• L’énergie osmotique à l’essai en Norvège

     


     

    Après le vent, le soleil, les courants et les marées, des chercheurs veulent mettre à profit un autre don de la nature, la réaction obtenue quand eau douce et eau salée se rencontrent, pour produire de l’électricité sans asphyxier la planète.

    Nouvelle étape dans la quête d’énergie propre, la Norvège va inaugurer mardi sur les rives du fjord d’Oslo le premier prototype au monde de centrale osmotique, un projet à échelle réduite mais jugé prometteur.

    “C’est une forme d’énergie renouvelable qui, contrairement au solaire ou à l’éolien, produit un volume d’électricité prévisible et stable, quelle que soit la météo”, explique Stein Erik Skilhagen, responsable du projet chez Statkraft, compagnie publique norvégienne spécialisée dans les énergies propres.

    Exploitant le principe selon lequel la nature aime l’équilibre, l’énergie osmotique joue sur les différences de concentration entre liquides.

    Si l’on met en contact deux masses d’eau, l’une douce, l’autre salée, séparées par une membrane –fine pellicule qui bloque le sel mais laisse passer l’eau–, la première, moins concentrée, migre naturellement vers la seconde, jusqu'à parvenir à équilibrer les concentrations.

    Ce déplacement génère une surpression sur la masse d’eau salée qui, canalisée vers une turbine, peut alors produire de l’électricité.

    Répandu dans la nature –il permet aux plantes de s’abreuver–, le principe de l’osmose est déjà utilisé dans certaines activités humaines, en premier lieu pour le dessalement d’eau de mer.

    Implanté dans les murs d’une ancienne usine de chlore à Hurum, à une soixantaine de kilomètres au sud d’Oslo, le prototype de Statkraft aura une puissance limitée de 2 à 4 kilowatts (kW), tout juste de quoi couvrir les besoins électriques d’un ménage.

    “L’important, pour l’instant, c’est de tester et valider la technologie, pas de produire beaucoup”, souligne M. Skilhagen.

    Mais Statkraft espère pouvoir dès 2015 mettre en service une centrale à l’échelle commerciale, d’une puissance de 25 mégawatts (MW), susceptible d’alimenter quelque 10.000 foyers en électricité.

    Placées aux embouchures de fleuve, où l’eau douce se jette dans la mer, de telles centrales devraient avoir une emprise relativement limitée, un gros stade de football, qui permettra de les enfouir sous des bâtiments industriels ou résidentiels.

    L’eau utilisée doit toutefois être préfiltrée avant utilisation pour limiter le colmatage de la membrane et assurer un transfert d’eau optimal.

    Selon le groupe norvégien, l’énergie osmotique représente un potentiel mondial de 1.700 térawattheure (TWh) par an, l’équivalent de la consommation chinoise en 2002.

    “Tout ce qui contribue au développement des énergies renouvelables est positif au vu de la progression des émissions de CO2 dans l’atmosphère et de l’amenuisement des ressources d’énergie fossile”, commente Gérald Pourcelly, directeur de l’Institut Européen des Membranes affilié au CNRS.

    “Le principe de la centrale osmotique est prometteur car il permet de produire de l’électricité propre”, ajoute-t-il.

    De l’aveu de Statkraft, il reste toutefois un défi majeur, à savoir la confection de membranes affichant une meilleure efficacité énergétique.

    Sur le site de Hurum, avec 2.000 m2 de membranes spiralées, le groupe ne peut pour l’instant récupérer que 3 watt/m2. Ce chiffre devra passer à 5 watt/m2 pour que la technologie soit rentable.

    “C’est indéniablement un point à améliorer”, estime M. Pourcelly. “Je pense qu’avec le temps, on arrivera à 5 ou 6 watt/m2″, ajoute-t-il.
    romandie


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  • Des e-mails piratés pour discréditer des climatologues

    Par LEXPRESS.fr, publié le 23/11/2009 à 12:50 - mis à jour le 23/11/2009 à 12:50

    Des pirates informatiques ont infiltré un serveur de l'université britannique d'East Anglia et publié en ligne plus de dix ans de correspondance entre chercheurs. Certains échanges jetteraient le discrédit sur les sciences du climat, selon eux. Ce qui n'est pas si évident.

