• Finkytraining (niveau medium)

    La France d'en bas soutient Polanski

     

     

    Bien que faisant partie la "France d'en bas", je ne possède ni le n° de téléphone ni le courriel de Polanski....


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  • Killing fields

     

    "Nous avions ici de l’eau, des ruisseaux, des cultures et de grands arbres. Maintenant tout est détruit. Je pense que, nous, le peuple des Kaiowa, nous allons mourir, que notre race va s’éteindre ici."

    Detulio de Oliveira, chef du peuple Kaiowa Guarani, Brésil

     

    "Les fermes industrielles en Europe sont intimement liées aux forêts d’Amérique du Sud par un lien secret, une chaîne de destructions qui va des immenses plantations de soja à nos élevages européens de cochons et de poulets, anéantissant la vie sauvage et aggravant la crise climatique.

    Des milliers de personnes sont expulsées de leurs terres pour laisser place aux plantations de soja. Les peuples indigènes sont chassés et leurs forêts rasées.

    Ce film dérangeant dévoile les conséquences de la culture du soja en Amérique du Sud. La petite agriculture qui protège l’environnement et bénéficie à la population doit céder la place à l’agrobusiness des pesticides qui empoisonnent les communautés rurales, l’eau et la nature".

    Le film est téléchargeable ici


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  • L’affaire Polanski n’en finit pas de défrayer la chronique.
    Accusé il y a plus de trente ans aux Etats Unis d’avoir drogué et violé la jeune Samantha Geitner alors agée de treize ans, le cinéaste est, depuis son arrestation en Suisse, rattrappé par son passé.

    Sur cette affaire, dans les différents médias et les commentaires sur les sites web, on a tout entendu.
     
    C’est seulement en prenant l’information à la source, sur les sites Américains qui retranscrivent les manchettes et articles des journaux de l’époque, que nous pouvons avoir une idée plus précise des faits :
     
    -Non, la jeune fille en question n’était apparemment pas consentante : elle avait été confiée par ses parents au cinéaste, à sa demande, pour "une audition", qui devait avoir lieu dans la maison prêtée par l’acteur Jack Nicholson.
    Une amie de Roman Polanski était présente à l’arrivée de la jeune Samantha avec ses parents, cette amie s’est éclipsée après le départ des parents, laissant seuls le cinéaste et la jeune fille.
     
    -Le cinéaste, agé de cinquante ans à l’époque, aurait forcé la jeune fille de treize ans à boire du champagne accompagné d’un puissant tranquillisant.
     
    -Il l’aurait, selon l’accusation, ensuite déshabillée sommairement et sodomisée.
    Ce qui lui a valu à l’époque des "circonstances aggravantes", la sodomie étant aux USA considérée, à l’époque comme un comportement déviant.
     
    -Compte tenu de la notoriété et des pressions exercées sur lui, le juge de l’époque avait accepté de relâcher le cinéaste après 42 jours de détention, afin que celui-ci puisse tourner un film en Autriche.
    Après quelques jours de tournage en Autriche, le juge Américain de l’époque avait reçu par la poste des photos montrant le cinéaste en pleine partie fine avec des mineures Autrichiennes, lesdites photographies accompagnées d’une plainte des parents d’une jeune fille impliquée.
     
    Cette plainte fut jugée non recevable, car hors juridiction du juge, mais éclairait pour le juge d’un éclairage nouveau l’affaire Geitner : Roman Polanski n’avait pas été victime d’un moment d’égarement mais semblait plutôt coutumier de relations sexuelles avec des adolescentes.
     
    Le juge Américain décidait donc de sa réincarcération.
     
    Roman Polanski s’enfuyait en France.
     
    On peut aujourd’hui se poser la question : pourquoi le cinéaste vient-il de demander, par l’intermédiaire de ses avocats, à être jugé par contumace, c’est à dire sans être présent aux USA, alors qu’il y a quinze jours le juge actuel a évoqué la possibilité d’une condamnation sans nouvelle incarcération ?
     
    Là, la réponse ne semble pas évidente...

