• Le grand retour de la bulle spéculative
    LE MONDE ECONOMIE | 02.11.09 | 16h30  •  Mis à jour le 02.11.09 | 20h29


    n voulant sauver l'économie mondiale, a-t-on fait naître une nouvelle bulle qui sera à l'origine de la prochaine crise ?

    Après les injections massives de centaines de milliards de dollars par les Etats et les banques centrales dans le but d'éviter le naufrage des établissements bancaires et des constructeurs automobiles et pour soulager les ménages, de nombreux économistes mettent maintenant en évidence l'existence d'un accès de spéculation.

    En appui de cette thèse, ils soulignent la flambée concomitante et quasi inédite des marchés boursiers, en particulier en Asie, des marchés obligataires, notamment sur les emprunts d'Etat, et du prix des matières premières, l'or et le pétrole en vedettes. Depuis six mois, "tout monte !", constate Patrick Artus, responsable de la recherche économique chez Natixis. Selon lui, il s'agit de spéculation car ces hausses, souvent spectaculaires - la Bourse de Shanghaï a progressé de 63 % depuis le 1er janvier -, sont déconnectées de la réalité économique. "A la Bourse de Taïwan, les valeurs des actions représentent 100 fois les bénéfices des sociétés, 90 fois en Australie, contre 13 fois à la Bourse de Paris", souligne l'économiste.

    Pour M. Artus, cette bulle serait le fruit de l'abondance de liquidités issues notamment des plans de relance et de soutien lancés en 2008. Pour endiguer la crise, les banques centrales ont d'une certaine manière "fait marcher la planche à billets", explique-t-il, en ouvrant les vannes du crédit via des politiques monétaires accommodantes avec des taux d'intérêt proches de zéro et en achetant des titres, parfois toxiques, afin de soulager les établissements financiers. Les Etats, de leur côté, se sont endettés en empruntant sur les marchés des montagnes de dette. Les économistes de Barclays calculent qu'il s'émettra en 2009 pour 1 300 milliards de dollars (875 milliards d'euros) de bons du Trésor américains et quelque 900 milliards de dollars de titres d'emprunts en Europe.

    "La liquidité mondiale n'a jamais progressé aussi vite, souligne M. Artus. De 1990 à 2007 la monnaie en circulation, estimée sur la base des bilans des banques centrales, progressait de 15 % par an en moyenne ; aujourd'hui, le rythme est de plus de 30 %."

    "En 1990, la base monétaire représentait 4 % du produit intérieur brut (PIB) mondial ; aujourd'hui, c'est 21 % !", souligne M. Artus. Pour placer cet argent, les investisseurs achètent tour à tour des actifs sur le marché immobilier, sur celui des matières premières, des actions ou des obligations notamment "souveraines" - émises par des Etats - car jugées moins risquées. On a ainsi des "bulles sauteuses", explique M. Artus, où la spéculation se concentre sur un marché avant de se nicher ailleurs.

    Du fait de ces excès, "la reprise qui se dessine est insoutenable, alerte l'historien et économiste Nicolas Baverez, dans une tribune publiée dans Le Monde du 30 octobre. L'on réédite les erreurs commises après 2001 en reconstituant deux bulles spéculatives, sur les marchés d'actions et de dettes des Etats".

    "On vit dans un monde producteur de liquidités", estime aussi Daniel Cohen professeur à l'Ecole normale supérieure (ENS). Mais, pour lui, la racine du mal est plus profonde qu'on ne le croit. "On a souvent dit que la politique monétaire laxiste d'Alan Greenspan, le président de la Réserve fédérale américaine, menée après l'éclatement de la bulle Internet était à l'origine de la crise actuelle", rappelle-t-il. Les taux d'intérêt très bas auraient en effet contribué à laisser se former une bulle du crédit aux Etats-Unis. "En réalité les causes de l'abondance de liquidités sont plus profondes que les erreurs de Greenspan", assure M. Cohen.

