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    Emission de Radio Courtoisie du 26 janvier 2012, Libre journal de Claude Giraud "de la Libye à la Syrie, brouillards et manipulations" présenté par Christian Brosio avec la participation du prêtre Michel Lelong, père blanc, de Philippe Prévost, historien, de Gilles Munier, amitiés franco-irakiennes, et de Ali Ibrahim, syrien, professeur à l’Ensta et l’Iris.

     

    Débat sur la désinformation et les tentatives de déstabilisation contre l’actuel régime syrien.

     

    à 42’00 Philippe Prévost "au début des années 80 un israélien publia un article expliquant que la désintégration de la Syrie et de l’Irak en provinces ethniquement homogènes est une priorité pour Israel"

     

    à 53’00 Ali Ibrahim "une femme syrienne (Lamahatas ?) est venue voir BHL à Paris pour lui demander de faire pour la Syrie la même propagande qu’il avait faite pour la Libye"

     

    à 1"13’00 Ali Ibrahim "BHL n’est pas le décideur au sein de ce conseil, c’est (nom imprononçable) qui est un agent secret américain qui était avant au Caire"

    par Hieronymus samedi 28 janvier 2012


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  • Le Point.fr - Publié le 30/01/2012 à 10:12 - Modifié le 30/01/2012 à 10:20

     

    Des Grecs manifestant leur opposition aux plans de rigueur, fin décembre, à Athènes.

    Des Grecs manifestant leur opposition aux plans de rigueur, fin décembre, à Athènes. © Petros Giannakouris / AP, Sipa

     

    "Tous les jours, on se réveille avec le mot faillite et crise, chaque réunion et sommet européen est crucial pour la Grèce. Puis chaque soir, on nous annonce que le pire a été évité de justesse. On n'y comprend rien et on angoisse", lance Dimitri, graphiste dans une compagnie de marketing. Depuis plusieurs jours, le feuilleton grec recommence à inquiéter la zone euro et les échéances courent. Les négociations entre le gouvernement et ses créanciers privés pour la réduction de la dette patinent, l'Union européenne et le Fonds monétaire international pressent pour plus de contrôles dans l'application des réformes et plus de mesures d'austérité.

    "Au final, on nous coupe nos salaires, les prix augmentent sans arrêt et nous ne pouvons plus vivre dignement. Je ne suis pas payé depuis trois mois ! Ils nous poussent au suicide ou au départ", reprend Dimitri. À 42 ans, il considère qu'il n'est pas responsable de la dette grecque de 350 milliards d'euros, et qu'il n'a pas à la rembourser. Il préfère migrer. Pour lui, la Grèce est dans l'impasse politique, économique et budgétaire. Quitter son pays est donc la seule solution pour le moment. "J'ai déjà expliqué à ma femme et à mon fils que si je devais partir seul, je reviendrais souvent et nous parlerions par Skype tous les soirs. C'est pour le bien de ma famille", précise-t-il.

    "Tout est désorganisé"

    Pour Takis Bratsos, l'austérité telle qu'elle est appliquée depuis dix-huit mois est suicidaire. "Un Grec sur trois n'est pas assuré, tout est désorganisé et cela ne mène nulle part. Ce n'était pas la bonne recette et le gouvernement n'a pas pris la cure au sérieux." Après cinq plans de rigueur, les résultats sont chaotiques : la dette est toujours aussi importante, le déficit ne baisse pas, le taux de chômage explose à 18,2 %, la récession bat des records et tous les Grecs ne pensent qu'à retirer leur argent des banques. Sous la pression de ses créanciers publics, le gouvernement a annoncé une baisse des salaires dans le secteur privé. "Le pouvoir d'achat va s'écrouler et on pointera encore la dette du doigt pour son manque d'efforts. Et tout cela, pour obtenir un second prêt de 130 milliards d'euros, qui va de pair avec une nouvelle cure de rigueur. C'est une spirale sans fin", ajoute-t-il.