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  • Géopolitique du Yémen

       



    Le Yémen couvre l'un des itinéraires pétrolier les plus stratégiques, Bab el-Mandeb


          Début 2009, les pièces d’échec ont commencé à bouger sur l’échiquier du Yémen. Tariq al-Fadhli, un ancien leader du djihad originaire du Sud Yémen, a brisé une alliance de 15 ans avec le gouvernement du Président yéménite, Ali Abdullah Saleh, et a annoncé qu'il se joignait à la large coalition de l'opposition, connue sous le nom de Mouvement du Sud. Al-Fadhli avait été membre du mouvement Moudjahidin en Afghanistan à la fin des années 80. Sa séparation du gouvernement a été signalée dans les médias arabes et yéménites en avril 2009. La rupture d’Al-Fadhli avec la dictature du Yémen a donné une nouvelle énergie au Mouvement du Sud. Il est devenu une figure de proue de l'alliance.


          Le Yémen lui-même est un agglomérat artificiel, créé après la débâcle de l'Union soviétique en 1990, quand, au sud, la République démocratique populaire du Yémen (RDPY) a perdu son principal sponsor étranger. L’unification de l’État du Nord, la République arabe du Yémen, et de l’État du Sud, la RDPY, a donné lieu à un optimisme éphémère qui s'est terminé par une brève guerre civile en 1994, car des factions de l'armée du sud ont organisé une révolte contre le Président Ali Abdullah Saleh de l'Etat du Nord, qu'ils considéraient comme un dirigeant corrompu par le copinage. Le Président Saleh tenait un gouvernement personnel depuis 1978, d'abord comme Président du Nord Yémen (République arabe du Yémen), et depuis 1990 en tant que Président du nouveau Yémen unifié. La révolte armée du sud avait échoué car Saleh avait engagé Al-Fadhli et d’autres Yéménites salafistes, adeptes d'une interprétation conservatrice de l'Islam, et des djihadistes pour combattre les forces autrefois marxistes du Parti socialiste du Sud Yémen.


          Avant 1990, pour tenter de contrôler le Sud communiste (2), Washington et le Royaume Saoudien appuyaient et soutenaient Saleh et sa politique d'islamisation. Depuis lors, Saleh s'est appuyée sur un fort mouvement de djihad salafiste pour conserver son régime égocentrique dictatorial. La rupture d’Al-Fadhli avec Saleh et son ralliement au groupe d'opposition du sud, à ses anciens ennemis socialistes, a marqué une déconvenue majeure pour Saleh.


          Peu de temps après qu’Al-Fadhli ait rejoint la coalition du Mouvement du Sud, le 28 avril 2009, les manifestations se sont intensifiées dans les provinces du Sud Yémen, Lahj, Dalea et Hadramout. Il y a eu des manifestations de dizaines de milliers de militaires et d’employés civils qui réclamaient de meilleurs salaires et avantages sociaux, des manifestations qui se sont déroulées en nombre croissant depuis 2006. Les manifestations d'avril ont donné lieu pour la première fois à l’apparition publique d’Al-Fadhli. Sa venue a permis de transformer l’interminable mouvement du sud socialiste moribond en une plus vaste campagne nationaliste. Elle a aussi galvanisé le Président Saleh, qui a alors appelé à l'aide l'Arabie Saoudite et les autres États du Conseil de coopération du Golfe, en avertissant que la totalité de la Péninsule Arabique subiraient des conséquences.


          Pour compliquer la situation dans ce que certains appellent un État en déliquescence, Saleh a affronté dans le nord une rébellion chiite al-Houthi Zaydi [une ramification chiite, ndt]. Le 11 septembre 2009, dans une interview sur Al-Jazeera TV, Saleh a accusé Moqtada al-Sadr, le leader de l'opposition chiite en Iraq, et aussi l'Iran, de soutenir les rebelles chiites houthistes au Nord Yémen. Au Yémen, Saleh a déclaré : " Nous ne pouvons pas accuser le camp officiel iranien, mais des Iraniens nous contactent en disant qu'ils sont prêts à une médiation. Étant donné qu'ils veulent servir de médiateurs entre le gouvernement yéménite et eux [les Houthistes], cela veut dire que des Iraniens ont des contacts avec eux. Par ailleurs, à Nadjaf en Iraq, Muqtada al-Sadr demande d'être accepté comme médiateur. Cela signifie qu'ils ont un lien. " (3)


