• Scientologie: des coïncidences troublantes


    Une modification de la loi, intervenue le 12 mai ,sans que les parlementaires ne s’en aperçoivent, ne permet plus à un magistrat de dissoudre une secte pour escroquerie. C’est moins de deux semaines de l’ouverture du procès engagé contre la scientologie que ce curieux vote est intervenu à l’Assemblée, sans débats. Mme Alliot Marie qui ne manque pas d’humour parle “d’erreur matérielle” (sic).

    Cette génération législative spontanée permet aujourd’hui à la secte de la Scientologie d’éviter miraculeusement la dissolution en France; cette affaire -qui est peut-être une affaire d’Etat- pose deux questions:

    - Y-a-t-il eu connivence au sein de l’Etat pour introduire cette disposition opportune pour la secte créée par l’auteur de roman de science fiction Ron Hubbard. On se souvient qu’en 2004, Nicolas Sarkozy alors ministre de l’économie avait reçu officiellement à Bercy l’ambassadeur de la secte, Tom Cruise. Dans son livre “La République, les religions, la République, l’espérance” ( dernier chapitre) Nicolas Sarkozy s’était montré très clément envers les sectes. En février 2008, sa directrice de cabinet, Mme Emmanuelle Mignon avait déclaré à VSD: ” les sectes sont un non problème”; dans la foulée, Nicolas Sarkozy avait ajouté tout en semblant condamner les activités sectaires: “ce n’est pas à moi de dire si la Scientologie est une secte.”(Noyelle-Godault 21 février 2008). De là à penser que des appuis politiques ont permis l’introduction confidentielle de cette mesure, il n’y a qu’un pas que certains auront la tentation de franchir.

    - Les députés votent-ils des lois sans se rendre compte de ce qu’ils adoptent? Les antiparlementaristes primaires le disent depuis longtemps. Force est de constater que les faits leur donnent raison.


    1 commentaire
  • Vaccin et mercure


    Pour la première fois, un vaccin contient du mercure.


    votre commentaire
  • « Déclaration au peuple américain »

    Dans un message vidéo, adressé au « peuple américain », Oussama Ben Laden a usé d’un ton inhabituel:

    Il est temps de vous libérer de la peur et du terrorisme idéologique des néoconservateurs et du lobby juif, et de vous demander ce qui vous importe le plus : votre propre sécurité ou celle des Israéliens (…) si vous optez pour votre sécurité et choisissez d’arrêter les guerres, nous serons disposés à réagir favorablement à cette option. » Le chef d’al-Qaida, qui a choisi de mettre ses habituelles diatribes politico-religieuses au placard, fait observer aux Américains qu’en élisant Obama, ils n’ont fait que « changer les visages à la Maison-Blanche (…) l’amère vérité, poursuit-il, est que les néoconservateurs continuent à projeter leur ombre pesante sur vous ». Et dans le cas où Washington ne mettrait pas fin à sa guerre en Irak et en Afghanistan, Ben Laden avertit qu’il n’aura « d’autre choix que de poursuivre la guerre d’usure » contre les États-Unis, « sur tous les fronts possibles, de la même manière » que contre l’Union soviétique « pendant dix ans, jusqu’à son démantèlement » !


    votre commentaire
  • L’occupation israélienne de l’Amérique

     

    Le message fut clair pour tous sur la Colline du Capitole, clair à entendre et à comprendre : « Ne vous mettez pas sur notre chemin pour nous empêcher d’influencer l’opinion publique, la politique et les lois. »

     

    Sharon : « ...Nous, peuple juif, contrôlons l’Amérique. »
    Sharon : « ...Nous, peuple juif, contrôlons l’Amérique. »

     

    « Israël n’a pas besoin de s’excuser pour l’assassinat ou la destruction de ceux qui cherchent à le détruire. Le devoir premier de tout pays est de protéger son peuple.  »

    Washington Jewish Week - 9 octobre 1997



    J’ai quitté un pays occupé militairement par Israël pour celui de « la liberté et du courage », pour découvrir que lui aussi était occupé par Israël, politiquement.

    Le peuple palestinien, qui s’accroche à tout lambeau d’espoir, compte sur les Américains d’aujourd’hui pour qu’ils s’aperçoivent de la fausseté de leurs méthodes, changent d’opinion sur la situation globale au Moyen-Orient et la comprennent telle qu’elle est vraiment : celle d’un peuple dominé, opprimé, qui vit une existence d’enfer sous une puissance occupante démente, un peuple qui va contacter leurs élus au Congrès et mettra sur eux la pression pour qu’Israël applique totalement les accords qu’il a conclus il y a des années avec l’OLP (organisation de libération de la Palestine) tels qu’Oslo, Taba, Camp David, Wye River, la Feuille de route, ou même Annapolis.