    A quinze jours de la conférence de Copenhague, des pirates se sont introduits dans les serveurs de la prestigieuse unité de recherche climatique (CRU) de l'université d'East Anglia au Royaume-Uni. Le CRU est une institution clé de la recherche climatique au niveau mondial.

    Des centaines d'e-mails et autres documents privés, échangés entre des climatologues britanniques et leurs collègues américains ou européens, ont été divulgués sur Internet, alimentant le débat sur la part d'influence humaine dans le réchauffement planétaire.

    Une "astuce" qui fait débat

    Relayée par le quotidien britannique The Guardian, l'affaire a embrasé la blogosphère "climato-sceptique", puisque les pirates prétendent détenir des preuves de tricheries de la part de chercheurs spécialisés dans les sciences du climat. Sur les quelque mille courriels piratés, ils en mettent notamment un en avant, qui comprend une seule expression qui, sortie de son contexte, peut semer le doute, note The Guardian. Dans ce message, le directeur du CRU, Phil Jones, s'adressant à son interlocuteur, explique avoir utilisé une "astuce" ("a trick" en anglais) permettant de "masquer" une divergence, dans certains jeux de données, entre épaisseur des cernes d'arbres et température.

    Phil Jones a confirmé dans un communiqué l'authenticité du message, expliquant que le terme terme "astuce" signifiait, "dans un contexte familier", "quelque chose d'intelligent à faire".

    Le CRU se refuse à confirmer l'authenticité des documents volés. Près de 200 mégaoctets de données piratées en tout, qui en disent long sur les violentes tensions entre chercheurs et sceptiques, qui cherchent à se faire entendre à deux semaines de l'ouverture du sommet de Copenhague.


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  • Le lien entre le vaccin contre la grippe saisonnière et le H1N1 sera vérifié

    De Helen Branswell (CP) – Il y a 4 heures

    TORONTO — Des chercheurs torontois espèrent que des essais cliniques aléatoires aideront à dissiper les doutes soulevés par des études canadiennes ayant établi un lien entre le vaccin contre la grippe saisonnière et un risque accru d'infection à la grippe A (H1N1).

    La docteure Allison McGeer, de l'hôpital Mount Sinai de Toronto, et ses collègues tenteront de répondre aux questions soulevées par ces études démontrant que des taux d'infection au H1N1 plus élevés ont été observés chez les personnes qui avaient été vaccinées contre la grippe saisonnière l'automne dernier.

    Les études non pas été publiées, mais plusieurs autres, publiées et pas, menées aux Etats-Unis, en Australie, au Royaume-Uni et au Mexique ne sont pas parvenues aux mêmes conclusions.

    Mme McGeer a convaincu GlaxoSmithKline - la société pharmaceutique fournissant au Canada pratiquement tous les vaccins contre la grippe porcine et 75 pour cent de ceux contre la grippe saisonnière - de financer un essai clinique aléatoire pour vérifier si le lien pouvait être établi.

    Ses collègues et elle font actuellement administrer à des participants, de manière aléatoire, un vaccin contre la grippe saisonnière ou un placebo. Les chercheurs et les participants ne connaîtront la teneur de ce qui a été administré que lorsque l'étude sera complétée.

    Les chercheurs suivront les participants pour savoir combien de ces derniers ont contracté la grippe A (H1N1) et déterminer si le taux d'infection est plus élevé chez les personnes ayant été immunisées contre la grippe saisonnière.


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  • Les Espagnoles vendent leurs cheveux pour faire face à la crise

    Justino Delgado dans son magasin de cheveux naturels à Madrid le 17 novembre 2009

    Image © afp

    Justino Delgado dans son magasin de cheveux naturels à Madrid le 17 novembre 2009

    Crise oblige, de plus en plus d'Espagnoles vendent leurs cheveux pour arrondir leurs fins de mois. Au grand bénéfice de Justino Delgado, exportateur de cheveux naturels pour perruques et extensions.

    le 20 novembre 2009, 11h02
    LeMatin.ch & les agences

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    Cet entrepreneur madrilène, dont la petite boutique de cheveux naturels, qu'il récoltait au départ de village en village, est devenue en 50 ans une PME d'import-export, fait surtout venir ses nattes d'Asie (Inde, Chine), où ce négoce est de longue date très répandu.

    Mais depuis quelques mois, alors que le chômage galopant frappe plus de 18% de la population active en Espagne, de nombreuses femmes se sont présentées au comptoir de son entrepôt.