    L'excès d'argent proviendrait, selon lui, de la conjonction de deux facteurs : le premier lié à l'émergence de pays dont la balance commerciale est structurellement excédentaire, comme la Chine - ils innondent la planète de leurs liquidités - ; le second de pays producteurs de matières premières, qui sont "à 95 % transformées en produits financiers", explique M. Cohen.

    In fine, les Etats et les banques centrales ne seraient donc pas coupables de la création de bulles, mais subiraient, en quelque sorte, les déséquilibres de ce nouvel ordre mondial.

    Quelle qu'en soit l'origine, ces outrances financières auront, selon les économistes, des conséquences désastreuses tant au niveau microéconomique, que macroéconomique ou géopolitique. En éclatant, une bulle ruine en effet les détenteurs d'actifs du marché concerné. Mais la spéculation peut également propager ses effets négatifs à l'économie "réelle". Les émeutes de la faim en 2008, liées à la flambée des matières premières (sucre, céréales, etc.) l'ont démontré, tout comme, à la même époque, un pétrole à plus de 100 dollars le baril a pénalisé l'industrie et le pouvoir d'achat des ménages.

    Que faire ? Pour la plupart des économistes, la responsabilité incombe en premier lieu aux banquiers centraux. A eux de faire en sorte de "vider" le monde de ses liquidités trop abondantes en durcissant les politiques monétaires.

    Mais en agissant ainsi, ils risquent de briser une reprise économique mondiale encore fragile et instable. Et certains experts, à l'image de Jean-Hervé Lorenzi, président du Cercle des économistes, pensent qu'il est plus dangereux de briser la croissance que de laisser se propager une bulle financière qui, selon lui, menace... sans être encore véritablement présente.

    "La bulle n'est pas encore là, mais elle est devant nous. C'est un risque qu'il faut surveiller", estime M. Lorenzi. Selon lui, tant que ce risque ne s'est pas manifesté, il est préférable de soutenir encore l'économie par le jeu de politiques monétaires conciliantes, même si l'économie n'en a plus vraiment besoin. "La moitié du PIB mondial est encore sous perfusion, il ne faut pas stopper ce soutien trop tôt,

    juge M. Lorenzi. Le faire un peu trop tard ne serait pas plus grave que de prendre des antibiotiques trois heures de plus qu'il ne faut."

    Pour l'heure, le gouverneur de la Banque de France, Christian Noyer, a rassuré les plus inquiets en soulignant, le 29 octobre dans un entretien aux Echos, que "pour le moment, rien ne justifierait" le relèvement des taux d'intérêt directeurs de la Banque centrale européenne (BCE).

    Mais, pour les banques centrales, l'exercice est d'autant plus délicat que leur boussole habituelle, l'inflation, ne marche plus.

    Jusqu'ici, une surchauffe était clairement rendue visible sous la forme d'une hausse des prix. Mais depuis les années 1980, l'inflation, sur le Vieux Continent comme dans l'ensemble du monde occidental, semblait éradiquée.

    L'efficacité des politiques monétaires dans ce domaine, couplée à la mise en place de mesures favorisant la concurrence, mais aussi et surtout aux bouleversements du marché du travail (désindexation des salaires sur les prix, multiplication des délocalisations, compétition avec des pays à bas salaires, moindre pouvoir des syndicats...) ont contribué à cantonner la hausse des prix autour de 3 %.

    Selon les économistes, pour mesurer les effets réels de leurs politiques monétaires sur les prix, les banques centrales doivent impérativement élargir leur mandat et ne plus regarder seulement l'inflation des biens et des services.

    En effet, comme ces dernières années en ont fourni l'illustration frappante, l'inflation a déserté en grande partie les étiquettes des étals pour aller se réfugier sur les valeurs Internet ou dans l'immobilier. Les décisions de baisse ou de hausse des taux d'intérêt influencent peu le panier de la ménagère, mais beaucoup le prix auquel elle achète son logement. Les instituts d'émission gagneraient donc en efficacité s'ils surveillaient, en plus de l'évolution des prix à la consommation, celle des prix des actifs sur les marchés boursiers, des obligations ou des matières premières. Ils serviraient ainsi mieux, par la même occasion, leur objectif de veiller à la stabilité financière et de prévenir la formation de nouvelles bulles financières.

