• Le sionisme démasqué : part 2

    L’élite Illuminati souhaite nous faire croire que tous les maux de la terre pour shématiser sont à porter au crédit des Juifs. Cela a comme objectif de pousser l’antisémitisme partout dans le monde afin de provoquer un maximum de tensions entre les communautés (en particulier les Musulmans).

    Cette élite dominante, qui organise la destruction du monde tel que nous le connaissions, est SIONISTE. Or, un sioniste n’a rien à voir avec la tradition juive. Au contraire ce sont certainement les sionistes qui sont les plus antisémites car issus des Kazars. Les Kazars convertis au judaïsme ne sont pas sémites (contrairement aux… Palestiniens !) et se réfèrent plus au Talmud qu’à <st1:personname productid="la Torah." w:st="on">la Torah.</st1:personname>

    Ce sont donc les Kazars qui poussent le monde à croire, en utilisant la fausse bannière du judaïsme, que les Juifs sont derrière la majorité des conspirations passées ou en cours. Il n’en est rien. Tous les “juifs” qui organisent ces conspirations sont des SIONISTES. Ce sont eux qui sont à l’origine de toutes les guerres et qui ont, entre autre, utilisé le régime hitlérien pour pousser les Juifs à se réfugier en Israël. Le but étant de créér le grand Israël en lien avec des motivations liées à l’occultisme.

    voir aussi :COUR SUPRÊME DE JERUSALEM

                     La fiche RG d'Adolph Jacob HITLER  


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  • Enrico Macias se fait enfler de 20 millions

    (rassure-toi, il n'est pas à la rue)

    Une information judiciaire est ouverte à Paris pour retrouver les fonds placés par le chanteur dans une banque islandaise. L'un des vingt autres plaignants français soupçonne Clearstream de détenir les fonds. Lire la suite l'article

    L'affaire est suffisamment sensible pour être, depuis cet été, signalée au ministère de la Justice. Selon nos informations, une instruction a été ouverte fin juillet au pôle financier de Paris pour abus de confiance et escroquerie aggravée. Les investigations, confiées à la juge Françoise Dessert, portent sur la disparition de plusieurs millions d'euros que des Français avaient placés dans des banques islandaises qui ont fait faillite depuis.

    Le chanteur Enrico Macias est à l'origine de cette première procédure. D'après les premiers éléments de l'enquête, il avait investi 20 millions d'euros dans la banque islandaise Landsbanki sous la forme d'une hypothèque sur sa villa de Saint-Tropez. L'opération devait être profitable, mais elle a tourné au cauchemar avec la faillite de la banque en octobre 2008. Le chanteur, qui n'a pu être joint jeudi, entend aujourd'hui récupérer ses actifs et surtout éviter la menace d'une saisie pure et simple de sa maison de la Côte d'Azur par les liquidateurs des banques défuntes. La justice doit désormais chercher si ses actifs, qui avaient été placés sous forme d'obligations au sein d'une filiale luxembourgeoise de la banque islandaise, ont littéralement fondu ou s'ils ont été placés ailleurs.

    DERNIERE MINUTE : GUY BEDOS PROPOSE DE FAIRE UNE PETITION DE SOUTIENT


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  • Poutine rejette l'option militaire en Iran

    De Nicolas MILETITCH (AFP) – Il y a 14 heures

    NOVO OGAREVO, Russie — Le Premier ministre russe Vladimir Poutine a rejeté toute option militaire vendredi contre l'Iran, un scénario "inacceptable" et "dangereux" selon lui, tout en appelant Téhéran à faire preuve de "retenue" dans son programme nucléaire.

    Passant en revue les grands sujets internationaux, il a aussi montré qu'il gardait un oeil sur la politique étrangère et n'a rien exclu pour son avenir politique, même s'il a cédé son fauteuil présidentiel à Dmitri Medvedev en 2008.

    "Les Iraniens doivent faire preuve de retenue sur leur programme nucléaire", a déclaré M. Poutine en recevant pendant plus de deux heures des experts et journalistes étrangers du groupe dit de Valdaï, à sa résidence de Novo-Ogarevo près de Moscou.

    Au même moment, les grandes puissances du groupe 5+1 (Etats-Unis, Russie, Chine, France, Grande-Bretagne et Allemagne) jugeaient les dernières propositions iraniennes insuffisantes et appelaient à une réunion avec Téhéran dès que possible.

