• L'HOMME EXISTE !!!

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  • Les Juifs qui vendent aux Arabes sont nos ennemis !

     

    Sanctions en perspectives. « Tout Juif qui vendra des terres à un Arabe en Israël ne sera pas autorisé à diriger la prière à la synagogue, n’aura pas le droit de faire une bénédiction lors de la lecture de la Torah, ne comptera pas parmi les 10 hommes nécessaires à la prière publique (minyan), et sera considéré comme un complice des ennemis d’Israël », selon une décision halakhique publiée lundi soir par un groupe de rabbins se faisant appeler « Le nouveau Sanhédrin ».

    Le professeur Hillel Weiss, porte-parole du groupe, tente de rassurer néanmoins : bien que le vendeur en question aide les ennemis du peuple juif, il ou elle n’est pas coupable d’un péché passible de la peine de mort. C’est encore ça !

    Parmi les rabbins responsables de la décision figurent : le grand rabbin de Safed, Shmouel Eliyahou, le rabbin Yaacov Yossef – fils du rav Ovadia Yossef, chef spirituel du parti Shas – et le rav, et ancien député, Menahem Poroush.

    « Ces dernières années, un phénomène nouveau est apparu : les Arabes achètent des maisons et des terres dans les quartiers juifs. De cette façon, ils prennent progressivement possession de nos quartiers », ajoute le « Sanhédrin ».

    Selon le grand rabbin Eliyahou les contrats de vente entre populations juive et arabe auraient notamment progressé en raison d’initiatives financières récentes d’Europe et d’Arabie Saoudite dans ce sens. La Halakha interdit la vente des terres d’Israël, appartenant à des Juifs, à des non-Juifs.

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  • Des citoyens au rabais, les juifs séfarades en Israël

     

    Des citoyens au rabais, les juifs séfarades en Israël

    Invitation à lire : Ella Shohat, Le sionisme du point de vue de ses victimes juives. Les juifs orientaux en Israël, La Fabrique, Paris, 2006, 124 pages, 8 euros.

    Qui sont les victimes du sionisme ? Les Palestiniens évidemment. Mais sont-ils les seules victimes de ce mouvement colonial ? A cette question, Ella Shohat répond clairement par la négative, en affirmant que le sionisme a aussi produit ses victimes juives (1). Universitaire d’origine israélienne, Shohat enseigne depuis de nombreuses années à New York. En Israël, à l’exception de cercles très minoritaires, elle a, depuis toujours, été complètement ostracisée par le monde universitaire et intellectuel.

    Sans constituer une autobiographie, l’essai de Shohat raconte aussi son histoire à elle – femme, juive arabe, et de surcroît antisioniste –, ainsi que celle de ces nombreux Israéliens qui, nés dans la culture arabe, n’ont jamais pu, pour cette raison, être reconnus comme de véritables membres de la communauté nationale israélienne, à plus forte raison de ses élites.

    Le mouvement sioniste est né, au début du XXe siècle en Europe, comme une tentative de réponse à l’antisémitisme. Ses idéologues et ses pionniers ont tous été les enfants de la culture européenne, coloniale et moderniste, y compris de son racisme envers tout ce qui n’était pas européen. Désirant faire émigrer les communautés juives du monde arabe – par besoin d’une main-d’œuvre habituée aux travaux difficiles et pas beaucoup plus chère que la main-d’œuvre arabe indigène, ou pour réaliser le rêve d’un « retour » des communautés juives vers leur patrie historique –, les dirigeants sionistes n’ont jamais su considérer ceux qu’ils nommaient leurs « frères des communautés orientales » comme de véritables égaux.

    Certaines des communautés juives les plus anciennes du monde, tels les Juifs d’Irak ou du Yémen, ont été véritablement manipulées pour venir renforcer le jeune Etat, la direction sioniste n’hésitant pas à utiliser des méthodes terroristes pour faire fuir les Juifs de leurs pays, comme dans le cas de la communauté juive irakienne dont est issue Shohat.

