rang de tabou ; l'interdit de la gratuité est désormais ce qui fait système et suture la société de l'hyper-capitalisme. C'est pourquoi contrairement aux autres sociétés marchandes qui ont toujours toléré un secteur gratuit (religieux ou laïc), l'hyper-capitalisme, fondé sur la vénalisation du marchand, ne peut que sacrifier la gratuité. Nos anciens ont dû guillotiner Louis XVI, Proudhon a martelé que « la propriété, c'est le vol », c'est désormais de la défense de la (quasi)gratuité que nous devons partir pour espérer fissurer l'édifice et élargir, peu à peu, cette fissure au point d'en faire société : de la défense des gratuités existantes à l'extension constante de la sphère de la gratuité.....

    par Pyrathome vendredi 29 juin 2012


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  • Le siècle des Lumières (Culture Infos)

     

    Programme Arte Samedi 30 juin 2012 / 20h45 - 22h30

    20h45 (55 mn)La diffusion du savoir

    Le siècle des Lumières : La diffusion du savoirEpisode 1 sur 2

    Le siècle des Lumières remet en cause la monarchie absolue, questionne les dogmes de l'Eglise, formule les principes démocratiques et jette les bases de l'Etat moderne.

    Plus d'infos sur cet épisode de Le siècle des Lumières


    21h35 (55 mn)La transformation de la société

    Le siècle des Lumières : La transformation de la sociétéEpisode 2 sur 2

    Portrait de trois figures emblématiques du siècle des Lumières : le Français Condorcet, l'Américain Thomas Jefferson, et le roi de Prusse Frédéric II.

    Plus d'infos sur cet épisode de Le siècle des Lumières


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  • L'Expansion.com avec AFP - publié le 29/06/2012 à 18:39

    Le déficit public a fortement dérapé au premier trimestre. Le gouvernement pointe du doigt la hausse du chômage, qui entraîne une flambée des prestations sociales.

    Le Premier ministre Pedro Passos Coelho doit faire face à une hausse de 23% des prestations sociales, au lieu des 3,8% prévus.
    Le Premier ministre Pedro Passos Coelho doit faire face à une hausse de 23% des prestations sociales, au lieu des 3,8% prévus.
    REUTERS/Daniel Piris

    La Grèce et l'Espagne ont tendance à le masquer. Mais il y a d'autres pays malades dans la zone euro. Le déficit budgétaire du Portugal, sous assistance financière de l'UE et du FMI, s'est nettement creusé à 7,86% du PIB au premier trimestre, faisant craindre un dérapage qui éloigne le pays de l'objectif de 4,5% exigé par ses créanciers d'ici la fin de l'année. "Le déficit des administrations publiques s'est établi au premier trimestre 2012 à 7,86% du PIB trimestriel, non ajusté à la saisonnalité", a indiqué vendredi l'Institut national des statistiques (Ine) dans une note à l'AFP, après avoir annoncé que ce déséquilibre s'élevait à 3,217 milliards d'euros. Sur douze mois, le déficit des administrations publiques s'est creusé à 4,3% du produit intérieur brut (PIB) à la fin mars, contre 4,2% à la fin décembre, en raison d'un recul des recettes des impôts sur la production (-1,7%) et d'une hausse des prestations sociales (+1,2%).

    "Le gouvernement réaffirme son engagement par rapport au programme (d'aide internationale) et ses objectifs, mais n'ignore pas qu'il y a davantage de difficultés", a réagi le Premier ministre portugais Pedro Passos Coelho, à l'issue du sommet européen qui s'est conclu vendredi à Bruxelles. Le chef du gouvernement de centre-droit s'est une nouvelle fois dit prêt à prendre de nouvelles mesures d'austérité si elles étaient nécessaires pour garantir le respect des objectifs budgétaires. "Une perte de crédibilité est ce qui pourrait arriver de pire au Portugal", a-t-il dit.

    En échange d'un prêt de 78 milliards d'euros, octroyé en mai 2011 par l'Union européenne et le Fonds monétaire international, le Portugal s'est engagé à mettre en oeuvre un vaste plan de rigueur et de réformes sur trois ans. Mais cette cure d'austérité sans précédent doit provoquer cette année une récession de 3% du PIB et un taux de chômage record de 15,5%, selon les prévisions officielles.

