• note Webrunner : alors qu'en France la police les laisse tranquilles!!!

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    Par Marc Henry Mis à jour <time class="updated" datetime="10-02-2013T20:38:00+02:00;">le 10/02/2013 à 20:38</time> | publié <time datetime="10-02-2013T17:58:00+02:00;" pubdate="">le 10/02/2013 à 17:58</time> Réactions (50)
    La «Familia» compte quelques centaines de supporteurs de l'équipe de football du Beitar ­Jérusalem.
    La «Familia» compte quelques centaines de supporteurs de l'équipe de football du Beitar ­Jérusalem. Crédits photo : Bernat Armangue/AP

    La «Familia» antiarabe est traitée comme une organisation criminelle.

    Jérusalem

    Israël était dimanche sur le pied de guerre, face à un nouvel ennemi apparu au cœur même de Jérusalem: «la Familia». Sous ce terme aux résonances mafieuses se cache un petit groupe de quelques centaines de supporteurs de l'équipe de football du Beitar ­Jérusalem, qui hurlent des slogans racistes dans les tribunes avec une prédilection pour «Mort aux Arabes». Le phénomène a pris une telle ampleur qu'il suscite une mobilisation générale. Le président Shimon Pérès, le chef du gouvernement Benyamin Nétanyahou, des ministres, les chefs de la police, Nir Barkat, le maire de Jérusalem, sans compter la Fédération israélienne de football et la grande majorité des supporteurs du club dénoncent tous le racisme de la «Familia». Historiquement, le Beitar Jérusalem est lié au Likoud, le parti de droite de Nétanyahou.

    Des centaines de policiers en uniforme et en civil ont été déployés dimanche soir dans et autour du stade Teddy à Jérusalem pour un match à hauts risques contre Bnei Sakhnin, une équipe arabe israélienne. Objectif: empêcher la «Familia», traitée «d'organisation criminelle» par la ministre des Sports Limor Livnat, de se livrer à de nouvelles exactions ou injures.

    Toute l'histoire du club a disparu dans le sinistre

    Il y a deux semaines, un impressionnant dispositif policier avait fait ses preuves lors d'une rencontre avec une autre équipe arabe. Les banderoles proclamant le «Beitar pur pour toujours», autrement dit sans joueur arabe, ont disparu. Mais l'accalmie n'a été que de courte durée. La décision d'Arcadi Gaydamak, le propriétaire du Beitar Jérusalem, de briser un tabou en recrutant pour la première fois deux joueurs tchétchènes, de religion musulmane, a enragé les membres de la «Familia». Vendredi, des inconnus ont incendié le quartier général du club. Les coupes et les trophées, toute l'histoire d'un club six fois champion d'Israël ont disparu dans le sinistre. Pour la police, il ne fait aucun doute que la «Familia» est responsable. La tension est telle qu'Yitzik Kornfein, le président du club, a droit à une protection policière.

    La justice commence à frapper plus fort. Quatre supporteurs qui avaient tenu des propos racistes et injurié un des joueurs tchétchènes lors d'un entraînement ont été inculpés. «Il ne faut plus se contenter d'interdire l'accès du stade aux criminels. Ce n'est que lorsqu'une ving­taine d'entre eux se retrouveront derrière les barreaux que les autres réfléchiront», tonne Avi Luzon, le président de la Fédération de football.

    Écoutes téléphoniques, filatures, recrutement de «taupes»: Yohanan ­Danino, le chef de la police, a annoncé que ses services useraient contre la ­«Familia» d'un traitement similaire à celui du crime organisé.


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  • Marion Sigaut - Russes errants sans terre promise par ERTV

    Question Webrunner : qui donc a provoqué l'exode massive des juifs russes vers Israël en répendant de fausses informations ? qui en avait l'intérêt sinon les sionistes?

    Les juifs eux-mêmes sont les premières victimes de ces fous furieux.


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  • Ecrivain et juriste.

    Un sondage publié dans Le Monde du 6 février nous apprend que pour 47 % des Français, le FN ne serait pas un danger pour la démocratie. Et que 32 % des Français adhéreraient aux idées du FN. Ce qu’il y a de très regrettable dans ce sondage, c’est que les sondeurs n’aient pas eu l’idée d’étendre leurs questions au cas de l’UMPS.