    Parallèlement, l'option militaire, avec de possibles frappes de sites nucléaires iraniens, n'a jamais été écartée, notamment par l'Etat hébreu, qui redoute comme les Occidentaux de voir Téhéran accéder un jour à l'arme nucléaire.

    "Ce serait très dangereux, inacceptable, cela mènerait à une explosion du terrorisme, augmenterait l'influence des extrémistes et je doute beaucoup, quel que soit celui qui procède à ces frappes, qu'elles atteignent le but fixé", a rétorqué M. Poutine.

    "Avec l'Iran, ces méthodes ne permettront pas d'atteindre le but recherché. Il faut continuer le dialogue", a-t-il insisté.

    Les rumeurs de visite secrète du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu lundi dernier à Moscou et la mystérieuse épopée du cargo Arctic See, soupçonné par certains médias d'avoir contenu des armes russes à destination de l'Iran, ont relancé les spéculations sur une attaque.

    Ajoutant au suspense, M. Poutine a botté en touche à propos d'un éventuel déplacement secret de M. Netanyahu, lançant de façon laconique en riant : "On ne parle que de faits avérés".


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  • Il y en aura pour tout le monde !!!!! cool non?

    Grippe H1N1: une seule dose de vaccin pourrait suffire chez les adultes

    De Catherine MARCIANO (AFP) – Il y a 2 heures

    BRUXELLES — Une seule dose de vaccin pourrait suffire pour immuniser les adultes contre la grippe H1N1, ce qui accroîtrait de fait les réserves mondiales de vaccins, s'est réjouie vendredi à Bruxelles une responsable de la Santé américaine, commentant des essais scientifiques.

    "Il apparaît que nous pourrions n'avoir besoin que d'une dose de vaccin, au moins pour les adultes", a commenté vendredi Nicole Lurie, sous-secrétaire au Département américain de la Santé.

    Mme Lurie s'exprimait en conclusion d'une rencontre régulière entre hauts responsables de la Santé du G7 (Etats-Unis, Grande-Bretagne, Allemagne, France, Italie, Japon et Canada), qui avaient aussi invité le Mexique pour échanger leurs informations sur la pandémie de grippe H1N1.

    "Nous sommes encouragés par les données que nous avons vues sur les vaccins contre la grippe H1N1, dont des informations reçues hier, provenant à la fois des fabricants (de vaccins) et de nos propres essais cliniques américains", a-t-elle dit.


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  • Vidéo/Hortefeux : "scandaleux" (Le Pen)

    AFP
    11/09/2009 | Mise à jour : 17:34 <script language="JavaScript" type="text/javascript">// <![CDATA[ figcom_sep_bulle='avec'; // ]]></script> <script type="text/javascript" src="http://www.lefigaro.fr/media-communautaire/js/profil/figaro/nbcmt.php?article=20090911FILWWW00503"></script> <script language="JavaScript" type="text/javascript">// <![CDATA[ figcom_sep_bulle=false; // ]]></script> <script language="JavaScript" src="http://www.lefigaro.fr/media-communautaire/js/ssoLibrary.js.php"></script> <script type="text/javascript" src="http://www.lefigaro.fr/media-communautaire/js/jsxmlrpc/xmlrpc_lib.js"></script> <script type="text/javascript" src="http://www.lefigaro.fr/media-communautaire/js/profil/figaro/ajouter_selection.js"></script> |

    Jean-Marie Le Pen a jugé aujourd'hui que le "tollé soulevé" par les propos équivoques de Brice Hortefeux sur un jeune militant UMP d'origine arabe, était "scandaleux". "Ce serait comique si ce n'était pas scandaleux. Non pas la déclaration de Brice Hortefeux qui n'a aucune importance mais le tollé que cela soulève dans l'opinion", a dit le président du Front national. "Il y a désormais en France une censure antiraciste qui s'exerce par l'intermédiaire des médias", a-t-il dénoncé.

    Mais, a ajouté le président du FN, "Brice Hortefeux y a prêté la main lui-même; il a mis à la retraite d'office un ambassadeur (le préfet Paul Girot de Langlade, ndlr) accusé d'avoir tenu un propos déplaisant paraît-il pour les immigrés lors d'un contrôle à l'aéroport".

    "Petit à petit l'espace de liberté d'opinion des Français se restreint, même l'humour n'est plus accepté. Il faut que les Français exigent la liberté de parole. C'est le temps de la gestapo, jamais plus ça", a-t-il dit.

