• Nouvelle escroquerie "à la Madoff" d'un milliard de dollars

    NOUVELOBS.COM | 13.11.2009 | 09:25

    La police américaine enquête sur une escroquerie dont le préjudice pourrait dépasser un milliard de dollars. Il s'agirait d'investissements promis comme très rentables mais empochés par leur instigateur.

     

    (c) Reuters

    La police américaine a annoncé vendredi 13 novembre enquêter sur une escroquerie présumée, dont le préjudice pourrait dépasser un milliard de dollars et du type de celle qui a provoqué la chute du financier Bernard Madoff Le principal suspect dans l'affaire est un avocat de Fort Lauderdale (Floride, sud-est), Scott Rothstein(et oui, ça ne s'invente pas!), 47 ans, a précisé la police fédérale (FBI) lors d'une conférence de presse à Miami, à 50 km au sud de cette ville.

    voir aussiMossad et filières judeo-maçonniques 


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  • La CIA envoie des personnes se faire torturer en Ouzbékistan


    torture-freedom

    Craig Murray, recteur de l’Université de Dundee en Écosse, et jusqu’en 2004 ambassadeur britannique en Ouzbékistan, a affirmé que non seulement la CIA se fiait à des confessions extorquées par des pratiques de torture extrêmes, mais envoyait des prisonniers suspectés de terrorisme en Ouzbékistan dans le cadre de son programme d’ « extraordinary rendition » (transferts illégaux de prisonniers dans des prisons secrètes délocalisées, NDT).

    « Je parle de personnes violées avec des bouteilles brisées, » a-t-il affirmé à la fin du mois dernier lors d’une conférence diffusée par The Real News network. « Je parle de personnes qui voient leurs enfants se faire torturer sous leurs yeux jusqu’à ce qu’ils acceptent de signer une confession. Je parle de personnes ébouillantées vives. Et les renseignements tirés de ces tortures sont reçus par la CIA, et sont transmis pour être utilisés »

    Des associations de Droits de l’Homme ont tiré la sonnette d’alarme depuis longtemps sur le système légal en Ouzbékistan. En 2007, Human Rights Watch a déclaré que la torture était une pratique « endémique » dans le système judiciaire ouzbek.

    Murray a affirmé que ce n’est qu’en ayant travaillé comme ambassadeur qu’il a réalisé que la CIA envoyait des personnes se faire torturer en Ouzbékistan, pays qu’il considère comme un état « totalitaire » qui ne s’est jamais relevé de sa période communiste, quand il faisait partie de l’Union soviétique.

    On demandait aux suspects enfermés dans les goulags ouzbeks de « confesser leur appartenance à al-Qaïda. Ils devaient avouer qu’ils s’étaient entraînés dans des camps en Afghanistan. Ils devaient confesser avoir rencontré Oussama ben Laden en personne. Et la CIA faisait constamment écho à ces thèmes »

    Murray raconte : « J’ai été totalement abasourdi – cela a changé ma vision du monde dans l’instant – d’apprendre que Londres savait que les renseignements provenaient de personnes torturées, que ce n’était pas illégal parce que les conseillers juridiques avaient décidé que, dans le cadre de la convention des Nations Unies contre la torture, ce n’était pas illégal d’obtenir et d’utiliser des informations obtenues sous la torture tant que nous ne pratiquions pas ces tortures nous-mêmes. »

    C’est pour le gazoduc, idiot !

    Murray prétend que la motivation principale des militaires américains et britanniques dans leur implication en Asie Centrale est la présence d’importantes réserves de gaz naturel au Turkménistan et en Ouzbékistan. Pour preuve, le projet de construction d’un gazoduc à travers l’Afghanistan, qui permettrait aux compagnies pétrolières occidentales d’éviter de passer par la Russie ou l’Iran pour transporter le gaz naturel hors de cette région.

    Murray a prétendu qu’à la fin des années 90, l’ambassadeur ouzbèke aux États-Unis avait rencontré George W. Bush, alors gouverneur du Texas, pour discuter de l’implantation d’un gazoduc dans la région. De cette réunion était sorti un accord selon lequel la compagnie texane Enron avait gagné le droit d’exploiter les réserves de gaz naturel ouzbèkes, et la compagnie Unocal celui de déployer le gazoduc transafghan.

    « Le consultant qui organisait cela pour Unocal était un certain M. Karzaï, aujourd’hui président d’Afghanistan » fait remarquer Murray.

    Murray a affirmé qu’une des motivations pour développer le battage autour du terrorisme islamique en Ouzbékistan, à travers des confessions forcées, était de s’assurer que le pays resterait du côté des États-Unis dans la guerre contre le terrorisme de sorte que le gazoduc puisse être construit.