    Votre serviteur se propose donc de faire ce travail et de poser ces quelques légitimes questions :

    • Les partis qui valident depuis des décennies les traités européens, fondés sur la négation du suffrage universel et de la séparation des pouvoirs, sont-ils un danger pour la démocratie ?
    • Les partis qui acceptent que la Commission européenne, non démocratiquement élue, édicte 80 % de nos lois via ses directives et règlements, sont-ils un danger pour la démocratie ?
    • Les partis qui refusent systématiquement la pratique du référendum pour des sujets majeurs tels le traité de Lisbonne, le Mécanisme européen de stabilité, le TSCG ou encore le mariage gay sont-ils un danger pour la démocratie ?
    • Les partis qui considèrent comme dangereuse l’expression du suffrage universel quand elle vient des référendums d’initiative populaire sont-ils un danger pour la démocratie ?
    • Les partis qui choisissent les candidats à l’élection présidentielle via le système des parrainages des maires sont-ils un danger pour la démocratie ?
    • Les partis qui ont annulé le vote du peuple français du 29 mai 2005 sont-ils un danger pour la démocratie ?
    • Les partis (et les journalistes) qui considèrent comme des Untermensch (1) les Français qui refusent le consensus normatif politiquement correct sont-ils un danger pour la démocratie ?

    Si vous avez répondu oui à l’ensemble de ces questions, reconnaissez que le seul et unique danger pour la démocratie est bien l’UMPS et non le FN.

    Reste maintenant à savoir si les Français adhèrent aux idées de l’UMPS. Nous parlons ici des idées pratiquées par l’UMPS une fois qu’il est au pouvoir, et non des idées qu’il expose officiellement, publiquement, à des militants et journalistes aveugles et pour le moins crédules.

    Quand il est aux manettes du pouvoir, l’UMPS ne trouve rien d’autre à faire que d’appliquer les traités européens. Or, quel en est leur contenu ? Libre-échange, concurrence libre et non faussée, monétarisme, libre circulation des capitaux, interdiction de monétisation de la dette… Soit tout ce qui a permis la mise en esclavage bancaire du peuple, la marginalisation des États et la prise de pouvoir de l’oligarchie financière.

    Il serait temps que l’on demande aux Français, si réellement, ils adhèrent à ce programme politique.

    Ce que l’on peut dire en tout cas, c’est qu’il serait une véritable catastrophe que les idées de l’UMPS se « banalisent » aux yeux du peuple. L’« UMPSisation » des esprits a déjà fait suffisamment de mal à la France.

    (1) Sous-hommes

    Adrien Abauzit, le 9 février 2013

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  • Par Philippe Ploncard d’Assac


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  • L'arme a frappé, "avec succès", sept bases militaires américaines. Une nouvelle technologie qui pourrait facilement se retourner contre son propriétaire.

    Parfois, de la science-fiction à la réalité, il n'y a qu'un petit pas. L'avionneur américain Boeing a testé avec succès une bombe volante à impulsion électromagnétique, rapporte le "Daily Mail" le 1er décembre. Durant une heure de vol, le missile a déchargé une forte impulsion de micro-ondes et a mis hors service sept installations militaires de l'armée américaine dans l'Etat de Utah, sans faire de mort.

    L'opération, conjointement menée par Boeing avec les laboratoires de l'armée de l'air américaine à la demande du Pentagone, a été baptisée CHAMP pour "Counter-Electronics High Power Microwave Advanced Missile Project" (Projet de missile à micro-onde de haute puissance contre-électronique, NDLR). Le programme a tout de même coûté 29 millions d'euros. C'est surtout la première fois qu'un tel missile est testé. Chose étrange, Boeing a d'ailleurs publié un communiqué de presse pour se vanter de la "réussite totale" du projet et une vidéo "d'artiste".