    Une hausse du chômage largement sous-estimée

    Lisbonne avait marqué un point en affichant l'an dernier un déficit de 4,2% du PIB, alors que ses créanciers avaient fixé la barre à 5,9%. Mais ce résultat avait été obtenu grâce à des recettes exceptionnelles de près de 6 milliards d'euros, sans lesquelles le déficit se serait élevé à 7,7% du PIB. Les données publiées la semaine dernière sur l'exécution budgétaire de janvier à mai 2012 révélaient déjà une baisse des recettes fiscales de 3,5% et une hausse des dépenses sociales qui, selon l'opposition et nombre d'analystes, font craindre un dérapage des comptes publics.

    En dépit d'une hausse de la TVA appliquée à de nombreux produits, les recettes de cet impôt ont par exemple baissé de 2,8% sur les cinq premiers mois de l'année, alors que le gouvernement table sur une hausse annuelle de 11,6%. Sous-estimée par les autorités locales comme par la "troïka" UE-BCE-FMI, la hausse du chômage a en outre provoqué une augmentation des prestations sociales de 23%, contre une prévision de 3,8%. Si les difficultés budgétaires suscitent de nouvelles inquiétudes au plan interne, le Premier ministre portugais s'est félicité de l'accord auquel sont parvenus les dirigeants de la zone euro vendredi, qui a permis une accalmie sur les marchés financiers vis-à-vis de l'Espagne et de l'Italie. "Nous n'avons peut-être pas réglé tous les problèmes de l'Union européenne, mais les conclusions (du sommet) n'ont pas déçu les attentes", a déclaré M. Passos Coelho, jugeant qu'elles aideront le Portugal à se refinancer normalement à partir de septembre 2013, comme le prévoit son plan d'aide.


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  • L'association nationale des directeurs des ressources humaines (ANDRH) a proposé vendredi un débat afin de "neutraliser" trois jours fériés chrétiens en les transformant en jours de congés à poser librement, suscitant le scepticisme des responsables religieux.

    A l'occasion de leurs assises annuelles, tenues en présence du ministre du Travail Michel Sapin, les DRH ont préconisé de "neutraliser trois des six jours fériés d'origine chrétienne (Pentecôte, Ascension, 15 août jour de l'assomption) afin que les salariés puissent les prendre comme ils le souhaitent".

    Les DRH proposent de conserver Noël, le lundi de Pâques et la Toussaint en raison de leur "forte dimension sociétale".

    L'objectif serait de permettre aux salariés de confession musulmane ou juive, par exemple, de pouvoir bénéficier de ces trois jours afin de célébrer leurs fêtes religieuses.

    "La conférence des évêques de France est prudente", a commenté auprès de l'AFP son porte-parole Bernard Podvin, jugeant que la proposition de l'ANDRH "n'est pas la bonne réponse à la diversité".

    Selon lui, cette question n'a jamais été discutée par les religions mais pourrait l'être à la prochaine réunion de la Conférence des responsables de culte en France (CRCF), à l'automne.

    Le Conseil français du culte musulman (CFCM) plaide de son côté pour "une meilleure utilisation du dispositif actuel qui donne aux fonctionnaires et aux salariés l'autorisation de s'absenter lors des jours de fêtes religieuses non fériées".

    Joseph Thouvenel, vice-président de la CFTC, le syndicat chrétien, s'est "étonné" que "les DRH fassent ce type de propositions sans consulter au préalable les organisations syndicales".

    Ces jours "sont des jours de la République inscrits dans le code du travail de la République". "Ils sont des marqueurs de temps privilégiés du lien social, familial et associatif, indispensables pour l'équilibre de notre société", a réagi M. Thouvenel auprès de l'AFP.

    Pour Jean-Christophe Sciberras, DRH de Rhodia et président de l'ANDRH, à l'origine de cette proposition, il s'agit de répondre à plusieurs questions: "Comment fait-on pour s'organiser sur le rythme d'une religion dominante qui n'est plus celle de la France d'aujourd'hui? Comment combiner organisation de l'entreprise et convictions profondes de chacun?"

    "Ce ne serait pas compliqué de trouver un terrain d'entente avec les syndicats", pronostique M. Sciberras, qui privilégie l'hypothèse "non pas d'un débat au niveau national, mais au niveau des accords de branches et des accords d'entreprises". Il note qu'une telle mesure serait plus pertinente dans certaines régions, pointant l'exemple de l'Ile-de-France.