    « Il y a des schémas de ce gazoduc, et si vous regardez le déploiement des troupes américaines en Afghanistan, au contraire des autres pays de l’OTAN impliqués dans le conflit, vous verrez qu’elles sont, de manière évidente, positionnées de telle sorte qu’elles puissent surveiller la route du gazoduc. Ce n’est pas autre chose. C’est une question de pétrole, pas de démocratie. »

    L’achèvement du gazoduc transafghan est prévu pour 2014, avec un support financier de 7,6 milliards de dollars par l’Asian Development Bank.

    Murray a été renvoyé de son poste d’ambassadeur en 2004, suite à ses premières déclarations publiques accusant le gouvernement britannique de compter sur la torture en Ouzbékistan pour obtenir des renseignements.

    Par Daniel Tencer, le 4 novembre 2009 pour Raw Story
    Traduction Spotless Mind pour ReOpenNews
    mecanopolis


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  • Béchade invente le “krach à la hausse” des bourses mondiale ! Tant que les taux seront à 0%, les bourses monteront

    By fonzibrain

    Bennett editorial cartoon

    ▪ Si les opérateurs le pouvaient, ils s’arrangeraient pour que la reprise demeure au stade de lointaine hypothèse tandis que les banques centrales poursuivraient indéfiniment leur lutte contre la récession en maintenant les taux à zéro.

    L’histoire retiendra que Wall Street a pulvérisé de nouveaux records annuels un jour où aucune statistique n’est parue. Les seuls trimestriels vraiment marquant étaient ceux de Macy’s, qui plongent de 8% car les prévisions du quatrième trimestre sont moins ambitieuses que prévu.

    Plus l’économie ira mal très longtemps — une hypothèse que le ministre britannique Alistair Darling valide en promettant toujours plus d’assouplissement quantitatif –, plus les marchés battront des records dans un climat qui commence à s’apparenter à un “krach à la hausse”. Les marchés ont bondi de 8% en six séances, sur fond de chômage et de nombre record de faillites bancaires. La FDIC va devoir reconstituer ses réserves avec la bénédiction du Trésor américain.

    ▪ Le Dow Jones a pulvérisé un nouveau record annuel à 10 340 points. A ce moment précis, 50% de la baisse d’octobre 2007 à mars 2009 se trouvaient effacés. Un tel retracement en huit mois, c’est un record absolu de rapidité, sans aucun équivalent dans l’histoire des marchés américains et même occidentaux en général.

    Le S&P 500 s’envolait également de 1,1% en une demi-heure pour inscrire un nouveau plus haut depuis fin septembre 2008 à 1 105 points. Les places européennes, littéralement euphorisées, explosaient de 1,5% après avoir ouvert d’entrée de jeu un gros gap de 1%. Pourtant aucune information économique sur le continent européen ne justifiait de se ruer à l’achat de façon aussi exubérante.

    ▪ Le mécanisme du carry trade tourne à plein régime. Si certains redoutaient que cette redoutable machine à créer des bulles boursières ne s’enraye parce que les cours de Bourse apparaissent trop déconnectés des perspectives de profitabilité d’ici 12 à 18 mois, Richard Fisher, de la Fed de Dallas, balaye toutes les objections.

    Il a rassuré tous les spéculateurs en affirmant qu’aucune mesure de soutien au dollar n’est envisagée tant que son repli reste “ordonné”. Il a ajouté — tout comme Ben Bernanke une semaine auparavant — que les taux peuvent demeurer “très bas très longtemps” puisque les pressions inflationnistes ne représentent aucune menace dans l’immédiat — la déflation par les salaires s’accélère.

    C’est comme si la Fed annonçait à Wall Street qu’elle lui signe un chèque en blanc pour spéculer sans retenue contre le dollar et acheter — avec les sommes dégagées par ce biais — n’importe quelle classe d’actif en employant l’effet de levier maximum (puisque le risque de rebond du billet vert apparaît quasi nul).

    Très schématiquement, la glissade du dollar provoque un effet symétrique haussier sur les actions trois fois plus important que son repli. Cela se vérifie aussi bien depuis la mi-mars que depuis le 15 octobre dernier.

    Les membres du G20 réunis à Saint Andrews le week-end dernier ne peuvent ignorer ce phénomène. Ils ont donc décidé de l’encourager objectivement ou délibérément.

    Les déclarations de Richard Fisher ne sont donc qu’une piqûre de rappel dans la droite ligne du communiqué anti-dollar de la Fed de mercredi dernier.