    Dernièrement "beaucoup de femmes viennent vendre leurs cheveux, ce matin même une jeune femme est venue avec sa queue de cheval et nous la lui avons achetée", explique à l'AFP Justino.

    "Ca vaut entre 50 et 150 euros, il y a des femmes qui ont beaucoup de cheveux, et comme c'est selon le poids et la longueur, ça leur rapporte plus", ajoute-t-il.

    Les consignes sont strictes: les mèches vendues doivent mesurer plus de 40 cm de longueur et n'avoir jamais été teintes.


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  • Intérêt des vaccins : l' analyse scientifique

     source : http://www.jp-petit.org

    Livre vaccination

    Que vous pouvez trouver sur Amazon

     

     

    La ministre de la santé polonaise exprime des doutes à propos des vaccins proposés. Un discours diamétralement opposé à celui que nous tient Roselyne Bachelot. Le matraquage médiatique bat son plein en France. En fait, s'il n'y avait pas internet, nous serions tous vaccinés depuis longtemps. On assiste actuellement à une bataille qui va se jouer pendant les mois à venir. Les Français obéiront-ils, comme des moutons aux injonctions des lobbies pharmaceutiques, relayées par leurs représentants gouvernementaux et par les médiameuteurs ? Réponse au printemps.

    Au fil des jours nous avons découvert que tout n'était pas rose dans les vaccinations.

    Je vous suggère de consulter ce pdf, rédigé par des médecins.

    Pour beaucoup, comme pour moi-même, cette lecture constituera une découverte. Les déclarations de ces nombreux spécialistes nous donnent le vertige. On lira que très peu d'efforts on été faits pour explorer les conséquences néfastes des vaccins et que très peu d'argent a été consacré à ce sujet, alors que des milliards de dollars ont été investis pour créer de nouveaux vaccins, s'accompagnant de nouveaux profits pour l'industrie pharmaceutique.

    Au delà de cela, des courbes nous surprennent Je dirais même : nous stupéfient. D'aucuns ont prétendu, depuis longtemps, que l'éradication de nombreuses maladies tenait plus aux effet de l'hygiène et à l'amélioration des conditions de vie, au renforcement du système immunitaire des êtres humaines, entre autre du faite d'une meilleure nutrition, qu'aux campagnes de vaccinations. Regardez ces courbes :

    Regardez les courbes qui sont sur cette page web :

     Vaccination : la vérité 


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  • À Auschwitz, le jour du souvenir et devant des survivants, le Dr Rath alerte le monde d’une troisième guerre mondiale à venir, et du complot des laboratoires pharmaceutiques !!!!