     

    Claire Gatinois

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  • Grippe H1N1 : état d’urgence en Ukraine mais en Pologne, le vaccin est refusé par la ministre

    A propos de l’Ukraine, on pourrait dire qu’ils sont complètement à l’Est, en singeant la fameuse expression « être à l’Ouest », qui signifie se trouver dans un état d’hébétude, voire de confusion mentale. Et justement, avec l’arrivée du virus, c’est bien de confusion généralisée dont il est question puisque, après l’annonce de quelques soi-disant 50 décès, la panique s’est emparée de la population alors que le gouvernement s’apprête à décréter un état d’urgence militaire. La situation est grave. <o:p></o:p><o:p>
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    Souvenons-nous, ces dirigeants si propres, si bien sur eux, démocrates, occidentaux, colorés en orange, vertueux, de vraies colombes comparés aux affreux tricheurs soutenus par la Russie, ces révolutionnaires oranges loués par des clercs très vertueux et nécessairement russophobes que sont Glucksmann et BHL, eh bien ces gouvernants se préparent à mettre en place un état d’urgence, autrement dit, une suspension des libertés fondamentales, et ce, pour une banale grippe. On pourra se demander quel est le dessein de cette présentation politique des choses. Pourtant c’est clair. La grippe a réveillé des crispations politiques et se voit instrumentalisée par les politiciens pour conduire leurs affaires. Le principal opposant à Ylia Timoshenko l’accuse d’amplifier la panique et ce, afin de couvrir des récentes affaires de corruption, impliquant une clique d’oligarques proches du pouvoir, accusés de s’en foutre plein les poches, y compris en jouant sur la manne débloquée par le FMI. Cette réaction n’étonne guère. Elle remet les pendules à l’heure sur l’idée qu’on se fait des politiciens à l’Est. Quant à la grippe H1N1, même Madame Chan de l’OMS affirme qu’elle se répand en Ukraine comme une banale grippe saisonnière. Alors que Konstantin Bondarenko, chef d’un institut à Kiev, déclare que cette grippe de 2009 n’est pas plus morbide que la saisonnière. Affirmant de surcroît que les autorités entretiennent la peur afin de se présenter en sauveurs nationaux lors de prochaines élections déjà contestées. Car l’état d’urgence limitera les rassemblements et favorisera le camp au pouvoir grâce aux apparitions télévisées. <o:p></o:p><o:p></o:p>

    A l’Est, il y a aussi la Pologne. Et là, c’est l’inverse qui se passe. La ministre de la santé Eva Kopacz y va de toute sa zénitude en affichant la ferme position de ne pas paniquer ni (et c’est important) de ne pas céder à la panique médiatique incitant le gouvernement à acheter avec précipitation des doses de vaccin car le virus serait passé à travers la frontière ukrainienne, menaçant les Polonais dont la constitution physiologique est comparable à celle des Français. C’est d’ailleurs l’argument d’une journaliste qui a attaqué la ministre polonaise, arguant de la réactivité des autres pays européens tel la France, pays acquéreur de millions de doses auprès des laboratoires. En fait, Eva Kopacz a tout simplement suivi son homologue tchèque, refusant l’usage du vaccin car les garanties présentées par les laboratoires ne sont pas sûres. Et l’on voit ces deux pays, nargués comme mauvais élèves de l’Europe, agir en toute sagesse face à la frénésie pandémique, refusant de céder à une panique injustifiée et causée par les médias. Et déclinant les offres « un peu intéressées » des laboratoires. <o:p></o:p><o:p>
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  • Vaccin avec adjuvants...4 fois plus rentable pour les labos

     

    il est à noter que l'utilisation du squalène avait été interdite aux USA aprés la guerre du golfe, suite aux effets secondaires constatés sur les militaires.Cette interdiction a été levée pour le vaccin contre la grippe.