    La gestion de la rigueur est largement pointée du doigt. Les coupes des dépenses sociales ont d'abord touché la prévention et le fonctionnement des services publics. "Les circonstances du décès du réalisateur Théodore Angélopoulos résument toute la situation", souligne Takis Théodoropoulos, écrivain. "Il a été renversé par une moto et l'ambulance qui devait le secourir est tombée en panne. Puis une seconde a été dépêchée et, 45 minutes plus tard, il a reçu les premiers secours. Il était certainement trop tard pour cet homme de 76 ans. Cela prouve le dysfonctionnement dangereux du système", explique-t-il. Pour cet écrivain comme pour de nombreux Grecs, le pays est déjà en faillite.


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  • Sarkozy : "Au Royaume-Uni, ils n'ont plus... por Nouvelobs

    nous non plus...............


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  • Jean-Marie Le Pen, président d'honneur du Front national, a déclaré ce dimanche sur France 3 «qu'il n'y aura plus d'UMP après les élections» présidentielle et législatives.

    Pour Jean-Marie Le Pen, l'UMP ne survivra pas aux élections présidentielle et législative
    Pour Jean-Marie Le Pen, l'UMP ne survivra pas aux élections présidentielle et législative MaxPPP

    Invité sur France 3 ce dimanche, et alors qu'on l'interrogeait sur de possibles alliances entre le Front national et l'UMP en vue des prochaines échéances électorales, Jean-Marie Le Pen s'est contenté de répondre : « Je pense qu'il n'y aura plus d'UMP après les élections ». Et d'ajouter : « Si le candidat de l'UMP -quel qu'il soit- comme je le pense est battu (à la présidentielle, NDLR), il est évident que l'UMP explosera et que les députés UMP connaîtront une sévère défaite aux élections législatives ».

    "Je n'attends rien"

    Concernant la situation du président de la République à quelques heures de son intervention télévisée, Jean-Marie Le Pen a précisé : « je n'en attends rien ». Et l'ancien candidat de 2002 de critiquer : « Le président de la République utilise, use et abuse des moyens qui lui sont donnés, il est un président candidat, demi-candidat presque candidat, il joue sur les deux tableaux, il monopolise les écrans, il a l'habitude, il fait ça tous les jours ». Pour le père de Marine Le Pen, Nicolas Sarkozy « croit qu'en paraissant à la télévision il va gagner quelques points dans les sondages. C'est ça qui l'intéresse le plus ».


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  • Clash Lepen sur FranceInter


     
     
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  • du 23 au 27 janvier 2012 : Mr Arfeuille, fidèle au poste, à vu que les taux que doit payer le Portugal le mènent vers la mort à court terme... Ainsi: "Vendredi 20 janvier 2012, taux des obligations à 2 ans 15,271%, sur 5 ans 18,350% et sur 10 ans 14,617%, ici le ticker de Bloomberg". Comme la Grèce il y a 2 ans... Le Portugal et l'Italie ne pourront pas tenir leurs engagements avec de tels taux, c'est évident... Revue de Presse par Pierre Jovanovic © www.jovanovic.com 2008-2012


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  • Bernard Werber est un écrivain "français" (né le 18 septembre 1961 à Toulouse), connu notamment pour sa trilogie des Fourmis .

    Ce qui me chagrine énormément chez monsieur Werber, c’est sa théorie suprématiste concernant le peuple juif (qu’il assimile au peuple dauphin dans son livre "le mystère des Dieux") : Selon lui, il existerait un peuple qui serait plus éduqué, plus avancé, plus intelligent que tous les autres. Ce peuple là serait le seul peuple vraiment opposé aux totalitarismes. Tout d’abord, j’aimerais faire remarquer que les Juifs ont eux aussi beaucoup persécuté les peuples voisins (lire l’Ancien Testament), ce qui ne leur donne pas un rôle d’éternel persécutés. Il y a d’autres peuples qui furent persécutés : Les Chrétiens, les Mandchous, les Tibétains, les Palestiniens, les Amérindiens… Les Juifs, quant à eux, n’ont été persécutés pratiquement qu’en Europe (même si ce phénomène tend malheureusement à s’étendre aux pays musulmans.) Donc, contrairement à ce qu’essaye de nous faire croire Werber, les Juifs n’ont pas l’apanage de la persécution, ils ne sont pas le « peuple-truite » qu’il décrit. Mais, plus encore, le « peuple juif » (à supposer que l’on puisse parler de « peuple juif, » j’ai coutume de penser que le seul point commun entre tous les juifs de la Terre c’est… l’antisémitisme !) décrit ainsi serait donc présenté comme une sorte de « peuple élu », de peuple qui nous serait supérieur. Cela remplit peut-être de phantasmes ce « peuple élu, » moi je trouve cela dangereux. Hitler et ses Aryens nous ont montré où pouvait aboutir le suprématisme.