    By fonzibrain

    [...] En 1993 IG Farben devint le principal pourvoyeur de fonds en vue de la montée en puissance des Nazis. Au cours des années qui ont suivi, ce cartel chimico-pharmaceutique allemand devint complice et prêta main forte aux préparatifs de la conquête militaire de l’Europe.
    Les rapports du Tribunal de Nuremberg sur les crimes de guerre parlent d’un don de plus de 80 millions de Reichmark offert aux Nazis et aux organisations affiliées à Bayer, BASF et Hoechst. En retour de cet «investissement» IG Farben obtint le contrôle et la gestion de toutes les industries chimiques, pétrochimiques et pharmaceutiques des pays occupés pendant la 2nde Guerre mondiale avec comme objectif final la création d’un vaste marché allant de Lisbonne à Sofia.
    Selon les rapports du Tribunal de Nuremberg sur les crimes de guerre, Knieriem, directeur de l’IG Farben adressait le 20 Juillet 1940 une lettre au gouvernement Nazi – quelques temps après la victoire sur la France – dans laquelle il soulignait les instruments qu’IG Farben entendait utiliser afin d’asseoir son emprise en Europe. La lettre d’IG Farben évoquait l’existence d’une monnaie commune européenne, des lois communes et même un système juridique commun et tout cela sous le contrôle et la supervision de la coalition Nazi/IG Farben.
    A Auschwitz, IG Farben y érigea le plus grand complexe industriel européen destiné à la production des produits chimiques et explosifs destines à être utilisés sur le front Est au cours de la 2nde Guerre Mondiale. Ce complexe industriel de 24 km² de superficie – y compris son énorme camp de concentration, réservoir d’esclaves travailleurs – fut financé par les crédits d’environ 1 milliard de Reichsmark fourni par la Deutsche Bank.
    Les milliers de prisonniers de ce camp furent utilisés par la section pharmaceutique de Bayer à de pseudo expériences médicales en testant les produits brevetés comme la «chimiothérapie».
    Au cours des procès du Tribunal de Nuremberg sur les crimes de guerre 24 dirigeants de IG Farben ont été traduits en justice et beaucoup furent condamnés.
    Voici comment le procureur américain Telford Taylor résuma le rôle joué par le cartel chimique au cours du procès du Nuremberg: «la seconde guerre mondiale n’aurait jamais été possible sans IG Farben».
    Pendant plus de 6 décennies les rapports des procès du Tribunal de Nuremberg contre les dirigeants du cartel de IG Farben ont été tenu secrets au sein des archives de Nuremberg. En juillet de cette année (2007) notre fondation eut accès à ces archives et publia plus de 40.000 rapports sur Internet. Aujourd’hui tout le monde, les enfants aussi bien que les adultes peuvent avoir accès à ces archives quelque soit l’endroit où ils se trouvent au monde.
    Avec le début de la Guerre Froide, quelques uns des dirigeants de IG Farben ayant été traduits en justice furent reconduits dans des postes de responsabilité dans l’industrie allemande.
    Karl Wurster, président de Degesch – le fabricant du produit Cyclone B ayant servi dans les chambres à gaz d’Auschwitz – redevint le Directeur général de BASF.
    Fritz ter Meer, le directeur de IG Farben et de Bayer coupable de génocide et de crimes d’esclavage commis ici à Auschwitz fut libéré de prison après seulement 4 mois. Dix ans après avoir été jugé coupable comme criminel de guerre à Nuremberg il devint à nouveau président du conseil de surveillance de Bayer.
    Hans Globke fut coauteur de lois racistes de Nuremberg et fut également auteur des nouvelles lois sur la Grande Europe, le «Reich» dans les pays occupés par les Nazis pendant la seconde guerre mondiale.
    Après la 2nde Guerre Mondiale Globke devint ministre chancelier au sein du cabinet du Chancelier allemand Adenauer. En tant «qu’éminence grise» et en dehors de tout contrôle parlementaire, il eut la haute main essentiellement sur tous les aspects politiques de la période d’après guerre en Allemagne de l’Ouest, allant des services secrets jusqu à la poursuite des plans du cartel pharmaceutique et pétrolier en vue de la conquête de l’Europe et de la toute nouvelle Union Européenne fraîchement construite.
    Walter Hallstein, un éminent professeur de droit à l’époque des Nazis disait en 1939: «l’une des principales lois dans (dans les pays conquis et occupés) sera la ‘loi de protection de l’honneur et du sang allemands’…».
    En 1957 l’avocat de «l’honneur et du sang allemands» devint le personnage clé et l’architecte de la mouture de la future Union Européenne et le premier responsable de «la commission européenne», ce fut le premier responsable exécutif de l’Union Européenne désigné dès le début en dehors de tout contrôle démocratique.
    En résumé, les Nazi et IG Farben nommèrent la commission Européenne comme «Politburo» du cartel pharmaceutique de l’après guerre pour diriger l’Europe.
    Résultat de l’influence de ces intérêts, les décisions du parlement européen n’ont que peu de cas si aucune influence n’est exercée sur les lois, sur ce que l’on nomme «directives de l’union européenne» imposées par la «commission européenne» sur la vie de plus de 400 millions d’individus en Europe.
    Au même moment les élections en vue de mettre en place le Parlement européen ne sont qu’une vaste mascarade, décevante et destinée à montrer l’Union Européenne comme une structure démocratique.
    La base de toute démocratie est le pouvoir appartenant au peuple. Dès le moment ou le pouvoir exécutif n’est plus contrôlé par la volonté du peuple la démocratie n’est plus rien de plus qu’une dictature.
    Aujourd’hui des silhouettes d’IG Farben subsistent toujours en Europe. Les objectifs des successeurs d’IG Farben sont rejoints par les multinationales pharmaceutiques et pétrolières européennes. Leurs objectifs ressemblent étrangement à ceux d’IG Farben pendant la seconde guerre mondiale :créer et mettre sous son contrôle un marché de produits pharmaceutiques brevetés et autres produits brevetés de haute technologie, un marché allant de «Lisbonne à Sofia».
    L’énorme espace géographique que ces intérêts corporatistes veulent contrôler concerne tout le monde et tout habitant de ce continent. Ces intérêts concernent également les brevets sur les gênes – visant à exercer tout contrôle sur la vie et le système génétique des individus – les brevets sur les organismes génétiquement modifiés avec comme objectif de mettre sous contrôle quotidien notre système nutritionnel.
    Le plus connu des ces industries cherchant à exercer un contrôle sur notre vie est «le commerce des maladies fait par le secteur pharmaceutique». Comme je l’ai précédemment mentionné, l’industrie pharmaceutique promet la santé mais toute son existence n’est basée que sur la promotion des maladies constituant ainsi une source de revenus. Nous savons aujourd’hui que les maladies cardiovasculaires, le cancer, les maladies immunodéficientes et d’autres maladies peuvent être évitées. La perpétuation délibérée des maladies par les intérêts corporatistes de l’industrie pharmaceutique est un crime.
    Résultat de cette pratique industrielle pour le moins éthique :le nombre de victimes de ce commerce frauduleux a dépassé un milliard de personnes et déjà dépasse le nombre de victimes des guerres que l’humanité ait connu jusques là.
    Sous le prétexte de lutte contre le terrorisme, la même Commission Européenne au sein de l’Union Européenne a émis une directive qui risque de transformer l’Europe en un «continent Orwelien»¹.Selon cette directive de l’UE désormais tous les appels téléphoniques que vous ferez, toutes les adresses emails que vous cherchez à contacter sont susceptibles d’être brouillés. Pas seulement pour vous mais également pour les 400 millions d’européens. Ce n’est pas difficile de comprendre ce que ces instruments veulent signifier une fois aux mains de ces intérêts corporatistes qui ont si souvent abusés de leur pouvoir par le passé. Notre rencontre a lieu à un moment historique, le monde est à croisée des chemins. Les responsables politiques des principaux pays leaders en matière de production et d’exportation des produits pharmaceutiques et pétrochimiques comme les Etats-Unis, le Royaume Uni, l’Allemagne ainsi que la France ont déjà publiquement parlé de la Troisième Guerre Mondiale et de leur volonté de faire usage de l’arme nucléaire.
    A la suite d’un holocauste nucléaire et la proclamation d’une loi martiale à large échelle ces intérêts corporatistes qui soutenaient la seconde guerre mondiale pourraient abuser de leur puissance encore une fois.
    Ces plans innommables ne peuvent être mis en pratique que s’ils restent secrets ou si nous n’en parlons pas et restons indifférents.”[...]