    Sans être proUMP(loin de là) , ce genre de buzz à la con commence à me gonfler !!! WR


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  • A propos de racisme...mais là, tout le monde ferme sa gueule !

     

    Choqué". Rahimullah Samandar répète le mot : "choqué" Le journaliste afghan, président de l'Association indépendante des journalistes d'Afghanistan, ne décolère pas en commentant, à Kaboul, les circonstances de la libération, dans la nuit de mardi 8 à mercredi 9 septembre, de l'envoyé spécial du New York Times. Stephen Farrell était retenu en otage, en compagnie de son fixeur afghan, Sultan Munadi, par des talibans dans un village proche de Kunduz, une des grosses cités du nord du pays.

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    L'assaut déclenché par les forces spéciales britanniques s'est soldé par quatre morts : deux villageois, un soldat britannique et M. Munadi, fauché par une salve de balles alors qu'il prenait la fuite dans l'obscurité aux côtés de M. Farrell. "La responsabilité des forces britanniques dans la mort de notre collègue est écrasante", s'indigne Rahimullah Samandar.

    La communauté journalistique afghane a tenu à exprimer son émotion, jeudi, en rendant un hommage collectif à M. Munadi devant sa tombe au cimetière de Kaboul, avant de se rendre en procession au domicile de sa famille. Fait sans précédent dans les annales médiatiques locales, les journalistes afghans ont publié un texte dénonçant l'attitude de l'OTAN, relevant du "deux poids, deux mesures" selon que la personne à sauver est occidentale ou afghane.

    Stephen Farrell et Sultan Munadi avaient été capturés, samedi 5 septembre, par des talibans locaux alors qu'ils enquêtaient sur un raid aérien meurtrier de l'OTAN perpétré la veille dans un village au sud de Kunduz. Visant deux camions-citernes tombés aux mains d'un groupe rebelle, l'attaque avait coûté la vie, selon les autorités afghanes, à environ 90 personnes - dont de nombreux villageois - et relancé la controverse récurrente en Afghanistan sur les victimes civiles dues aux opérations de l'OTAN. Après avoir interviewé des rescapés à l'hôpital de Kunduz, les deux journalistes du New York Times s'étaient rendus sur le site du drame, dans une zone contrôlée par les talibans, où ils ont pu s'entretenir avec des villageois avant d'être enlevés.

    Dans son blog du New York Times, M. Farrell raconte ses "quatre jours avec les talibans", marqués par des déplacements incessants dans le district de Char Dar, de caches en caches au milieu des champs de riz et de maïs. Il témoigne également des circonstances de son sauvetage par les commandos britanniques, largués par hélicoptère au milieu de la nuit. Sultan Munadi n'a pas échappé aux balles qui fusaient alors en tous sens. Il a été tué alors qu'il criait "Journalistes, journalistes !".

    Selon les médias afghans, la provenance des balles ayant mortellement atteint M. Munadi ne fait guère de doute. "Il a été tué par des tirs britanniques", soutient leur porte-parole, Rahimullah Samandar. Mais ce qui choque le plus les journalistes locaux, c'est que les forces spéciales britanniques aient abandonné le cadavre du fixeur sur place alors qu'elles prenaient aussitôt soin de M. Farrell.

    Négociations en cours

    Cette discrimination réveille chez les Afghans le pénible souvenir des conditions de la libération, en 2007, du journaliste italien Daniele Mastrogiacomo. Il avait été relâché par ses ravisseurs talibans après versement d'une rançon. Son traducteur afghan, Ajmal Naqshbandi, laissé aux mains de ses geôliers, était décapité.


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  • Odigo : l'entreprise confirme que des employés ont été averti 2h avant

     

    Remarque : il est tout à fait possible que les perpétrateurs du 11 septembre
    aient délibérément averti des ressortissants israéliens pour faire peser les
    soupçons sur les juifs…

    Ha’aretz (17 août 2004) traduit de l’anglais par Marcel Charbonnier.

    <http://www.haaretz.com/hasen/pages/ShArt.jhtml?itemNo=77744&contrassI...
    %5C> http://www.haaretz.com/hasen/pages/ShAr … ID=/has%5C

    "La société israélienne Odigo affirme que deux de ses employés ont (bien)
    été avertis des attentats du 11 septembre 2001

    La société israélienne de messagerie électronique Odigo a fait savoir que
    deux de ses employés ont (bien, effectivement) reçu des messages, deux
    heures avant l’attentat contre les tours jumelles (Twin Towers) du World
    Trade Center de New York (le 11 septembre 2001), les avertissant que
    l’attaque allait avoir lieu. Odigo a ajouté qu’elle coopère, depuis lors,
    avec les services judiciaires israéliens et américains (notamment, le FBI -
    Federal Bureau of Investigation), afin de retrouver l’émetteur premier du
    message avertissant de l’attaque.