          Les autorités yéménites affirment avoir saisi des caches d'armes fabriquées en Iran, alors que les Houthistes affirment s’être emparés d’équipements yéménites, avec des marques saoudiennes, et accusent Sanaa (capitale du Yémen et site de l'ambassade des États-Unis) de se comporter en mandataire saoudien. L'Iran a rejeté les affirmations de découvertes d’armes iraniennes au Nord Yémen et qualifie de sans fondement les dires de soutien aux rebelles. (4)


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  • NOUVELLE EPREUVE AUX J.O. LE BOND DU TRESOR


    du 06 au 09 janvier 2010 : Cette nouvelle discpline a été inscrite afin d'entraîner le grand public au Grand Crash. Aussi je vous donne ici le principe, très bref, pour que vous compreniez comment ça fonctionne. Contrairement à l'Escrime où la langue des arbitres est le français, dans les bonds du Trésor, c'est l'anglais.

    Bond No1: c'est le "Treasury Bill". Ce sont des petits bonds très courts, pour parquer les milliards que tous vos millions de petits clients idiots laissent traîner sur leurs comptes. Vous avez le choix entre 3 et 365 jours. Vous récuperez votre mise avec les intérêts au bout du nombre de jours choisi.

    Bond No2: c'est le "Treasury Note". Là c'est un bond dans le temps de 2, 3, 5, 7 ou 10 ans. Avantage: les intérêts vous sont payés tous les 6 mois. Vous récupérez votre mise au bout du nombre d'années choisies.

    Bond No3: c'est le triple saut, le "Treasury Bond", le vrai, celui qui consiste à tout enterrer, et à revenir 30 ans plus tard. Mais les intérêts vous sont payés tous les 6 mois. Pépère.

    Le problème est que les US, en ce moment, payent et remboursent des centaines de milliards de dollars de tous ceux qui ont placé leur argent dans leurs bonds entre hier et il y a 30 ans. Et cette masse augmente sans cesse, surtout depuis deux ans, et ils sont payés/remboursés avec des dollars Mickey Mouse, comme tout le monde le sait. Mathématiquement, le système financier est mort avec ses 55.000 milliards de "prêts toxiques", mais en faisant la planche (à billets), ils gardent la tête hors de l'eau. Mais pour combien de temps ??? Donc, soyez hyper prudents. Revue de Presse par Pierre Jovanovic


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  • Des bracelets à électrochocs pour votre confort

     


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  • LES REMBOURSEMENTS ISLANDAIS SONT GELES


    du 06 au 09 janvier 2010 : Olafur Ragnar Grimsson : enfin un Président de la République qui respecte son peuple et qui parle en son nom. Ce n'est pas comme Sarkozy qui s'est dépêché de faire passer le traité de Lisbonne alors que les Français avaient dit NON. Donc rien que pour ça, chapeau aux Islandais qui ont continué leur combat et voici, il a bloqué le remboursement de 3,6 milliards de livres à l'Angleterre et à la Hollande, et cela au nom de peuple. C'est pas une formule en l'air mais une véritable révolte contre le système bancaire anglo-saxon qui a même trouvé le moyen d'endetter l'île jusqu'au cou. "It is the cornerstone of the constitutional structure of the Republic of Iceland that the people are the supreme judge of the validity of the law" a-t-il dit. Un référendum va être lancé et là, à tous les coups, ce sera 98% de "non au remboursement" aux banquiers de Londres !!! Et ce sera une note de plus à passer en "prêt toxique". Seul problème le FMI refuse de leur prêter 3 milliards de livres s'ils ne remboursent pas les Anglais et Hollandais. Lire toute la presse internationale. Mais les Anglais leur ont fait savoir que s'ils ne payaient pas, ils les empêcheront d'entrer dans l'Europe, lire ici le Daily. Vont-ils faire comme la France en 1919, envahir la Ruhr et se servir dans les unités de production parce que les Allemands ne nous payaient pas leurs dommages de guerre ? Il y 320.000 habitants en Islande, ça doit être facile de les envahir. Et puis c'est plus proche que le Yemen. Revue de Presse par Pierre Jovanovic


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  • Toni Musulin bientôt libre ?

    Mieux vaut piquer 2 millions d'euros que d'arrêter de payer la pension alimentaire......

    Les avocats de Toni Musulin ont déposé mardi une demande de mise en liberté pour leur client. Le convoyeur de fonds est accusé d’avoir volé 11,6 millions d’euros début novembre à Lyon.

    Suspecté d’avoir commis le "braquage du siècle", Toni Musulin pourrait être prochainement remis en liberté.