    lisez cet article en intégralité


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  • PREPAREZ VOS MOUCHOIRS

    Voici des mois que nous le disons et que certains nous prennent pour des paranos

    Obama a passé tout ce temps en Chine ces derniers jours, pour préparer tout cela...
    Le rapport de 68 pages parle d'un an ou deux, c'est déjà peu, mais de toute évidence, il temporisent, car si on tient comme ça encore 6 mois, ça sera un "miracle" !
    La chute du dollar devrait entraîner, comme prévu, la fermeture généralisée des banques, pendant "un certain temps", et certaines ne rouvriront pas.
    D'où l'importance d'avoir au moins 2 banques, de l'argent liquide, et de se préparer à retirer le reste, s'ils nous en laissent le temps (en principe, on apprend cela un dimanche...).
    Sortir au + vite de la bourse pour ceux qui y sont encore.
    Pas le moment de prendre un crédit, et résilier tout abonnement non indispensable...
    Pour le reste... à la grâce de qui vous voulez..
     

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    Les expériences du professeur Biderman

    C’est dans une toute autre perspective qu’un psychiatre de l’armée de l’Air, le professeur Albert D. Biderman, étudia pour la Rand Corporation le conditionnement des prisonniers de guerre US en Corée du Nord.
    Bien avant Mao et le communisme, les Chinois avaient mis au point des méthodes raffinées pour briser la volonté d’un détenu et lui inculquer des aveux. Ils les avaient utilisées durant la guerre de Corée et avaient obtenu quelques résultats : des prisonniers de guerre US avouant avec conviction devant la presse des crimes qu’ils n’avaient peut-être pas commis. Biderman présenta ses premières observations lors d’une audition au Sénat, le 19 juin 1956, puis à l’Académie de médecine de New York, l’année suivante (Voir documents téléchargeables ci-dessous). Il distingua cinq stades par lequel passent les « sujets ».