    Micha Macover, PDG de la compagnie, a indiqué que les deux employés avaient
    reçu ces messages et avaient informé la direction de l’entreprise,
    immédiatement après l’attentat. La direction avait alors immédiatement pris
    contact avec les services israéliens de sécurité, lesquels avaient
    immédiatement mis le FBI au courant.

    « Je n’ai aucune idée de la raison pour laquelle ce message a été envoyé à
    nos deux employés, qui n’en connaissent pas du tout l’expéditeur. Il
    pourrait s’agir de quelqu’un qui plaisantait simplement, et dont la
    plaisanterie se serait avérée prémonitoire par un pur effet du hasard. Je ne
    sais d’ailleurs pas si notre information a joué un rôle éventuel dans l’une
    quelconque des arrestations opérées par le FBI », a déclaré M. Macover.

    Odigo, compagnie (israélienne) sise aux Etats-Unis, a son siège à New York
    et ses bureaux à Herzliya (Israël).

    Les utilisateurs de la messagerie Odigo ne sont pas limités dans
    l’expédition de leurs messages à la seule liste de leurs « copains »
    [contacts], comme c’est le cas pour les clients d’ICQ, l’autre serveur bien
    connu de messagerie instantanée (elle aussi) israélienne.

    Généralement, Odigo protège jalousement la confidentialité de ses
    utilisateurs dûment catalogués, a indiqué M. Macover, mais, dans le cas
    d’espèce, la compagnie a pris l’initiative de fournir aux services
    judiciaires l’adresse Internet initiale (de l’émetteur) du message, afin que
    le FBI puisse retrouver le fournisseur d’accès Internet utilisé par
    l’émetteur effectif du message original, et donc l’identité de cet
    expéditeur. "


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  • Des tirs venant du Sud-Liban violent la trêve avec Israël

    Des tirs venant du Sud-Liban violent la trêve avec Israël

    Policiers libanais dans le village d'Al Kleileh, d'où des roquettes ont été tirées sur le nord d'Israël. Au moins trois roquettes ont été lancées du Sud-Liban sur le nord d'Israël, amenant Tsahal à riposter à l'artillerie contre l'origine des tirs. /Photo prise le 11 septembre 2009/REUTERS/Haidar Hawila

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    Au moins trois roquettes ont été lancées du Sud-Liban sur le nord d'Israël, amenant Tsahal à riposter à l'artillerie contre l'origine des tirs.

    De sources proches de la sécurité de part et d'autre de la frontière, on ne fait état d'aucune victime, mais la télévision israélienne a déclaré qu'un des missiles avait endommagé un pylône électrique.

    Les roquettes, les premières à tomber sur Israël depuis huit mois, ont été tirées de vergers proches du port sud-libanais de Tyr et sont tombées sur la Galilée, dans le nord de l'Etat juif.

    Un porte-parole de Tsahal a confirmé les tirs, la riposte israélienne et déclaré tenir le gouvernement de Beyrouth pour responsable de ces violations de la trêve en vigueur sur ce front.

    La Force intérimaire des Nations unies au Liban (Finul) et l'armée libanaise ont dépêché des renforts dans la zone pour prévenir toute escalade de la situation, a précisé Yasmina Bouziane, porte-parole de la Finul, précisant que celle-ci enquêtait sur l'incident.

    ENQUÊTE DE LA FINUL

    "La Finul est en contact avec les deux parties, les presse de faire preuve de la plus extrême retenue, de conforter la cessation des hostilités et d'éviter de prendre des mesures qui pourraient conduire à une nouvelle escalade", a-t-elle dit.

    Malgré le cessez-le-feu qui a mis fin en août 2006 à l'offensive de 33 jours engagée par Israël contre le Hezbollah au Sud-Liban, la situation demeure en effet volatile à la frontière commune.

    On ignore encore qui est à l'origine de ces tirs, mais les combattants chiites libanais du Hezbollah ont démenti avoir lancé les projectiles tombés l'hiver dernier sur le nord d'Israël pendant l'offensive de Tsahal contre le Hamas à Gaza.

