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  • De Verdun aux… « identitaires »

    boulevard-voltaire-cheyrouze

     

     

    Journaliste.

    Comme chaque année, dans chaque ville et village de France, on va commémorer la fin du grand massacre de 14-18. Aux pieds des monuments aux morts, il y aura des enfants portant une gerbe, des anciens au garde à vous, des élus et une fanfare pour jouer la Marseillaise. Certains reliront les noms gravés sur la pierre, ces patronymes qui respirent la France à plein poumons, ces Deschamps, ces Martin en veux-tu en voilà, ces moissons de Français de souche qui tombèrent au champ d’horreur.

    Ce sera peut-être un moment de méditation. On songera qu’il y a près d’un siècle, à Verdun, la jeunesse française la plus belle, la plus vigoureuse, fut « saignée à blanc » pour défendre la Patrie. Inconsciemment, on sait que ce fut, malgré la victoire, le coup de grâce. En effet, longtemps avant 14, notre pays avait sombré dans un hiver démographique sans fin. Zola lui même s’en fit l’écho dans Fécondité.

    Sous Napoléon III et sous la République, les gouvernements successifs firent appel à une immigration de travail, essentiellement belge et italienne. On s’en alarmait dans la presse, dans le peuple. Pourtant, l’humus national n’était pas menacé. C’est la Grande Guerre qui changea la donne.

    Les années trente furent celles des « classes creuses », où de joyeuses demeures étaient devenues des maisons abandonnées, presque fantômes. Celles-ci seront maléfiquement peintes par Germaine Beaumont. Une France mort-vivante recommença à puiser dans le vivier migratoire mais une nouvelle catastrophe arrivait déjà, et nos troupes affrontèrent la furia allemande lors du printemps 40. Simple baroud d’honneur car, biologiquement, la France ne pouvait se payer le luxe d’une nouvelle hémorragie : faisant le dos rond durant quatre années, notre pays sera miraculeusement écarté des grandes hécatombes. Dès la Libération, continuant la politique vichyste, le Général de Gaulle lança un appel à la vie. Le baby boom, sursaut passager, donna à croire que la renaissance était en marche. En vain.

    Au crépuscule des « sixties », le corps de la Nation capitula soudain et le taux d’enfant par femme rechuta brutalement. La France se rétracta, jeta à bas son manteau impérial. Puis, de sinistres médecins s’employèrent à opérer la malade. On décida presque simultanément d’enclencher le « grand remplacement » : à la loi qui légalisait l’avortement (1975) succédait étrangement celle du regroupement familial des immigrés (1976). Le changement de population pouvait commencer.

    En 1979, quatre démographes publièrent une étude intitulée « La France ridée ». Le livre, véritable bombe, dénonçait le suicide d’une nation.

    33 ans après, une poignée de jeunes patriotes, héritiers des poilus, rêvent d’allumer la flamme de la résurrection. Nous sommes sur le toit d’une mosquée à Poitiers, au cœur d’un pays submergé par l’immigration de peuplement. La France de Verdun est si loin…

    Joris Karl, le 11 novembre 2012

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  • Le fils à papa Nicolas Bedos fait dans son froc : "J'ai pour Dieudonné et sa clique un mépris profond".

     
     
    En revanche, le talentueux Alexandre Astier (l'Arthur de Kaamelott) déclare : 
     
     

     Alexandre Astier se fiche des opinions politiques de Dieudonné. Pour le comédien français, l'humoriste fait partie des meilleurs. "Dieudonné, c'est l'un des meilleurs acteurs français", confie le héros de Kaamelott au journal VSD. "Il peut tout jouer et il écrit magnifiquement bien. C'est ce qu'on demande à un artiste".


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  • Un candidat républicain au congrès américain a déclaré haut et fort que « l’Holocauste n’a jamais eu lieu » et que c’est le plus sombre mensonge de l’Histoire.

    Arthur Jones, en concurrence dans l’Illinois avec le démocrate Dan Lipinski (juif) pour le Congrès dans le 3ème district, a fait remarquer que la revendication d’un assassinat de millions de Juifs et autres personnes par les nazis pendant la Seconde Guerre mondiale « n’est rien de plus qu’un racket international organisé par les juifs », a rapporté le Huffington Post.