    - 1. Tout d’abord le prisonnier refuse de coopérer et se mure dans le silence.
    - 2. Par un mélange de brutalités et de gentillesse, on peut le faire passer à un second stade où il va être conduit à se défendre de ce dont on l’accuse.
    - 3. Puis, le prisonnier commence à coopérer. Il continue à clamer son innocence, mais il cherche à satisfaire ses interrogateurs en reconnaissant qu’il a peut être commis une faute sans le vouloir, par accident ou par inadvertance.
    - 4. Lorsqu’il traverse la quatrième phase, le prisonnier est complètement dévalorisé à ses propres yeux. Il persiste à nier ce dont on l’accuse, mais il confesse sa nature criminelle.
    - 5. À la fin du processus, le prisonnier admet être l’auteur des faits qu’on lui reproche. Il invente même des détails supplémentaires pour s’accuser et réclame son châtiment.

    Biderman examine également toutes les techniques utilisées par les tortionnaires chinois pour manipuler les prisonniers : isolation, monopolisation de la perception sensorielle, fatigue, menaces, gratifications, démonstrations de puissance des geôliers, dégradation des conditions de vie, contrainte. La violence physique est secondaire, la violence psychologique est totale et permanente.

    Les travaux de Biderman sur le « lavage de cerveau » ont acquis une dimension mythique. Les militaires US ont craint que leurs hommes puissent être retournés par l’ennemi, conditionnés pour dire n’importe quoi et peut être pour faire n’importe quoi. Ils ont donc conçu un programme d’entrainement de leurs pilotes de chasse de sorte que ceux-ci deviennent réfractaires à cette forme de torture et ne puissent être retournés par l’ennemi s’ils étaient faits prisonniers. Cette formation est nommée SERE, acronyme de Survivre, s’Évader, Résister, s’Échapper (Survival, Evasion, Resistance, Escape). Si initialement le cours était donné à la School of Americas, il a été étendu aujourd’hui à d’autres catégories de personnel militaire et est dispensé sur plusieurs bases. En outre des formations de cette nature ont été instituées dans chaque armée membre de l’OTAN.

    Ce que l’administration Bush a décidé, après l’invasion de l’Afghanistan, c’est d’utiliser ces techniques pour inculquer des aveux à des prisonniers qui justifieraient ainsi, a posteriori, l’implication de l’Afghanistan dans les attaques du 11-Septembre et validerait la version officielle des attentats.

    De nouvelles installations ont été construites sur la base navale de Guantánamo et des expériences y ont été menées. La théorie d’Albert Biderman a été complétée par un psychologue civil, le professeur Martin Seligman. C’est une personnalité très en vue qui a été notamment président de l’American Psychological Association.

    Seligman a montré une limite de la théorie des réflexes conditionnés d’Ivan Pavlov. On place un chien dans une cage dont le sol est divisé en deux parties. On électrifie aléatoirement un côté ou l’autre du sol. L’animal saute d’un endroit à l’autre pour se protéger — jusque là, rien de surprenant—. Puis, on accélère les choses et parfois on électrifie toute la cage. L’animal se rend compte qu’il ne peut pas s’échapper et que ses efforts sont vains. Bientôt, il renonce, s’allonge sur le sol et entre dans un état second qui lui permet de supporter passivement la souffrance. On ouvre alors la cage. Surprise : l’animal ne fuit pas. Dans l’état psychique où il s’est placé, il n’est plus en mesure de s’opposer. Il reste allongé à endurer la douleur.

    La Navy a constitué une équipe médicale de choc. Elle a notamment fait venir à Guantánamo le professeur Seligman. Ce praticien est une star, connue pour ses travaux sur la dépression nerveuse. Ses ouvrages sur l’optimisme et la confiance en soi sont des best-sellers mondiaux.
    C’est lui qui a supervisé des expériences sur cobayes humains. Certains prisonniers, soumis à de terribles tortures, finissent spontanément par se placer dans cet état psychique qui leur permet de supporter la douleur, mais les prive de toute capacité de résistance.
    En les manipulant ainsi, on les amène rapidement au stade 3 du processus de Biderman.