    Les DRH proposent de


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    A l’occasion du 300e anniversaire de la naissance de Jean-Jacques Rousseau, Alain Soral s’exprime sur le philosophe, au micro de la radio suisse Canal 3 :

     

    Alain Soral sur JJ rousseau

    voir aussi cette video liée : ici

    voir aussi ces videos de Guillemin ici


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  • Couples homosexuels. Le mariage et l’adoption, c’est pour 2013

    Faits de société vendredi 29 juin 2012

     

    Une loi autorisant le mariage et l’adoption pour les couples de même sexe, promise par François Hollande pendant la campagne présidentielle, sera votée d’ici le premier semestre de 2013.


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  • La Turquie a déployé jeudi des soldats et des blindés le long de sa frontière avec la Syrie. D’abord relayée par les médias, l’information a été officieusement confirmée par Ankara, qui dit agir à titre préventif, une semaine après que son voisin a abattu un avion de combat turc et tiré sur un autre.

    « Je peux confirmer que des troupes sont en cours de déploiement le long de la frontière dans la province d’Hatay. La Turquie prend des précautions après la destruction de son avion », a déclaré un responsable gouvernemental sous couvert d’anonymat.

    Plus tôt dans la journée, les médias turcs ont rapporté qu’un convoi d’une trentaine de véhicules blindés avait quitté la ville côtière d’Iskenderun, située sur les bords de la mer Méditerranée.

    Sur des images tournées par la chaîne de télévision publique TRT, on peut voir la colonne de blindés, escortée par des voitures de la police sur l’autoroute menant au principal port de la province d’Hatay. Parmi les véhicules en route vers la frontière se trouvait un camion tractant une batterie de missiles sol-air, et d’autres transportant des lance-roquettes.

    Selon l’agence de presse officielle Anatolie, une autre colonne de blindés ferait également route plus à l’est le long de la frontière avec la Syrie, dans les provinces de Sanliurfa et Gaziantep. L’agence signale que plusieurs véhicules militaires ont par ailleurs été déplacés jusqu’à la ville frontalière de Reyhanli, située elle aussi dans la province d’Hatay qui abrite plus de 33 000 réfugiés syriens ainsi que des éléments de l’Armée syrienne libre (ASL), qui s’oppose au régime de Bachar Al-Assad.

    Ce déploiement de forces intervient alors que les tensions sont vives entre Ankara et Damas à la suite de la destruction d’un chasseur F-4 Phantom turc par l’armée syrienne vendredi dernier. Dénonçant un acte hostile, la Turquie avait prévenu qu’elle renforcerait sa sécurité dans la région tout en excluant un conflit armé avec la Syrie.

    Il y a deux jours, le premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan a annoncé une modification des règles d’engagement de l’armée turque sur les 900 km de frontière qu’elle partage avec son voisin. Tout élément militaire approchant la Turquie et qui serait jugé menaçant sera traité comme une cible militaire, a-t-il prévenu alors qu’il s’exprimait devant le Parlement. Au passage, le chef du gouvernement a une nouvelle fois violemment condamné le régime syrien, le qualifiant de « dictature cruelle ».

    Selon le journal Taraf, la Turquie envisagerait de créer une « zone de sécurité » le long de sa frontière. L’armée a toutefois démenti être en « état d’alerte » après la perte de son avion de combat.


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  • apocalypse de saint Jean : denissto vs jovanovic... por infoguerilla

    Petit démontage en règle des théories approximatives de Pierre Jovanovic par Denissto, un personnage qui gagne assurément à être connu.


    Revenant sur différentes confessions de Jovanovic, Denissto aborde par le menu les enjeux des écrits apocalyptiques, souvent dévoyés par l'auteur de "777".

     

    Une leçon d'humilité donnée par un personnage d'une grande érudition, que l'animateur prolifique d'Ici et Maintenant saura peut-être entendre entre deux ouvrages rétributeurs...

    par Madoff m’a voler lundi 25 juin 2012


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  • Hervé Juvin : "Propos d'Europe" por realpolitiktv

    Faut-il plus d’Europe ? Faut-il aller vers un fédéralisme qui mette en commun les budgets, les impôts et les dépenses ? Faut-il renvoyer chaque nation à ses responsabilités ? Que faire ? C’est la question qui s’impose de plus en plus devant la fuite en avant dont la situation grecque, aujourd’hui encore ; la situation espagnole chaque jour davantage, donne le regrettable exemple. Enregistré le 30/05/2012.


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