    « C’est le plus sombre mensonge de l’Histoire, des millions de dollars sont extorqués par les Juifs qui racontent ce mythe de malheur et de lamentations dans leurs livres, leurs films, pièces de théâtre et à la télévision » a-t-il ajouté.

    « Le plus il y a de survivants, le plus ils racontent de mensonges », a précisé le candidat de 64 ans.

    Jones a déclaré qu’il espérait remporter l’investiture républicaine primaire et continuer à affronter le démocrate Dan Lipinski en novembre prochain.

    Il s’est également interrogé sur les rapports étranges de Lipinski avec le puissant lobby juif pro-israélien sévissant aux États-Unis, l’AIPAC (American Israel Public Affairs Committee).

    Jones a souligné que le lobby pro-israélien « se vantait sur son site Web » de la façon dont Lipinski était « le fer de lance des efforts à la Chambre [des États-Unis] des représentants, conjointement avec un membre du congrès juif de la Virginie du nom de Frank Wolf, pour durcir le ton envers l’Iran, incluant la fermeture de toutes les exportations de pétrole vers la Chine qui pourraient conduire à la Troisième Guerre mondiale ».

    Jones, un vétéran de la guerre du Vietnam, a également comparé les conditions actuelles aux États-Unis à la situation en Allemagne après la fin de la Première Guerre mondiale et a insisté en affirmant « notre pays est en train de s’effondrer économiquement, politiquement, culturellement, militairement ».

    « Nous sombrons », a-t-il constaté avec colère.

    « Ces va-t-en-guerre fous du Congrès comme [les candidats républicains] Rick Santorum et Newt Gingrich, et Mitt Romney – nous ne pouvons pas laisser l’Iran avoir une arme nucléaire, mais nous avons permis à Israël d’avoir toutes les armes nucléaires qu’ils veulent », a déclaré Jones. « C’est ridicule. »

    Le président iranien Mahmoud Ahmadinejad a appelé à plusieurs reprises pour un examen historique de « l’Holocauste » dans un effort pour découvrir les réalités de cette partie de la Seconde Guerre mondiale la plus médiatisée au monde. Ses remarques, cependant, ont provoqué l’indignation parmi les puissances occidentales pro-israéliennes, l’étiquetant aussitôt comme un « contestataire de l’holocauste [1] ».

    Sources : Presstv.ir / Eutimes.net


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    Consultant international.
    Victime d’une erreur judiciaire retentissante, il a fondé l’association Action Justice

    Lorsque tu reluques les honoraires libres des affairistes du Barreau, tu te morfles un coup de grisou. Tu piges vite fait comment ils ont pu douiller leur cabinet en bord de Seine, avec des chiottes plus grands que ta salle à manger ! Les biftons, ils les empilent par centaines de milliers avec un bonus à ouf, manière de molletonner leur dessous de robe noire, surmontée d’une espèce de fourragère en fausse hermine mais en vraie peau de lapin. C’est simple, tu leur dis simplement bonjour et t’es déjà enchroumé d’un sac, avec un petit noir à la caféine gratos, j’en conviens. Déjà ton larfeuille sanglote, défenestré.

    Les maîtres en question se cramponnent à tous les poils comme des morbacs en rut, genre secte gloutonne, sélectionnée à la particule atavique. Donc, ces fils de leurs pères vont au prétoire comme tu vas à ta banque. A la différence près que toi, souvent, tu balises avec ton compte à bascule. Ampoulés, ils s’avancent à pas mouchetés, rythmant la déferlante de leurs bobards châtiés pour défendre les intérêts des Rois payeurs, un monde de chanstiqueurs de la finance, de pollueurs de sable fin, d’escrocs assassins… Il n’y a que des gros profits et comme au poker, ils pratiquent la taille. Quant aux victimes venues en groupe, avec leurs plaies à vif et en fauteuils roulants, elles seront priées d’aller se faire miser, et plus si affinité, parce que le baveux ne va pas hésiter à les embourber dans une marée merdâtre !

    Tu assistes à une seule de ces pantalonnades et tu vas au refil. T’as pas envie de respecter le maître mais de lui en mettre plein sa tronche de pudding embaumé ! Bise à l’envers quoi. Quand tu vois que des avocats de cet acabit et des magistrats, dits de renoms, confis à l’intégrité ci-devant, qui vont jouer au club privé des justiciers pour refiler ci-derrière, contre 300 000 euros à la pièce bien montée, quelques 45 millions au surnommé Nanard, rien qu’en dommage moral pour ce chérubin, tu te dis que le quadrille est superbe, cadencé au solfège de la sempiternelle valse des deniers du contribuable.