    S’appuyant toujours sur les travaux de Biderman, les tortionnaires états-uniens, guidés par le professeur Seligman, ont expérimenté et amélioré chaque technique coercitive.
    Pour ce faire, un protocole scientifique a été élaboré qui se base sur la mesure des fluctuations hormonales. Un laboratoire médical a été installé à Guantánamo. Des prélèvement de salive et de sang sont opérés à intervalles réguliers sur les cobayes pour évaluer leurs réactions.
    Les tortionnaires ont sophistiqué leurs crimes. Par exemple, dans le programme SERE, on monopolisait la perception sensorielle en empêchant le prisonnier de dormir avec une musique stressante. Ils ont obtenu des résultats bien supérieurs en diffusant des cris de bébés inconsolables durant des journées d’affilée. Ou encore, on manifestait la toute puissance des geôliers par des passages à tabac. À Guantánamo, ils ont créé l’Immediate Reaction Force. Il s’agit d’un groupe chargé de punir les prisonniers. Lorsque cette unité entre en action, ses membres sont revêtus de cuirasses de protection à la Robocop. Ils extraient le prisonnier de sa cage et le placent dans une pièce dont les murs ont été capitonnés et tapissés de contreplaqué. Ils projettent le cobaye contre les murs, comme pour le fracasser, mais le contreplaqué amortit partiellement les chocs de sorte qu’il soit hébété, mais que ses os ne soient pas brisés.
    Le progrès principal a été réalisé pour le supplice de la baignoire. Jadis la Sainte Inquisition plongeait la tête d’un prisonnier dans une baignoire et l’en retirait juste avant qu’il ne meure noyé. La sensation de mort imminente provoque l’angoisse maximale. Mais le procédé était primitif et les accidents fréquents. Désormais le prisonnier n’est plus plongé dans une baignoire pleine, mais attaché allongé dans une baignoire vide. On le noie en lui versant de l’eau sur la tête avec la possibilité d’arrêter instantanément. Les accidents sont plus rares. Chaque séance a été codifiée pour déterminer les limites du supportable. Des assistants mesurent la quantité d’eau utilisée, le moment et la durée de la suffocation. Lorsque celle-ci intervient, ils récupèrent les vomissures, les pèsent et les analysent pour évaluer l’énergie dépensée et l’épuisement qui s’ensuit.
    Ainsi que le résumait le directeur adjoint de la CIA devant une Commission parlementaire : « Cela n’a rien à voir avec ce que faisait l’Inquisition, à part l’eau » (sic).

    Les expériences des médecins états-uniens n’ont pas été conduites en secret comme celles du docteur Josef Mengele à Auschwitz, mais sous le contrôle direct et exclusif de la Maison-Blanche.
    Tout a été rapporté à un groupe décisionnaire composé de six personnes : Dick Cheney, Condoleezza Rice, Donald Rumsfeld, Colin Powell, John Ashcroft et George Tenet, qui a témoigné avoir participé à une douzaine de ces réunions de travail.

    Le résultat de ces expériences est néanmoins décevant. Rares sont les cobayes qui se sont avérés réceptifs. Il a été possible de leur inculquer des aveux, mais leur état est resté instable et il n’a pas été possible de les produire en public face à des contradicteurs.
    Le cas le plus connu est celui du pseudo-Khalil Sheikh Mohammed. Il s’agit d’un individu arrêté au Pakistan et accusé d’être un islamiste koweïtien, bien qu’il ne s’agisse manifestement pas de la même personne. Après avoir été longuement torturé et avoir notamment été soumis 183 fois au supplice de la baignoire durant le seul mois de mars 2003, l’individu a reconnu être Khalil Sheikh Mohammed et s’est accusé d’avoir organisé 31 attentats différents aux quatre coins du monde, de celui au WTC de New York en 1993, en passant par la destruction à la bombe d’une boîte de nuit à Bali et la décapitation du journaliste Daniel Pearl jusqu’aux attentats du 11 septembre 2001. Le pseudo-Sheikh Mohammed a maintenu ses confessions devant une commission militaire, mais il n’a pas été possible aux avocats et juges militaires de le questionner en public, tant on craignait que, hors de sa cage, il ne revienne sur ses aveux.