     

     


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  • Un psychiatre militaire tue douze soldats sur une base américaine


    ouze personnes sont mortes et trente et une ont été blessées, jeudi 5 novembre, sur une base de l'armée américaine au Texas, dans une fusillade déclenchée par un officier. Après avoir annoncé qu'il y avait trois tireurs, le commandant de la base a expliqué que "les premières informations indiquent qu'il y avait un seul tireur, qui a été touché par balle à plusieurs reprises. Toutefois, il n'est pas mort comme cela avait été annoncé précédemment. Il est en état d'arrestation et son état est stable".

     Le

     tireur est un psychiatre militaire qui devait être envoyé en Irak prochainement. Ses proches ont expliqué qu'il se sentait harcelé à cause de son origine palestinienne et de sa religion musulmane et qu'il redoutait d'être déployé en Irak. " Nous savons depuis au moins cinq ans que c'était vraisemblablement son pire cauchemar ", a expliqué un cousin de l'officier à la chaîne de télévision Fox News. "Il nous racontait à quel point les choses qu'il entendaient étaient horribles, ça l'a probablement affecté psychologiquement ", a-t-il poursuivi.


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  • Lapidation médiatique de Dieudo par les valets sionistes

     

     

     


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  • Ukraine: comment payer la facture russe à l'aide d'une épidémie ?

    (AFP) – Il y a 4 jours

    MOSCOU — Le Premier ministre russe, Vladimir Poutine, a averti dimanche l'Union européenne que ses approvisionnements en gaz russe via l'Ukraine allaient être perturbés si Kiev ne s'acquitte pas de sa facture gazière.

    Lors d'une conversation téléphonique avec son homologue suédois Fredrik Reinfeldt, président en exercice de l'UE, M. Poutine "a attiré l'attention sur les signaux, y compris de canaux officiels à Kiev, concernant de possibles problèmes de paiement des livraisons de gaz russe", a indiqué un de ses porte-parole cité par les agences russes.

    En conséquence, "des problèmes pourraient survenir dans le transit de gaz russe via le territoire ukrainien à destination des consommateurs européens", a-t-il ajouté.

    Vladimir Poutine a informé son homologue suédois conformément aux engagements de la Russie et de l'Union européenne de s'informer mutuellement des problèmes en cours, notamment en matière énergétique, a fait valoir son service de presse.

    Vendredi, le Premier ministre russe avait déjà tiré la sonnette d'alarme, accusant le président ukrainien Viktor Iouchtchenko d'empêcher le transfert d'argent vers Moscou pour le paiement de la facture gazière de son pays.

    "Selon le Premier ministre ukrainien (Ioulia Timochenko, ndlr), Iouchtchenko fait obstacle à la coopération entre la banque centrale et le gouvernement ukrainien et bloque le transfert des fonds", avait-il déclaré.

    Toute menace de conflit gazier russo-ukrainien attise à chaque fois les inquiétudes de l'Europe, où un quart du gaz consommé provient de Russie, ce gaz transitant pour 80% par l'Ukraine.

    Début janvier, les Européens ont ainsi subi une longue interruption des livraisons russes au beau milieu de l'hiver en raison d'un contentieux financier entre Kiev et Moscou.

    Les Européens "n'ont pas à souffrir" d'un conflit gazier entre la Russie et l'Ukraine et à se laisser "entraîner dans la campagne électorale" en Ukraine, a commenté samedi un porte-parole européen sous le couvert de l'anonymat.

    Mme Timochenko est l'un des candidats favoris pour la présidentielle du 17 janvier, avec l'ex-Premier ministre pro-russe Viktor Ianoukovitch.

    M. Iouchtchenko, partisan de l'intégration de l'Ukraine à l'Otan, est depuis des années la bête noire du Kremlin. Il est aussi en conflit ouvert avec son Premier ministre et ex-alliée de la Révolution orange.

    Avec à peine 5% d'intentions de vote, il a par ailleurs peu de chances d'être réélu.

    Vendredi, M. Poutine a estimé que l'Ukraine disposait des fonds nécessaires pour payer son gaz grâce au crédit accordé par le Fonds monétaire international (FMI), soit 10,6 milliards de dollars à ce jour.