    La triste réalité cependant, c’est que les Américains - pour autant qu’ils prennent fait et cause eux-mêmes en tant que « peuple libre » - ne sont pas mieux lotis que les Palestiniens. Au contraire, la situation états-unienne est pire que celle des Palestiniens. Les Palestiniens peuvent identifier l’ennemi - c’est celui avec un fusil qui abat leurs êtres chers. Ils se savent occupés et opprimés. Ils savent comment Israël a occupé la Palestine, tué ses habitants et obligé la majorité de ceux qui ont survécu au carnage à quitter leurs maisons et leurs terres pour aller vivre comme des étrangers dans des camps de réfugiés.

    Mais les Américains n’en ont aucune idée. Tel un toxicomane qui croit se sentir en pleine forme après s’être shooté, l’Américain ne réalise pas qu’il est un esclave, de sa came et de son revendeur. L’histoire ne fait pas de mystère sur la façon dont l’Angleterre a été contrôlée par les sionistes. Grâce au contrôle juif sur le gouvernement britannique, celui-ci publia la Déclaration Balfour qui a « donné » la terre de Palestine aux juifs après la Deuxième Guerre mondiale, une terre qu’il ne possédait pas et dont il ne pouvait disposer.

    Mais comment diable ont-ils pu occuper politiquement les Etats-Unis ? Il n’existe pas de véritable « Déclaration Balfour » que l’on pourrait présenter comme preuve.


    votre commentaire
  • Un réseau dirigé par la Grande Bretagne pour diviser Sunnites et Chiites en Iran

     

    L’Iran a mis la main sur une cellule travaillant pour le compte des services secrets britanniques et dont la mission consistait à semer les divergences et la division au sein de la société iranienne au sud du pays, a révélé l’agence de presse iranienne Fars [1].

    Selon un communiqué des services de sécurité iraniens, ce réseau qui agissait dans la province de Hormozgan publiait des messages télévisés, des documentaires et des livres qui attisaient la haine entre Sunnites et Chiites à travers “des chaînes satellitaires ennemies financées par la Grande Bretagne”.


    votre commentaire
  • Les francs-maçons de Sarkozy

    Influence. Les « frères » sont nombreux autour du président, révèle Sophie Coignard dans un livre dérangeant.

    Sylvie Pierre-Brossolette

    • <script type="text/javascript">// <![CDATA[ var yahooBuzzArticleId = "lepointfr_847:" + decodeURIComponent('http%3A%2F%2Fwww.lepoint.fr%2Factualites-politique%2Fles-francs-macons-de-sarkozy%2F917%2F0%2F324920'); // ]]></script> <script src="http://d.yimg.com/ds/badge2.fr.js"></script>
    <script language="JavaScript">// <![CDATA[ document.write('<scr'+'ipt type="text/JavaScript" src="http://ad.fr.doubleclick.net/adj/ts.lepoint.fr/'+rub+';tile='+(tile=tile+1)+';sz=190x60;ord=' + ord + '?"><\/script>'); // ]]></script>

    Les francs-maçons ? Ils sont partout, jusqu’au coeur de l’Etat. C’est en tout cas la conclusion de notre consoeur et collaboratrice au Point Sophie Coignard.

    Dans un livre extrêmement documenté, elle met en lumière le rôle de cette confrérie aussi mythique que réelle, qui ne cesse d’alimenter les fantasmes sur son pouvoir supposé. Confiant qu’elle-même a longtemps oscillé entre deux attitudes-le scepticisme et la conviction-, son enquête l’a persuadée que les francs-maçons exerçaient encore au XXIe siècle une influence prépondérante, voire croissante, en particulier dans les sphères publique et économique. Gouvernement, administration, entreprises, banques, rares sont les secteurs où ils ne sont pas présents. « Tandis que l’autorité de l’Etat tombe en lambeaux, que les corps intermédiaires n’existent plus, que la notion de service public a perdu de son sens, les francs-maçons, ou du moins certains d’entre eux, deviennent des médiateurs, des facilitateurs, voire des décideurs. Progressivement, ils ont donc reconstitué un Etat dans l’Etat. »