    Et puis il y a, juste à côté, ces toisés par leurs « paires » qui n’en ont pas, s’excusant presque de côtoyer ces sapins de Noël aux breloques pendouillantes, du ruban rouge aux guerres à venir. Pourtant, ces besogneux des Codes sont des acharnés de la défense, ils vont éclater leurs plaidoiries, à se faire niquer par le proc qui veille à la bienséance feutrée. Ces Comtes à découverts, maîtres de la bourse plate, s’éreintent dans la désignation d’office et les quatre tunes d’assistance judiciaire. Leurs cabinets sont bordéliques, empestent la poussière de l’année dernière parce qu’ils sont toujours en rade de femme de ménage et ils ne sont pas plus grands que ton chiotte, avec vue imprenable sur une décharge publique. Ils ne font pas dans la connivence, ils le payent chaud, mais ils sont des Hommes debout qui défendent tes droits, et non celui de te taire. Honneur en plus. « Ils sont pas des milliers et pourtant ils existent. »

    Roland Agret, le 9 novembre 2012

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  • http://www.bvoltaire.fr/pierrehillard/de-la-dictature-en-amerique,3307

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    La victoire de Barack Obama comble de joie les partisans d’un monde où la diversité et les droits de l’homme sont défendus.

    Pourtant, passés les flonflons et les grandes sorties dithyrambiques humanistes, le réel revient au galop. En effet, en observant l’évolution des structures politiques américaines, on remarque une mutation de « l’État profond » selon l’expression de Peter Dale Scott. Il n’est pas exagéré de parler d’une mise en forme de structures dictatoriales prêtes à fondre sur la population des États-Unis. Des signes avant-coureurs avaient été dénoncés par le Président Eisenhower, lors de son discours du 17 janvier 1961, évoquant « le complexe militaro-industriel » gangrénant l’Amérique.

    Les événements du 11 septembre 2001 ont amplifié la menace dictatoriale.

    Le lancement du « Patriot Act » dès octobre 2001, au nom de la lutte contre le terrorisme, a permis une surveillance généralisée de la population américaine avec violation de leur vie privée. Ce texte, renouvelé depuis par chaque administration, a été prolongé par le Président Obama jusqu’en 2015. Cette violation constante des droits des citoyens au nom de la sécurité interne du pays s’accompagne d’une série de textes annihilant l’équilibre des rapports entre l’État américain et les États fédérés. Sous l’impulsion de la Federalist Society (association de juristes), le principe de « l’exécutif unitaire », instaurant un exécutif omnipuissant, est singulièrement renforcé par la présence de ses partisans à la Cour suprême des États-Unis avec son président John Roberts et son bras droit Samuel Alito.

    Cette évolution s’accompagne, depuis 2001, de toute une série de textes adoptés mais suspendus (pour le moment) donnant les pleins pouvoirs au président des États-Unis dans une situation d’urgence (économique, climatique, terroriste, violences urbaines, etc.) : le paragraphe 1076 du NDAA 07 (octobre 2006), les NSPD 51 et HSPD 20 (mai 2007).

    Capable d’instaurer la loi martiale suite à un événement grave, le président des États-Unis aura tous les pouvoirs face aux citoyens et aux États fédérés dépouillés de leurs droits politiques. Qui plus est, le président Obama a signé, le 31 décembre 2011, le NDAA HR 1540 permettant, sous prétexte d’une menace, l’arrestation de tout citoyen américain et sa détention illimitée « sans procès » (without trial) selon le bon vouloir des autorités du pays (voir Sec. 1021 et 1022). C’est tout simplement la mise à mort du Bill of Rights.

    Toutes ces mesures ressemblent furieusement à cet ouvrage d’anticipation Philip Dru, administrator, paru en 1912, du très élitiste Colonel House et conseiller du président Wilson, racontant un coup d’État aux États-Unis avec abolition de la Constitution américaine, la mise sous tutelle du pays sous la férule d’un seul homme, la création d’un bloc Nord-américain unifié (chapitre 52) et l’instauration d’un socialisme de marché. Un siècle plus tard, les États-Unis n’en sont plus très loin.