    Si certains dirigeants sionistes n’ont jamais caché leur racisme antiséfarade, la majorité d’entre eux avaient plutôt un regard paternaliste, promettant une place égale aux nouveaux immigrants juifs arabes, après une période de socialisation et d’adaptation à la modernité, ashkénaze comme il s’entend. Victimes d’un déracinement qu’ils ne désiraient pas, les Juifs arabes immigrés en Israël sont, pour l’auteur, des réfugiés. Certes privilégiés par rapport aux réfugiés palestiniens, mais réfugiés quand même, et victimes d’une discrimination structurelle et d’un racisme plus ou moins déclaré.

    Cet essai a été publié, en anglais, dans la revue new-yorkaise Social Text, en 1988, au moment où, en Israël, la seconde génération de ces victimes juives du sionisme commençait à remettre en question l’hégémonie ashkénaze, d’abord dans le champ politique puis dans le champ culturel. Pourtant, ce n’est qu’en 2001 qu’il a été traduit et publié en hébreu… par le Centre d’information alternative – une organisation de la gauche radicale – et la jeune maison d’édition Kedem, spécialisée dans la publication d’auteurs juifs arabes. C’est-à-dire encore dans la périphérie de l’hégémonie culturelle israélienne.

    Pourtant, au moment où ce texte fondateur est enfin publié en Israël, il n’est plus totalement isolé. Des écrivains comme Sami Shalom Chetrit, des chercheurs comme Yehuda Shenhav, des cinéastes comme David Ben Chetrit (2) sont enfin reconnus à leur juste valeur et commencent à trouver leur place. Ils portent tous un regard extrêmement critique sur les fondements racistes de la société israélienne, et, pour la plupart, remettent en question le sionisme aussi pour ce qu’il a commis à l’encontre de ses victimes palestiniennes.

    Michel Warschawski
    Journaliste, animateur du Centre d’information alternative (Israël).


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  • Les USA derrière la rébellion sunnite en Iran

    Un dirigeant du groupe rebelle sunnite Joundallah, en attente d’exécution en Iran, a affirmé hier que son mouvement perpétrait ses attaques en territoire iranien sur ordre des États-Unis. « Les États-Unis ont créé et soutenu Joundallah (soldats de Dieu) et nous recevions nos ordres d’eux », a déclaré Abdolhamid Rigi, le frère du leader du mouvement, Abdolmalek Rigi. Les États-Unis nous disaient « qui frapper et ne pas frapper (…). Ils disaient qu’ils allaient nous fournir tout ce dont nous avions besoin en termes d’argent et de matériel » notamment, a-t-il ajouté.

     


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  • L’Ouzbékistan et les Etats-Unis signent un accord de coopération militaire

    Les ministères ouzbek et américain de la Défense ont signé mercredi un accord de coopération militaire et technique, a annoncé jeudi le porte-parole de l’ambassade des Etats-Unis à Tachkent.

    « Le document a été signé mercredi à Tachkent par le ministre ouzbek de la Défense Kaboul Berdiev et le général David Petraeus, chef du Commandement central des opérations militaires américaines au Moyen-Orient et en Asie centrale (Centcom) », a précisé le porte-parole.

    L’accord prévoit des contacts militaires entre les deux pays, notamment l’organisation d’échanges de militaires et d’entraînements conjoints. Les Etats-Unis et l’Ouzbékistan ont déjà signé plus de 60 accords de coopération. L’Ouzbékistan a participé à l’opération des forces de coalition en Afghanistan lancée après l’attaque terroriste du 11 septembre 2001 contre New York. Les deux pays luttent ensemble contre le terrorisme international, la prolifération des armes de destruction massive, le trafic de drogue et le crime organisé. Leur coopération militaire et technique est réglementée par le Plan des contacts militaires entre les Forces armées ouzbèques et le Centcom américain.


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  • Une délégation de marines US en Géorgie

    Une délégation du corps des Marines américains, conduite par le général James Conway, commandant du corps, est arrivé vendredi à Tbilissi pour discuter de la coopération avec le ministère géorgien de la Défense, rapporte l’agence News-Georgia.

    « Les négociations au ministère de la Défense ont porté sur le bilan et les perspectives de la coopération américano-géorgienne, ainsi que sur la zone de sécurité autour de la Géorgie et les réformes à réaliser », a fait savoir le service de presse ministériel.

    La délégation américaine sera reçue par le président géorgien Mikhaïl Saakachvili et rencontrera d’autres dirigeants du pays.