    "La demande a été déposée auprès du juge d’instruction Dominique Brault qui va la transmettre au juge des libertés et la réponse est attendue la semaine prochaine", a indiqué Me Hervé Banbanaste à l’AFP.

    En cas de refus, la défense dispose de dix jours pour faire appel. Une nouvelle demande de mise en liberté pourrait être examinée par la chambre de l’instruction de la cour d’appel de Lyon d’ici environ un mois.

    Mis en examen pour "vol et tentative d’escroquerie", Toni Musulin est en détention provisoire depuis le 16 novembre et placé dans le quartier d’isolement à la maison d’arrêt de Lyon-Corbas.

    "Il devrait être dehors, d’un point de vue strictement juridique, il réunit tous les critères pour bénéficier d’une remise en liberté, il n’a pas de casier judiciaire, il a un logement, la prison doit être une mesure exceptionnelle", a indiqué Me Hervé Bambanaste au Progrès. Selon l’avocat, les faits qui lui sont reprochés sont "d’une gravité très moyenne".

    Toni Musulin, 39 ans, est soupçonné d’avoir dérobé 11,6 millions d’euros à Lyon le 5 novembre, après avoir faussé compagnie à ses collègues au volant de son fourgon blindé. Neuf millions d’euros ont été retrouvés par la police judiciaire de Lyon, deux jours après le braquage, mais les 2,5 millions restant sont toujours introuvables.


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  • Une victoire pour les contribuables islandais

     

    Une victoire pour les contribuables islandais qui ne voulaient pas de la loi Icesave : la pétition qu’ils ont remise à leur président demandant de la soumettre à référendum a été acceptée. Olafur Ragnar Grimsson va donc faire passer au texte l‘épreuve d’un vote populaire, de quoi rassurer les Islandais qui craignaient de devoir rembourser aux Pays-Bas et au Royaume Uni 3.8 milliards d’euros, soit 40% de leur PIB.

    La somme avait été prêtée par Londres et Amsterdam à Reykyavik, au plus fort de la crise, pour rembourser leurs concitoyens lésés par la faillite de la banque IceSave.

    Une loi prévoyant de rembourser cet argent aux prêteurs a été votée par le parlement islandais sous la pression du gouvernement mais la population estime que ce n’est pas à elle de payer.

    Alors évidemment, les créanciers de l’Islande ont accueilli très froidement la nouvelle :

    Wouter Bos, ministre néerlandais des Finances :

    “C’est très décevant et inacceptable pour nous. Nous avons été très généreux lors des négociations, nous avons offert à l’Islande un taux d’intérêt bas et un échéancier très long, car nous savons que l‘économie islandaise est mal en point. Mais ils ne peuvent pas demander aux contribuables néerlandais de payer pour les fautes des banquiers et des autorités islandais”.

    Le report de l’adoption de la loi Icesave – et son possible rejet – risque de mettre à mal les relations de l’Islande avec le FMI, qui lui a promis de lui prêter de l’argent pour sortir de la crise… Un argument repris par les Britanniques.

    Le gouvernement islandais avait même engagé sa responsabilité dans le dossier Icesave… Un rejet de la loi pourrait donc bien en plus provoquer l’explosion d’une grave crise politique.

    Copyright © 2010 euronews


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  • Espagne : un inconnu introduit une photo de Mister Bean sur le site de la présidence espagnole de l'UE

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    Paru le 2010-01-05 13:20:00
     

    Espagne - Un individu a piraté le site espagnol de la présidence de l'Union européenne, et y a inséré une photo du personnage de Mister Bean. Après une brève apparition, le cliché a finalement pu être retiré.

    Un pirate, dont l'identité reste inconnue, a trouvé le moyen de s'infiltrer sur le site en exploitant une faille du système de sécurité. Une copie d'écran du site officiel de la présidence de l'Union européenne circule sur le web, sur laquelle Mister Bean adresse un retentissant "Salut" aux internautes stupéfaits qui l'ont découvert lundi soir.

    Cela faisait déjà longtemps que des plaisanteries circulaient en Espagne sur la ressemblance présumée entre Zapatero, futur président de l'UE, et l'acteur britannique Rowan Atkinson. Le Premier ministre espagnol s'est rendu impopulaire dans son payssuite à l'augmentation du taux de chômage, qui est passé à 19%.


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