    Puissance

    Une affirmation que tente de relativiser un des plus connus d’entre eux, Alain Bauer, ancien grand maître du Grand Orient et super-conseiller de Nicolas Sarkozy. En décembre 2007, il déclare à l’auteur : « Ce gouvernement est le plus a-maçonnique qui soit, puisque nous sommes à zéro franc-maçon. Même sous le gouvernement du maréchal Pétain à Vichy, il y en avait, hélas. » Bauer sera pris à contrepied. Car, quelques semaines plus tard, Brice Hortefeux, qui n’est pas le moins voyant des ministres, ne dément pas avoir longtemps fréquenté les colonnes du temple. Puis l’on apprend que Xavier Bertrand est membre du Grand Orient, ce qui suscitera, dit-on, ce bon mot de François Fillon : « Je ne suis pas étonné de le découvrir maçon ; mais franc, cela m’en bouche un coin... » A droite, même si l’on est plus discret qu’à gauche sur son appartenance maçonnique, on est donc bien présent dans les loges. Et, si le chef de l’Etat n’est pas de la « famille », il en prend grand soin, sachant son poids (voir extraits pages suivantes).

    « Jamais je n’aurais pensé que les francs-maçons étaient aussi puissants ! » Cette réflexion effarée de Jean-Pierre Raffarin vient d’un épisode vécu lorsqu’il était Premier ministre. Il en garde un très mauvais souvenir : la mobilisation fraternelle l’a en effet empêché, malgré tous ses efforts, de nommer à la tête d’EDF, bastion franc-maçon, l’ancien ministre Francis Mer à la place de François Roussely, qui admet être proche des frères pour les avoir beaucoup fréquentés. Pour le défendre, un déluge de coups de téléphone s’abat sur Matignon. Il y avait tous les jours un appel de Bauer et un autre d’Henri Proglio, patron de Veolia, qui dément très mollement être initié. La bataille dure des semaines. Pour finir, les ligueurs ne sauvent pas Roussely, mais ont la peau de Mer. Raffarin en tremble encore.

    Fleurons

    Les francs-maçons détiennent de nombreux bastions, comme les mutuelles, le « paradis des frères », ou Bouygues, ou encore Eiffage. Malgré la privatisation de nombreuses entreprises publiques où les francs-maçons étaient très présents, ces derniers ont conservé leur place à tous les étages de la hiérarchie, conseils d’administration compris. C’est le cas de La Poste et de France Télécom, qui ont succédé au ministère des PTT, véritable pépinière fraternelle. Idem pour Air France, où les dirigeants comme les pilotes connaissent un taux d’initiation bien supérieur à la moyenne nationale.

    Sophie Coignard nous fait ainsi découvrir tout au long de son livre les dessous de nombre de nominations ou d’opérations. On est parfois sidéré, voire choqué, que de tels réseaux puissent exister à l’heure de la modernité et de la transparence. Certes, d’autres puissants lobbys ont partout leur mot à dire. Mais les francs-maçons auront réussi le tour de force d’être à la fois le plus ancien et le plus secret des réseaux. Son mystère a fait sa force. Le voici aujourd’hui en partie dévoilé


    votre commentaire

  • Un nouvel adepte du "niquisme"

    besson Eric

    Eric Besson , ministre de l’immigration, serait-il victime d’un syndrome de mimétisme avec les banlieues ? Alors qu’il participait à une table ronde avec des jeunes UMP, il a cru bon d’illustrer la question d’un journaliste sur Philippe de Villiers par un « doigt d’honneur », une gestuelle ordurière sensée exprimer une opinion.

    L’élève dépasse le maître

    Notons à la décharge de ce ministre incompétent que ce comportement d’une rare indécence s’inscrit parfaitement avec la goujaterie d’une présidence où l’on se croit autorisé à composer des SMS lors d’une audience pontificale ou à mâchonner un chewing-gum lors d’un déplacement officiel.

    Quant à Philippe de Villiers, la dernière acquisition de la solderie sarkozyste, il sait maintenant grâce à cette réaction imagée d’un ministre -comme lui acheté- ce que, dans le premier cercle présidentiel, on pense de son arrivée.

    Qu'est-ce queLe Niquisme ?

    votre commentaire
  • Mensonges et petites combines : derrière l’affaire Hortefeux, Copé assume des intentions liberticides

    copéPour Copé, le journalisme doit être de la propagande organisée
    Décidément, lorsque les leaders UMP se lâchent, on en apprend de belles. Pour tenter de venir en aide au soldat Hortefeux, pris en flagrant délit de sincérité sur l’immigration, Jean-François Copé remet en cause la liberté d’internet. Lui qui a signé un livre intitulé « promis j’arrête la langue de bois » ne semble en effet pas disposer à accepter la transparence.

    Avec une décontraction qui frise la provocation, le président du groupe UMP oppose donc la liberté de la toile qui permettrait de diffuser des images sans contrôle au « journalisme » qui produirait « de vrais reportages » (sic).