    Pour masquer les activités secrètes des médecins de Guantánamo, la Navy a organisé des voyages de presse à l’attention de journalistes complaisants. Ainsi, l’essayiste français Bernard Henry Lévy a-t-il volontiers joué le témoin de moralité en visitant ce qu’on a bien voulu lui montrer. Dans son livre American Vertigo, il assure que cette prison ne diffère pas des autres pénitenciers états-uniens et que les témoignages de sévices qu’on y pratiquerait [« ont été plutôt gonflés » (sic) [6]

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    Une des prisons off shore de l’US NAvy. Ici l’USS Ashland. La cale à fond plat a été aménagée pour recevoir des cages de prisonniers sur plusieurs niveaux.

    Les prisons off shore de la Navy

    En définitive, l’administration Bush a estimé que fort peu d’individus étaient conditionnables au point de croire avoir commis les attentats du 11-Septembre. Elle en a conclu qu’il fallait tester un très grand nombre de prisonniers pour sélectionner les plus réceptifs.

    Compte tenu de la polémique qui s’est développée autour de Guantánamo et afin d’être sûr de ne pas être poursuivable en justice, la Navy a créé d’autres prisons secrètes et les a placées hors de toute juridiction, dans les eaux internationales.

    17 bateaux à fond plat, du type de ceux utilisés pour les débarquements de troupes, ont été aménagés en prisons flottantes avec des cages comme à Guantánamo. Trois ont été identifiés par l’association britannique Reprieve. Il s’agit de l’USS Ashland, l’USS Bataan et l’USS Peleliu.

    Si l’on additionne la totalité des personnes qui ont été faites prisonnières en zone de conflit ou enlevées n’importe où dans le monde et transférées dans cet ensemble de prisons au cours des huit dernières années, ce sont au total 80 000 personnes qui auraient transité dans le système, dont moins d’un millier auraient été poussées vers les stades ultimes du processus de Biderman.

    Dès lors le problème de l’administration Obama se résume ainsi : il ne sera pas possible de fermer Guantánamo sans révéler ce qui y a été fait. Et il ne sera pas possible de reconnaître ce qui y a été fait, sans admettre que tous les aveux recueillis sont faux et ont été délibérément inculqués sous la torture, avec les conséquences politiques que cela implique.

    À la fin de la Seconde Guerre mondiale, douze procès furent jugés par le tribunal militaire de Nüremberg. L’un fut consacré à 23 médecins nazis. 7 furent acquittés, 9 furent condamnés à des peines de prison et 7 furent condamnés à mort. Depuis, un Code éthique régit la médecine au plan international. Il interdit précisément ce que les médecins états-uniens ont fait à Guantánamo et dans les autres prisons secrètes.


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  • La mode EMO

     

     

    Manipulation de la jeunesse par le NWO...Promouvoir la bisexualité(destruction de  cellule familiale), le culte du morbide(état dépressif chronique) ,sexualité anarchique (la sexualité devient un produit de consommation), percing(afin de vous habituer à l'implation de puces RFID)'aspect satanique etc...et j'en passe.

     

     


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  • HIV et homosexualité  masculine

     

    L’Institut de veille sanitaire vient de rendre publics les résultats préliminaires de son enquête Prevagay sur la prévalence de la séropositivité chez plus de 900 hommes homosexuels. Le VIH a été découvert chez 20% d'entre eux, ce qui n'est pas de bon augure.

    Près d’un participant sur cinq à l’enquête Prevagay s’est avéré séropositif au VIH. L’Institut de veille sanitaire (INVS) qui publie les premiers résultats de ce travail lancé au printemps dernier, relève également que 20% des hommes interrogés ignoraient auparavant leur statut sérologique. Le constat ne laisse pas d’être inquiétant et donne un crédit particulier aux spécialistes qui recommandent le lancement de campagnes de dépistage élargies.

    Renforcer la prévention

    « Ces résultats ne peuvent être généralisés à l’ensemble de la population des hommes ayant des relations sexuelles avec d’autres hommes, prévient cependant l’INVS. Ils confirment [néanmoins] la nécessité de définir et de renforcer des stratégies de dépistage et de prévention ciblées et adaptées. »

    Prévagay est la première enquête de prévalence du VIH auprès d’une population homosexuelle et bisexuelle. Au total, 917 hommes fréquentant des « établissements de convivialité gays parisiens » y ont participé. Tous ont accepté de se soumettre à un prélèvement biologique et de répondre à un questionnaire comportemental.

    « Les résultats finaux de l’enquête, intégrant l’incidence pour le VIH et la prévalence des hépatites B et C, seront communiqués au cours du premier trimestre 2010 », conclut l’INVS.


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