    "C'était fantastique"

    "Nous avons touché toutes les cibles que nous voulions, et transformé la science-fiction en science réelle", lance Keith Coleman, directeur du programme chez Boeing. "Lorsque les ordinateurs se sont éteints, même les caméras installées pour filmer l'expérience se sont arrêtées. C'était fantastique". Pour lui, cette technologie marque "le début d'une nouvelle ère dans la guerre moderne". "Dans un proche avenir, cette technologie pourrait être utilisée pour rendre les systèmes électroniques et les bases de données d'un ennemi inutilisables avant même que les troupes ou les avions arrivent sur place."

    Bien que le projet soit frappé du sceau du secret, les experts estiment que le missile est équipé d'un canon à impulsion électromagnétique. Celui-ci utilise un "four à micro-ondes ultra-puissant" pour générer un faisceau concentré d'énergie qui provoque des surtensions dans les équipements électroniques.

    Star Wars

    L'ingénieur principal en charge du projet, Peter Finlay, assure que "nous sommes encore loin de ce qu'il est possible de voir dans Star Trek ou Star Wars, mais c'est un vrai progrès. Nous pouvons faire des choses que nous pensions impossibles avant."

    Petit bémol, cette technologie pourrait se retourner contre son propriétaire avec une certaine efficacité. Interrogés par le "Daily Mail", des experts craignent que le projet puisse créer une nouvelle course aux armements, les pays se bousculant pour créer leurs propres armes à impulsions électromagnétiques.

    Trevor Taylor, professeur à la Royal United Services Institute, concède que le monde occidental serait beaucoup plus vulnérable à une telle attaque en raison d'une dépendance aux systèmes électroniques. Selon lui, "idéalement, il aurait fallu qu'un accord de contrôle soit signé. Car, une fois que la technologie est effectivement opérationnelle, le contrôle devient plus difficile."


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  • lion

     

    Journaliste
    Journaliste à Radio France, spécialiste en revue de presse, ancien attaché culturel au Japon.

    Il est toujours intéressant de prêter attention aux faits, gestes et dires des vieux soixante-huitards, même, et peut-être surtout, de ceux qui débloquent le plus. Dans leurs délires, ils nous en disent long sur l’air du temps, sur une époque permissive qui encourage la libre expression des désirs et la satisfaction des pulsions.

    Michael Kiok aime les bêtes. Il le dit haut et fort, et d’ailleurs, il ne se contente pas de le proclamer, il passe à la pratique et s’engage sur le terrain politique. Michael est à la tête du ZETA (Zoophiles Engagement für Toleranz und Aufklärung), le lobby qui, en Allemagne, regroupe les adeptes des relations sexuelles avec les animaux. L’élue de son cœur s’appelle Cessy. C’est une ravissante chienne. Elle appartient à la race (je crois qu’on peut le dire s’agissant des animaux) des bergers allemands.

    À Berlin, le parlement vient d’adopter une loi littéralement réactionnaire. Ce texte revient sur un « acquis » social, ou sociétal, vieux de 44 ans. En 1969, alors que le vent bienfaisant de la libération des mœurs soufflait sur le pays, la zoophilie fut dépénalisée. Sans doute parla-t-on, à l’époque, d’une « avancée ». Le texte actuel, liberticide, prévoit une amende pouvant aller jusqu’à 25 000 euros pour les contrevenants. La Cour Suprême de Karlsruhe va sans doute devoir se pencher sur la question ; Michael Kiok accorde de très nombreuses interviews, en Allemagne et hors d’Allemagne, pour promouvoir sa cause et dire sa souffrance d’être incompris ou mal compris. Relisons certaines de ses déclarations récentes car il y a quelque logique dans ses raisonnements même si les prémisses sont discutables : « Les actions intentées par la société contre nous sont à peu près les mêmes que celles qui visaient les homosexuels il y a une trentaine d’années. Nous considérons les animaux comme des partenaires. On n’exerce sur eux aucune contrainte. Derrière le prétexte invoqué, à savoir la défense des animaux, se cache en fait un retour à l’ordre moral. On prétend interdire le plaisir sexuel entre hommes et animaux, mais on autorise les abus sexuels dans l’industrie agro-alimentaire, par exemple la castration des porcins. » Michael Kiok affirme aussi qu’ « un animal sait très bien montrer ce qu’il veut et ce qu’il ne veut pas », précisant avec délicatesse que « les animaux sont parfois plus faciles à comprendre que les femmes ».