    ▪ Le seul souci, c’est que tout le monde a si bien compris comment les marchés fonctionnent –parce les liquidités déferlent de la corne d’abondance du carry trade — que pratiquement tous les investisseurs sont haussiers au même moment et sur la totalité des actifs cotés.

    L’or bat un nouveau record absolu à 1 119 $ (alors qu’il n’y a pas d’inflation), le baril de pétrole repasse au-dessus des 80 $ (alors que la demande stagne) et Wall Street ne connaît plus aucune limite physique à la hausse — et surtout pas en fonction de critères obsolètes comme le PER ou le ROE.

    Gagner autant d’argent aussi facilement, sans posséder une once de compétence — qu’il s’agisse des actions ou des matières premières — cela dure rarement très longtemps. Sauf si les autorités monétaires s’ingénient à fausser les règles du jeu.

    Tout le monde a compris que l’argent déversé dans la machine à spéculer n’ira pas s’investir dans l’économie réelle et que la pénurie de crédit orchestrée au nom de la “maîtrise des risques” par le système bancaire va entretenir le marasme dont la hausse des marchés dépend.

    ▪ La plupart des économistes qui ont bien étudié la riposte des entreprises face à l’effondrement de leurs carnets de commande sont convaincus qu’une reprise ne créera pratiquement pas d’emploi — sinon sous forme de statut intérimaire. En effet, la délocalisation et l’externalisation des fonctions support ou de certaines productions à haute valeur ajouté — sous licence — constituent un acquis irréversible de la récente crise.

    Utiliser la masse salariale comme variable d’ajustement est devenu un réflexe aussi automatique que de gonfler les profits en optimisant la fiscalité ou en rachetant toujours plus d’actions (comme IBM) pour augmenter artificiellement les dividendes. Pourquoi s’en priver tant que l’argent reste quasiment gratuit ?

    Entre comportements managériaux standardisés, optimisme univoque des marchés et carry trade en mode numéro limit, la seule direction envisagée pour les actions, c’est celle des records de l’automne 2007. Certains gérants prétendent que les actions ne sont “pas chères” puisqu’elles se négocient en moyenne 30% en dessous de leur zénith historique !

    Et pas un instant ils ne veulent se souvenir que ces niveaux furent atteints dans un contexte de dévoiement total des mécanismes financiers et de surestimations ubuesques des perspectives des retours sur investissement, ce qui a conduit au krach historique de l’automne dernier.

    Les conditions techniques et la déconnexion des cours par rapport à la sphère du réel sont encore pires aujourd’hui qu’en octobre 2007. Il s’agit de faire passer cela avec une dose de mensonge et de cynisme un peu plus massive qu’il y a deux ans.
    chronique agora


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  • Georgia Guidestones

     

    Regardez bien cette photo, il est question d’un time capsule enterrée six pieds sous terre.
    D’après vous, que contient cette capsule ?
    Moi j’imagine bien, un truc du genre : ” bon, comme prévu, le bétail humain a été éliminé, il y a une religion, une langue et un gouvernement mondial.Je vois que nous avons bien travaillé. “
    Il faut des gens creusent et prennent cette capsule, c’est hyper important.
    guidestones2


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  • Histoire de promotion pharmaceutique et d’écoulement des stocks

    C’est la première fois que la force publique est requise pour aller au bout d’une histoire de promotion pharmaceutique et d’écoulement des stocks acquis au terme d’un processus atterrant, dans lequel il est difficile de faire la part de l’incompétence et de la corruption ». La campagne de vaccination contre la grippe A H1N1 pour le grand public débute ce jeudi 12 novembre. Une campagne contre laquelle s’insurge le Dr Marc Girard, médecin, expert en pharmacologie et auteur de Alertes grippales : comprendre et choisir aux éditions Dangles. lnvité de RFI-matin, il s’exprime sur les raisons de sa vive désapprobation.

     


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  • Squalène.....une question de dosage

    Suite aux procédures intentées par les vétérans de la 1ère guerre du golfe, le squalène est interdit par une loi fédérale dans tous les USA. C’est le même squalène que contient le vaccin Pandremix pour lequel Madame Bachelot "invite" les entourages des nourrissons à se faire piquer.