    Il a aussi montré du doigt l'UE, notant qu'elle n'avait toujours pas "versé un centime" à l'Ukraine, malgré l'aide financière promise.


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  • Ukraine: Le nombre d'infections a doublé en 2 jours

     

    Ukraine: Le nombre d'infections a doublé en 2 jours

    478,456 grippe/ARI (pneumonies/virus inconnu)
     
     24,003  hospitalisations
     
     60  sous respiration artificielle
     
     81 morts
     
     
     Ci-dessus, les derniers chiffres mis à jour en Ukraine. Le nombre de patients infectés a presque doublé pour atteindre quasiment le ½ million, comparé aux chiffre d’il y a deux jours. Les patients hospitalisés également sont à la hausse, passant de 15000 à 24000. Les cas en soin intensif n’ont pas été comptabilisé, mais 60 sont sous respirateur artificiel. Cependant, la plupart
    (37) de ces cas sous ventilation sont à Chernivisti Oblast, mais aucun à Lviv, qui a pourtant enregistré le plus grand nombre d’infections et de morts, suggérant que les données ne sont pas complètes ou qu’il y a une pénurie significative en respirateurs artificiels. Le nombre de morts a atteint les 81 cas, mais les rapports des médias décèlent encore plus de cas, incluant ceux de Kiev Oblast.  
     
     L'explosion du nombre de cas soulève les inquiétudes que le nombre de morts est significativement supérieur aux 81 cas énumérés. Les rapports des médias ont décrit un nombre égal de morts (81) par pneumonie, qui n'ont pas été considérés comme lié à la grippe. La base de ces exclusions demeure peu claire. D’autre part, des rapports anecdotiques suggèrent que le nombre de morts est nettement plus élevé que les 81 cas enregistrés.  
     
     L’augmentation rapide des infections, des hospitalisations, et des décès durant ces derniers jours soulève des inquiétudes que le virus se transmet très efficacement. Des hausses du nombre d’infections ont été rapportées dans tout l'hémisphère nord, mais l’augmentation des décès et la fréquence des cas d’hémorragies en Ukraine ont soulevé les inquiétudes.  
     
     Des rapports des médias, apparus plus tôt se matin, suggèrent qu'une mise à jour de la situation par l'OMS pourrait être publiée aujourd'hui et inclure l'analyse préliminaire des échantillons envoyés à Mill Hill à Londres. (Échantillons prélevés sur les patients infectés par le virus non identfié )

     
     Un suivi quotidien de la situation en rapide évolution en Ukraine, y compris les résultats d’analyse, seraient utiles.

    Alors que certains soutiennent que le virus constitue une peste pulmonaire, d’autres pensent qu’il s’agit d’une forme plus virulente du H1N1. Ces derniers avancent que le virus attaque généralement les poumons. De plus, la manière dont il abat les jeunes suggèrerait qu’il s’agit d’une forme virulente du H1N1. 

    Un autre rapport fait savoir que des témoins oculaires en Ukraine disent avoir vu un aéronef léger vaporisant un bombe aérosol non-identifiée sur la ville de Kiev, ce qui à leur avis à un lien avec l’épidémie.  Le service d’intervention en cas d’urgence en Ukraine a réfuté ces déclarations.

    Quoi qu’il se passe en Ukraine, les nouvelles se répandent dans des rapports tirés de sites internet qui citent un avertissement donné en août par un dénommé Joseph Moshe, ancien microbiologiste du Mossad.

    Moshe a fait la une lors de son arrestation après de longues course-poursuite avec la police de Los Angeles, pour des menaces qu’il aurait proférées contre <st1:personname productid="la Maison-Blanche" w:st="on">la Maison-Blanche</st1:personname>. 

    Peu de temps après son arrestation, des centaines commentaires commencèrent à circuler disant que Moshe aurait appelé lors d'une émission radiodiffusée pour avertir le monde d’une arme biologique fabriquée par l’usine Baxter International en Ukraine. Ce virus serait propagé grâce au vaccin contre la grippe et causera une épidémie des sa mise sur le marché.    