    Auparavant, un groupe d’une soixantaine de formateurs et d’instructeurs militaires (des Marines et des GI) était arrivé en Géorgie pour participer à l’entraînement des troupes géorgiennes avant leur déploiement en Afghanistan au sein de la Force internationale d’assistance à la sécurité (ISAF) dans ce pays. Lors de ce cours d’entraînement au combat, il n’y aura pas de transfert d’armement, souligne la partie américaine.

    Ce programme ne concerne que l’entraînement des soldats géorgiens appelés à combattre en Afghanistan, et ne prévoit aucune autre assistance militaire américaine, a précisé à cette occasion le Pentagone, dans un visible souci de rassurer Moscou.

    Des instructeurs militaires US sont censés moderniser et former quelques bataillons d’infanterie de l’armée géorgienne. La formation d’un bataillon s’étale sur 100 jours.


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  • Israël fait des expériences sur les prisonniers palestiniens

    Un responsable de l’Autorité palestinienne, cité par The Jerusalem Post, a déclaré qu’Israël ne faisait pas assez pour maintenir les prisonniers palestiniens en bonne santé.

    Lors d’un entretien à l’agence de presse palestinienne Palestinian Ma’an, Issa Karaki, ministre des Affaires des prisonniers, a indiqué la récente découverte de 25 cas de cancer parmi des prisonniers palestiniens.

    « [Cela] est révélateur du peu de soins médicaux qui leur sont prodigués », a-t-il affirmé.

    « Il y a au moins 1 500 prisonniers qui ont besoin d’un traitement médical urgent », a poursuivi Karaki. Selon lui, l’Etat hébreu mène des expériences sur les détenus palestiniens.

    Le ministre de l’AP a également demandé une intervention de la communauté internationale sur cette question et a appelé l’Organisation mondiale de la santé à enquêter sur le déclin de l’état de santé des
    prisonniers palestiniens enfermés dans les geôles israéliennes.


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  • Israël est derrière tous les conflits en Afrique

    Un sommet de l’Union africaine (UA) s’est tenu, lundi passé, à Tripoli à l’initiative du colonel Kadhafi qui fêtait, le lendemain, le 40ème anniversaire de son arrivée au pouvoir. Il s’agissait d’un « sommet spécial » consacré aux conflits en Afrique, notamment ceux du Soudan et de la Somalie.

    « Il y a une main étrangère derrière tous les conflits en Afrique », c’est dans ces termes que le colonel Kadhafi a commencé son réquisitoire contre Israël. L’Etat hébreu a été qualifié de « gang » par le « Guide » libyen. « Un gang qui cherche à déstabiliser le continent africain », a-t-il affirmé.

    Devant une assistance srprise- les diatribes anti-israéliennes sont rares, pour ne pas dire inexistantes, dans les conférences de l’UA -, le colonel Kadhafi a demandé la fermeture de toutes les ambassades israéliennes en Afrique. Evoquant la situation au Darfour, l’homme fort de Tripoli a expliqué qu’Israël soutenait Abdelwahid Mohamed Nour, le chef du Mouvement de libération du Soudan (SLM), « protégé par la France », a-t-il précisé.


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  • Le  mouvement de défense des sous-vêtements des poupées fantaisies avec Mr Paul.


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  • Les infirmiers se méfient des risques d'une vaccination

    Le vaccin contre la grippe H1N1, actuellement développé par Novartis, a montré une forte réponse immunitaire lors d'études cliniques menées par le groupe, a-t-il indiqué jeudi.

    Le Syndicat national des professionnels infirmiers (SNPI) a estimé hier que la vaccination massive de la population contre la grippe H1N1 présentait des risques, en raison de certains composants du vaccin et de tests jugés pas assez nombreux.

    «Injecter 94 millions de doses d'un produit sur lequel nous n'avons aucun recul peut poser un problème de santé publique» , estime Thierry Amouroux, secrétaire général du SNPI. Il «craint une répétition des complications rencontrées aux Etats-Unis en 1976 avec le vaccin contre la grippe porcine», qui aurait augmenté les risques de maladie neurologique. Il souligne aussi la présence dans l'un des vaccins commandés d'un «amplificateur d'effet» qui «n'a jamais été utilisé auparavant dans un vaccin commercialisé à large échelle».

    Il pourrait «déclencher des réactions immunitaires excessives, dangereuses pour des personnes atteintes de certaines pathologies»


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