    Les responsables militaires du Liban et de l'Onu attribuent les violations sporadiques de la trêve d'août 2006 à des petits groupes palestiniens ou à des activistes djihadistes, actifs dans les camps de réfugiés du Liban.

    Le Hezbollah, un mouvement structuré et discipliné soutenu par la Syrie et l'Iran, demeure néanmoins une force redoutable, particulièrement au Sud-Liban, où il a résisté avec succès aux efforts de Tsahal pour lui briser les reins.

    Nadim Ladki et Tom Perry à Beyrouth, Ori Lewis et Allyn Fisher-Ilan à Jérusalem, version française Marc Delteil


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  • Israël: rumeurs autour d'une absence mystérieuse de Nétanyahou

     

    AP | 11.09.2009 | 10:00

    Les rumeurs les plus folles couraient en Israël après l'absence mystérieuse, lundi, du Premier ministre Benyamin Nétanyahou accusé aujourd'hui d'avoir menti pour cacher un voyage secret à Moscou, probablement pour discuter de l'Iran.

    Pour faire taire les rumeurs mais aussi pour tenter d'atténuer les critiques qui commencent à gronder, les services de Nétanyahou avaient tout d'abord publié un vague communiqué justifiant cette absence d'une dizaine d'heures par une visite dans une installation ultra-secrète du Mossad, les services de renseignement israéliens.

    Jeudi, le Premier ministre a observé le plus grand mutisme alors que des informations commençaient à émerger selon lesquelles il se serait rendu à Moscou à bord d'un avion privé pour des discussions sur l'Iran décidées dans l'urgence.

    Selon ces diverses informations, Nétanyahou était à Moscou soit pour presser les Russes à arrêter la vente d'armes à l'Iran soit pour informer le Kremlin de l'imminence d'une frappe israélienne sur des installations nucléaires iraniennes ou encore de l'"Arctic Sea", ce cargo à équipage russe et battant pavillon maltais qui n'avait pas donné signe de vie pendant deux semaines avant d'être retrouvé le 14 août au large de l'archipel du Cap Vert, dans l'océan Atlantique.


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  • La pandémie de l’indécence

    Pour le Pr Gentilini, c’est surtout à une « pandémie de l’indécence » que l’on assiste. À moins que cette surréaction ne soit la conséquence d’une interprétation particulière du principe du précaution, qui rend obsolète toute évaluation rigoureuse du risque. Car c’est bien la peur d’une catastrophe humaine estimée potentiellement à plusieurs centaines de milliers de décès qui semble justifier un tel affolement. Un discours apocalyptique déjà entendu lors de crises précédentes, comme celles de la grippe aviaire H5N1 ou de la vache folle, au cours desquelles les médias, appuyés par certains « spécialistes », avaient annoncé sans la moindre retenue des millions de morts.

    Pourtant, il suffit d’un peu de raison pour recouvrer son sang-froid. Quelle importance de savoir qu’un risque existe si l’on ne prend pas en compte sa probabilité d’apparition ? Certes, le risque d’une mutation – ou plutôt d’un réarrangement génomique – du virus présent, dont la souche s’avère plutôt bénigne, n’est pas nul. Celui d’un accident nucléaire ou de la chute d’une météorite sur la Terre existe également. Avant la lecture actuelle du principe de précaution, la probabilité d’occurrence et la compréhension des mécanismes d’apparition de tels phénomènes faisaient partie des éléments permettant aux décideurs de prendre des mesures adéquates. L’improbable mutation du virus A H1N1 vers une forme plus pathogène, à travers une transmission d’homme à homme, ne représente pas le vrai danger. En revanche, celui d’un réassortiment de deux souches virales (l’humaine et l’aviaire), possible principalement chez le porc suite à une cassure antigénique, est réel. Cette cassure pourrait provoquer non plus de légères mutations des neuraminidases (NA) ou des hémagglutinines (HA) du virus, mais le remplacement complet d’une de ces deux protéines NA ou HA d’une souche virale humaine donnée par une glycoprotéine équivalente d’une souche virale aviaire. « La prévention de la transmission de l’homme au porc devrait être hautement prioritaire [1] », estime le Dr Thomas Vahlenkamp, virologue à l’Institut allemand Friedrich Loeffler. En effet, les lieux potentiels de ce réarrangement sont bien les élevages porcins du monde entier, qu’ils soient intensifs ou non. Mais sûrement pas la cour de récréation de nos enfants.


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