    L’identité de microbiologiste de Moshe semble être vérifiable et la présence de Baxter en Ukraine est indéniable, comme l'atteste cette page d'information de la personne-ressource de Baxter sur son activité en Ukraine.

    Que les déclarations de Moshe soient fondées demeure un sujet de débat. Mais il est tout de même curieux qu’il ait précisément pointé l’Ukraine du doigt pour avertir contre une pandémie toute particulière.


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  • La connerie du jour :

    Yannick Noah : "Le cirage de pompes, je laisse ça à David Douillet"

     


    Énervé, révolté et bien décidé à mettre les points sur les « I ». Alors qu'il vient d'annoncer son méga concert au Stade de France en 2010, le 25 septembre, Yannick Noah se fend d'une interview au verbe haut dans le Parisien. Lire la suite l'article

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    ça faisait longtemps qu'il n'avait pas ouvert sa gueule pour ne rien dire....

    Yannick Noah : "Le cirage de pompes, je laisse ça à David Douillet"

    Depuis la Grande Pomme, où il réside, l'ancien champion de tennis parle de la France. Une France qui ne lui manque pas tant que ça, « Ce n'est pas un sentiment que je connais. J'ai toujours bougé », confie-t-il.Une France un peu molle par rapport au rythme new-yorkais : « À Paris, j'ai l'impression que les gens n'ont pas la patate. Ici, il y a une vraie énergie (...) L'élection d'Obama a donné un coup d'accélérateur à cette ville... »

     Traduction WR :Grâce à la France, j'ai fais fortune et je ne branle plus rien depuis l'age de 30 ans.Mais je me préfère aux "states" et je trouve les français mous du gland ... je les emmerde et je ne leur demande qu'une chose, c'est d'acheter mes disques, car ils sont invendables ailleurs.

     


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  • 10 fois plus de Thimerosal dans le vaccin sans adjuvant au Canada!!!

     

     



    10 fois plus de Thimerosal dans le vaccin sans adjuvant au Canada!!!

    Selon le site Web de l’Agence de Santé Publique du Canada, le vaccin sans adjuvant [le vaccin H1N1 sans ASO3 (autrement connu comme l’adjuvant formé de squalène-huile-eau)] contiendra 10 fois la quantité de Thimerosal contenu dans le vaccin avec adjuvant qui est actuellement distribué. C’est ce vaccin qu’ils veulent donner aux jeunes enfants et aux femmes enceintes.  
     
     Le prétexte pour permettre tout ce mercure dans le vaccin, est qu'il est différent du mercure qui est contenu dans la nourriture, comme dans le thon ; et, que sa quantité est inférieure à la limite quotidienne autorisé (dans la nourriture, mais pas directement injecté dans le sang).  
     
     Je propose à quiconque qui veut en apprendre plus sur le fait que le type de mercure contenu dans le Thimerosal est plus toxique que le mercure des poissons que l’on consomme, lisez le livre « La preuve du mal » par David Kirby (Evidence of Harm). De toute façon, quand vous mangez un poisson, vous absorbez seulement une très petite partie du mercure, alors que quand vous vous l'injectez dans vos veines, naturellement, vous avez absorbé 100% de la dose.


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  • Immunité de Baxter, c’est écrit dans le contrat ! : “La survenance d’effets indésirables attendus ou inattendus ou le manque d’efficacité ne constitueront pas une violation de la garantie”. Avec cette info, plus personne ne voudra se faire vacciner !