    La quantité moyenne de squalène injectée chez le soldat U.S. par la vaccination contre l’anthrax pendant et après la guerre du Golfe était de 34,2 microgrammes par litre. le vaccin Pandremix contient 10,68 mg de squalène par 0,5 ml. Cela correspond à 21,36 grammes par litre, soit un million de fois plus de squalène par dose. (source : site Internet The Military Vaccine Resource Directory & document officiel de l’EMEA)


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  • DEMOCRATIE ET LIBERTES: HELAS, LE PIRE ARRIVE

    Revue de Presse par Pierre Jovanovic


    du 10 au 12 novembre 2009 : Je vous l'ai annoncé ici depuis quatre ou cinq mois, la démocratie est en danger, parce que je le voyais dans les centaines d'articles divers et variés un peu partout.

    Mais là tout a été réuni en un seul.

    Le gouvernement anglais a fait les choses en grand: chaque opérateur internet et chaque société de télécoms devra garder dans ses ordinateurs le moindre des appels, des mouvements, mails et clicks sur Internet. Et tout le monde ou presque aura accès à cette base révèle Richard Edwards, du Telegraph de Londres.

    Les Anglais seront désormais surveillés en permanence: "All telecoms companies and internet service providers will be required by law to keep a record of every customer's personal communications, showing who they are contacting, when, where and which websites they are visiting".

    Malgré l'opposition des associations anglaises, plus de 650 systèmes publics (police, fisc, espionnage, directeurs de prison, rg, autorités locales, ambulances, pompiers, etc.) pourront y accèder sur simple demande!

    Dingue. Vraiment, c'est 1984, Big Brother. Une société pour laquelle les émissions de télé-réalité ont bien préparé les nouvelles générations qui ne s'étonneront pas d'être surveillés en permanence... Ahurissant... Le pire est que malgré l'opposition des Anglais, cette loi du Intercept Modernisation Programme est passée. C'est du vol pur et simple de la liberté et de la démocratie.

    Ce qui est étrange, c'est justement que cela arrive dans le monde anglo-saxon en pleine déliquescence économique... Vous êtes avertis de ce qui nous attend. Lire ici le Telegraph.

    Ah j'oublie: ce système Big Brother, les Anglais vont le payer 2 milliards de livres sur 10 ans. Ah, j'ai oublié: c'est Goldman Sachs qui a financé Endemol, le producteur de ces émissions où tout le monde est enfermé devant 300 caméras...


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  • Chômeurs, on ira cracher sur vos tombes....


      Les gens de Wall Street peuvent souffler. Les gens très importants du G20 ont décidé de continuer à deverser l'argent gratuit des contribuables par milliards sur les places boursières et les banques pour qu'elles ne s'effondrent pas.

    Du coup, youpi, c'est reparti comme en 14. Peu importe les chômeurs jetés continuellement à la rue, peu importe les retraités ruinés, une seule chose compte, faire croire à ceux qui travaillent encore que tout va bien et que le Dow Jones continue à monter. Comme en 1930. C'est le remake absolu et parfait.

    L'Histoire se répète en grand. Les vampires crachent sur les tombes des chômeurs, puisque eux, sont garantis, quoi qu'il arrive, d'avoir de l'argent gratuit pris aux crétins qui travaillent.

    Seul problème l'or continue sa montée, et ça, c'est un signe que la confiance dans le système s'effrite de plus en plus.

    Revue de Presse par Pierre Jovanovic © www.jovanovic.com 2008-2009


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  • Britney adoratrice de Satan pour le New World Order

    info ou Pub déguisée....?

     



    Britney adoratrice de Satan pour le New World Order

    Britney Spears admet être une adoratrice de Satan qui embrasse le « Nouvel Ordre Mondial »… du moins selon sa page Twitter(voir photo ou directement de lien de sa page):
     
     http://twitter.com/britneyspears
     
     A moins que son compte Twitter ait été hacké par une force cyber-démoniaque ce matin… Il n’y a qu’à lire le contenu de la page : « gloire à Satan », son fond d’écran,  sa vidéo « 3 »… les pyramides inscrites avec le nom de la société secrète présumée Illuminati.  
     
     Il y a peu de chances que le nouvel ordre mondial et que les Illuminatis soient juste des homonymes désignant autre chose, à moins que Britney n'ait aucun idée de ce que signifient ces termes.  
     
     http://www.prisonplanet.com/britney-the-devil-made-me-do-it.html


    explication : son compte twitter a été hacké, bien fait !
    http://www.korben.info/britney-spears-twitter-hack.html

    Posté par gregosgregos | Dimanche 15 Novembre 2009 à 16:13


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  • «The Nation» : les talibans protègent les américains

     

    source liberation.fr

     

    L’armée américaine en Afghanistan paie de vastes sommes aux talibans pour qu’ils n’attaquent pas leurs convois, selon une enquête de l’hebdomadaire américain The Nation. Afin de protéger leurs camions de ravitaillement venant du Pakistan.

     


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