    Si on l’en croit, Michael Kiok se bat pour le droit à la différence et au bonheur, pour la liberté et pour l’égalité entre tous les citoyens quelles que soient leurs préférences sexuelles. C’est beau comme un discours de Christiane Taubira. Simple habillage tactique ? On le sait, les mots, ça compte énormément ; ça trompe énormément, aussi…

    Ajoutons un argument que n’a pas encore, à ma connaissance, utilisé Michael Kiok : avec les progrès de la science, on peut espérer qu’une progéniture naîtra de ces unions. L’Allemagne souffre d’un déficit démographique très préoccupant et puisqu’on évalue à au moins 100 000 le nombre des zoophiles dans ce pays, il y a fort à parier qu’une bonne petite PMA contribuerait à redresser la situation.

    Fabrice Le Quintrec, le 7 février 2013

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  • france-usa

    Journaliste.

    Le gars nous insulte et nous, on sourit ! Vous ne l’avez pas entendue, l’insulte, en début de semaine ? Elle était pourtant claire dans la bouche de Joe Biden, le vice-président des USA invité à l’Élysée. Il a salué l’intervention militaire française au Mali et souligné — attention, elle est là l’insulte – « la compétence impressionnante » des soldats français face aux islamistes (ou djihadistes ou rebelles ou brigades vertes ou ex-éducateurs de banlieue française, on ne sait plus).

    « La compétence impressionnante » de l’armée française… Évidemment, à première vue, ça passe, mais en fait, ça dégouline d’ironie ricaine et de condescendance yankee… « Impressionnante », la compétence ? Faire la chasse à des chiens de guerre juchés sur des 4×4 Toyota quand, en face, on a des avions de chasse qui tirent à plusieurs kilomètres de distance, hors d’atteinte de leur grosse pétoire ? Très impressionnant ! Non seulement les Français ont le satellite, la domination des airs et la supériorité numérique, mais en plus, les supplétifs du jihad sans frontières fuyaient à l’arrivée des soldats français ! Les villes sont tombées sans coup férir ! Ça n’enlève rien, dans l’absolu, aux compétences de nos soldats. Mais l’autre ricain en fin de règne planétaire, il se permet d’insulter l’armée française.

    À moins que ce ne soit la tape dans le dos d’encouragement du coach à son équipier, la naïve galvanisation du sportif puisque, dans cette guerre, nous sommes sous sponsoring américain. On ne porte peut-être pas le même maillot, mais c’est le même sponsor : la guerre contre le terrorisme, le Bien contre le Mal, le conflit de Civilisations. La preuve, c’est l’aviation américaine et sa petite sœur britannique qui font tourner notre arrière boutique militaire en transportant matériel et intendance pour l’armée française.

    Et si certains doutaient encore de cette vassalité française, relevons que, comme chaque année, le Superbowl américain a bénéficié des gros titres en France. Singeant un intérêt sportif pour un événement auquel on ne comprend rien, nous signons ainsi le parachèvement du dominé jusque dans l’adoption des coutumes du maître.

    Addendum : Après l’insulte, l’humiliation et le coup de poignard dans le dos

    Mon moulin tourne bien, avec encore un peu plus d’eau apportée ce matin. Une ancienne ambassadrice américaine au Mali a affirmé ce matin sur i-télé que la France a payé une rançon de 17 millions de dollars pour faire libérer ses otages. Pourquoi une ancienne ambassadrice aujourd’hui à la retraite fait-elle cette déclaration, aujourd’hui, au moment où s’achève avec succès l’opération française au Mali? C’est un service commandé parfaitement en phase avec l’insulte diplomatique par flagornerie de Joe Biden.

    Après l’insulte, voici donc l’humiliation et le coup de poignard dans le dos : pas si forts ces Français, ils doivent payer pour libérer des otages. Même si c’est vrai que la France paye pour libérer ses otages, on ne le dit pas quand il s’agit d’un ami, ça doit rester caché. Sinon, c’est proclamer à la face du monde terroriste : l’otage français est bankable, prenez et rançonnez-en tous.

    Edouard Frémy, le 7 février 2013

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