    Le contrat signé début août par la firme pharmaceutique Baxter pour la vente à la France de vaccins contre la grippe H1N1 confirme le coût de 10 euros HT par dose et n’engage pas le laboratoire pour tout effet indésirable ou manque d’efficacité.
    Ce contrat, dont l’AFP a pu obtenir mardi une copie, était soumis initialement à une clause de confidentialité totale, qui a été levée ce mardi.
    Le vaccin, produit par culture cellulaire (un procédé un peu plus coûteux) et sans adjuvant, a obtenu début octobre son autorisation de mise sur le marché de la part des autorités européennes.
    Son coût est de 10 euros hors taxe par dose, contre 6,5 à 9,34 euros hors taxe pour les autres fabricants.
    La France en a commandé 50.000 doses, dont 12.000 doses, selon le contrat, ont dû être livrées fin août. La totalité des doses devraient avoir été livrées avant la fin de l’année 2009.
    “La survenance d’effets indésirables attendus ou inattendus ou le manque d’efficacité ne constitueront pas une violation de la garantie”, précise le texte du contrat.
    “En contrepartie” de ce marché, le contrat précise que l’Eprus (Etablissement de préparation et de réponse aux urgences sanitaires), qui a signé le contrat au nom des autorités françaises, “s’engage à acquérir les 150.000 doses de vaccins Neisvac”, un vaccin contre la méningite C, “conformément aux termes” d’un autre marché, pour livraison avant le 15 décembre 2009.
    dailybourse

    Je comprends mieux pourquoi  Bachelot ne voulait pas donner les contrats.
    Déja le prix des vaccins est affreusement cher, d’habitude dans le commerce, plus on achète en gros, plus le prix à l’unité baisse, ça n’a pas l’air d’être le cas ….

    Mais bien plus grave est cette phrase hallucinante ” La survenance d’effets indésirables attendus ou inattendus ou le manque d’efficacité ne constitueront pas une violation de la garantie “. !!!

    Donc, si le vaccin ne sert à rien ou si des gens sont malades, cela ne rendra pas le contrat caduque !!!!!
    C’est dingue, c’est stupéfiant, ” pas de garantie ” !!!
    Il faut le dire aux plus de gens possible, que la population soit au courant de cette mascarade sanitaire qui va nous mener à une hécatombe.

    Souvenez vous également que selon la loi française, lorsque c’est l’état qui demande la vaccination, personne ne pourra être attaqué :

    Article L3110-3 CSP
    Modifié par Loi n°2007-248 du 26 février 2007 – art. 1 JORF 27 février 2007
    Nonobstant les dispositions de l’article L. 1142-1,

    Les professionnels de santé ne peuvent être tenus pour responsables des
    dommages résultant de la prescription ou de l’administration d’un médicament
    en dehors des indications thérapeutiques ou des conditions normales
    d’utilisation prévues par son autorisation de mise sur le marché ou son
    autorisation temporaire d’utilisation, ou bien d’un médicament ne faisant
    l’objet
    d’aucune de ces autorisations, lorsque leur intervention était rendue nécessaire
    par l’existence d’une menace sanitaire grave et que la prescription ou
    l’administration du médicament a été recommandée ou exigée par le ministre
    chargé de la santé en application des dispositions de l’article L. 3110-1.

    Le fabricant d’un médicament ne peut davantage être tenu pour responsable
    des dommages résultant de l’utilisation d’un médicament en dehors des
    indications thérapeutiques ou des conditions normales d’utilisation prévues par
    son autorisation de mise sur le marché ou son autorisation temporaire
    d’utilisation, ou bien de celle d’un médicament ne faisant l’objet d’aucune de
    ces autorisations, lorsque cette utilisation a été recommandée ou exigée par le
    ministre chargé de la santé en application de l’article L. 3110-1.

    Il en va de même pour le titulaire de l’autorisation de mise sur le marché, de
    l’autorisation temporaire d’utilisation ou de l’autorisation d’importation du
    médicament en cause. Les dispositions du présent alinéa ne les exonèrent pas
    de l’engagement de leur responsabilité dans les conditions de droit commun en
    raison de la fabrication ou de la mise sur le marché du médicament.
    NOTA : Loi 2007-294 du 5 mars 2007 art. 12 I : la présente loi entre en vigueur
    le 29 août 2007, jour suivant la date de publication du décret n° 2007-1273 du
    27 août 2007″.
    legifrance

    La boucle est bouclée, rien ni personne ne pourra se plaindre en cas de pépin !
    Et ça tombe bien parce que des pépins il va y en avoir !!!!


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