    En fin de compte, le dernier livre de Bernard Werber, qui est, finalement, l’aboutissement de tout le reste de son œuvre, n’est qu’un mélange de pseudo-spiritualité néo-orientale galvaudée par l’imaginaire d’un écrivain mégalomane (qui aura tout de même mis en scène le procès de l’Humanité !), d’une apologie d’une sexualité débridée (dont tout argument détracteur serait immédiatement classifié « réactionnaire » donc « méchant » par monsieur Werber) et d’une falsification de réalités historiques navrantes dans l’unique but de servir son idéologie, une idéologie libertaire. Monsieur Werber est ce que Alain Soral nomme un  « li-li bo-bo » : Libéral-libertaire, bourgeois bohème. Mais il n’est en aucun cas un « libre-penseur » et, encore moins, un « rebelle »… Désolé mais Sade, Stirner, Proudhon, Zola, Baudelaire… Sont déjà passés par là, l’originalité n’est pas présente chez monsieur Werber, ni même l’imagination, d’ailleurs. Dommage : C’était bien parti !


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  • L'armée américaine estime que ses bombes antibunker les plus puissantes comme la bombe GBU-57 MOP (Massive Ordnance Penetrator) ne sont pas en mesure de détruire les sites souterrains les plus fortifiés en Iran, soupçonnés d'abriter des activités visant à produire l'arme atomique, rapporte samedi le 'Wall Street Journal'.

    GBU-57 MOP.jpg

    Citant des responsables américains sous le couvert de l'anonymat, le quotidien des affaires affirme cependant que l'armée intensifie ses efforts afin d'en fabriquer des plus dévastatrices. 

    Les bombes antibunker dont dispose l'armée américaine ont été fabriquées tout spécialement pour détruire certains sites iraniens et nord-coréens, souligne le WSJ


    Mais celles-ci ne seraient pas, en l'état actuel, capables de détruire certains des sites dont dispose l'Iran, soit parce qu'ils sont trop enfouis sous terre, soit parce que de nouvelles fortifications ont été ajoutées, note le quotidien.

    Ainsi, le Pentagone a demandé mois-ci au Congrès des fonds supplémentaires afin d'améliorer la capacité de ces bombes de pénétrer dans de la roche, du béton ou de l'acier avant d'exploser, assure le journal.

    Le ministère de la Défense a dépensé jusqu'ici quelques 330 millions de dollars pour se doter de ces bombes antibunker, et cherche quelques 82 millions de dollars supplémentaires pour les rendre plus efficaces, selon le WSJ.


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  • La Grèce refuse que sa souveraineté en matière de politique budgétaire tombe sous le contrôle européen, comme le souhaitent certains pays de la zone euro, dont l'Allemagne.

     
    Lucas Papademos devant le Parlement grec, le 14 novembre 2011. Lucas Papademos devant le Parlement grec, le 14 novembre 2011. © LCI

    L'UE ne prendra pas le contrôle de la gestion grecque. En réaction à une proposition, notamment allemande, présentée à la zone euro, des sources gouvernementales grecques, ont indiqué que la Grèce exclut de céder sa souveraineté à l'UE en matière de politique budgétaire. "Il y a effectivement un non-paper (note informelle) qui a été présenté à l'Eurogroupe" pour la mise sous contrôle européen permanent du budget de la Grèce, "mais la Grèce ne discute pas d'une telle éventualité, il est exclu que nous l'acceptions, ces compétences appartiennent à la souveraineté nationale", a indiqué une de ces sources. Une source européenne à Francfort venait de confirmer l'existence d'une proposition de ce genre émanant de certains pays de la zone euro, dont l'Allemagne.

    http://lci.tf1.fr/monde/europe/la-grece-exclut-de-ceder-sa-souverainete-a-l-ue-6957873.html


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