    Pierre Hillard, le 10 novembre 2012

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  • Aux cris de "banquiers assassins", des centaines de personnes ont manifesté vendredi à Madrid après le suicide au Pays Basque d'une femme qui devait être expulsée, le deuxième en 15 jours en Espagne, tandis que le gouvernement a annoncé envisager un moratoire sur les expulsions.

    Symptôme de la crise dans laquelle se débat l'Espagne, en deux semaines, deux personnes en instance d'expulsion de leur domicile se sont suicidées. La dernière en date était une ancienne élue socialiste : une femme de 53 ans du nom d'Amaya Egaña. Avant cela, le 25 octobre, dans le sud de l'Espagne, un homme, José Luis Domingo, avait été retrouvé pendu au moment où il devait être expulsé de son logement. Vendredi, pour dénoncer la crise qui place des centaines de milliers d'Espagnols dans une situation d'extrême fragilité, au point que beaucoup en viennent à redouter perdre leur logement, des centaines de personnes se sont rassemblées à Madrid, aux cris de "banquiers assassins", pendant que des manifestations étaient aussi organisées à Barakaldo, la ville du Pays Basque où Amaya Egaña avait été retrouvée morte.

    Ce n'est pas le premier décès lié à une expulsion. Le 25 octobre, José Miguel Domingo, 53 ans, avait été retrouvé mort dans la cour de son immeuble à Grenade (sud), peu après l'arrivée des huissiers venus l'expulser.

    Le lendemain, un autre homme de 53 ans, chômeur depuis quatre ans, avait sauté de la fenêtre de son appartement dans la ville de Burjassot (est), alors qu'il était menacé d'expulsion. Il a survécu à la chute.


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  • Ancien médecin-chef à l’hôpital de Roubaix. En 1944, à 21 ans il est médecin. En 1967 sestravaux en biologie et cancérologie l’amènent à poser des postulats nouveaux, il révolutionne alors lesprincipes fondamentaux de la biologie. Père de la théorie des cellules souches. En 2011, cinquante ans plus tard, la plupart de ses théories sont reconnues au niveau mondial, sans jamais que son nom ne soit cité. Aujourd’hui, ses travaux permettraient desoigner différentes pathologies

    23 décembre 1971 : Les américains lançaient le plan anti-cancer. Le conseiller du Président Nixon, John Rooney, annonçait à toute la presse qu’en 1976, date du bicentenaire de l’indépendance, la victoire sur le cancer serait totale. Fanfaronnade électorale ?Peut-être, cependant, cette déclaration s’appuyait sur les découvertes du Docteur André Gernez. En 1971 une étude de l’INSERM confirmait sa théorie deprévention Active du cancer et démontrait que le cancer pouvait être évité dans 93% des cas.

    Que s’est-il donc passé depuis ? Pourquoi ces avancées sont-elles restées lettres mortes ? Dans ces DVD, il aborde des sujets aussi divers que : le cancer, l’Athéromatose, lasclérose en plaques, la schizophrénie, la myopathie de Duchenne, l’Asthme et l’allergie, le Psoriasis, le Parkinson, l’Alzheimer, l’Ultra lumière, la transfusion sanguine universelle, le sida, l’hormone de croissance, le dépistage du cancer du sein et de la prostate, lasurmortalité masculine, la biologie du phénomène religieux et la greffe d’organe.

    Le 17 juin 1979 il reçut la médaille Hans Adalbert Schweigart pour sa découverte sur« la théorie unifiée du cancer » . Le jury était composé de 40 prix Nobel. La Société d’Encouragement au Progrès lui décerne la médaille d’Or le 17 Novembre 2007 pour l’ensemble de ses travaux, au Sénat, Palais du Luxembourg à Paris. Il reçoit en Octobre 2012 la grande médaille d’or.

    Le site de l’association : http://www.gernez.asso.fr/#

    Commander le DVD : http://www.filmsdocumentaires.com/f...


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  • Un éclairage sur les réseaux maçonniques "qui interviennent à l'intérieur des tribunaux"... et au sein de la police, des centres des impôts, du notariat, en politique, etc

    Eh oui, certains francs-maçons seraient tout sauf francs : élaboration de faux, disparition de preuves, jugements "arrangés", instructions bloquées...

    Un maillage dans lequel un frère sera toujours là pour arranger les affaires d'un autre frère...


    Une justice parallèle - 1ère version por non-merci

     


    Une justice parallèle - 2e version por non-merci


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