    Le coupable ce n’est pas Hortefeux mais internet

    “Le vrai sujet n’est pas sur la scène elle-même” mais la façon dont la vidéo a atterri sur internet et dont “l’ensemble du monde médiatique” s’est “emballé sur cette histoire”, avait-il estimé. “Il y a derrière ça un débat de fond qui est celui du rôle que nous allons laisser à internet en matière de diffusion de l’information“, a insisté Jean-François Copé. “Je crains que si on met sur un pied d’égalité des images comme celles-ci, dont je persiste à dire qu’elles sont sorties de leur contexte, avec d’authentiques reportages, il y a un vrai risque de discrédit pour votre profession”, avait-il encore dit à l’adresse du journaliste qui l’interrogeait.

    Ces propos qui suggèrent la mise sous contrôle politique d’internet sont évidement scandaleux et devraient soulever une indignation générale. Ils rappellent aux journalistes prétendument libres qu’ils ne sont généralement que les obéissants faire-valoir du pouvoir ; à tous les citoyens, ils rappellent les intentions liberticides des sako-boys.


    votre commentaire
  • Un an après...


    La crise commencée au début de 2007 connaît donc une accalmie. À voir comment les banques ont reconstitué leurs profits, et les banquiers leur appétit illimité, on pourrait même croire qu’elle est terminée. Il n’en est rien, et la stabilisation actuelle risque d’être provisoire. Les problèmes posés par cette crise n’ont en rien été résolus par les mesures prises depuis un an. Il est particulièrement regrettable, mais pas spécialement surprenant, que le sentiment de relative sécurité dans lequel nous sommes depuis le mois de mai nous ait conduits à renoncer aux mesures les plus importantes et les plus radicales. Les gouvernements ont, par impéritie ou par dessein, laissé s’échapper le moment de la crise qui aurait aussi pu être celui des réformes. Mais ce moment n’a été qu’ajourné et en rien conjuré. Il nous faut nous préparer à d’autres moments de ce type pour ne pas, cette fois, laisser passer l’opportunité.
    Avant la crise, des divergences importantes se faisaient jour en Europe, au point que l’on pouvait parler d’un mécanisme « d’Euro-divergence » . Ce dernier n’a pas été éteint par la crise, mais l’investissement a partout baissé. La question d’une sortie de l’Euro est aujourd’hui posée pour plusieurs pays, et se posera demain pour d’autres, en raison des effets dépressifs qu’aura un Euro fort . Ceci était largement prévisible .




    votre commentaire
  • De Victor Jara à Guantanamo : la même CIA

    Nous avons vu auparavant que l’incroyable programme de contrôle des individus, souhaité et réalisé par la CIA, aux Etats-Unis avait abouti a des dérives inimaginables, notamment l’usage du LSD dans la population américaine. On croyait le sommet de l’horreur atteint et pourtant ce n’était pas le cas. D’autres sources découvertes plus tard allaient nous montrer que les expérimentations de la CIA de cette époque n’étaient pas très éloignées de celles faites par les laborantins nazis des camps de la mort. Parmi celles-ci, en effet, des stérilisations d’êtres humains. On pensait le fond atteint, ce n’était donc pas le cas. Retour sur les docteurs Mabuse de la CIA.

     

    On peut même aller plus loin encore dans l’horreur, tant que nous y sommes : le 16 juillet 2003, un groupe de recherche indépendant la révèle, cette horreur : un énorme fichier de 59 boîtes découvert chez Caltech, en Californie, montre que de 1900 à 1960, plus de 20 000 personnes déficients mentaux ont été stérilisés, aux Etats-Unis, en suivant pour cela les recommandations eugénistes formulées également plus tard par les nazis (*1).

    Dans le lot de ces politiciens, deux partisans reconnus et très connus des thèses eugénistes : Prescott Bush, grand père pro-nazi de l’ancien président, et son fils George Herbert Walker Bush, président des USA avant son propre fils. Tous deux fermes partisans des théories eugénistes. Appliquées en ce cas aux Etats-Unis bien avant l’Allemagne, on a tendance à l’ignorer !!! N’oublions pas que les germes de l’antisémitisme sont autant chez Ford que chez Hitler et les précédent même ! (*2) Comme je l’ai déjà dit ici : "Prescott Bush, le grand père de l’actuel président, est bien celui qui organise du 21 au 23 août 1932 ce fameux troisième congrès mondial de l’eugénisme, à l’American Museum. But de la réunion : la stérilisation de 14 millions d’Américains... et pourquoi pas, la suppression pure et simple de certains ("cutting off the bad stock ’’ of the "unfit"), et ce, bien avant l’édification d’Auschwitz."

    La fondation eugéniste Human Betterment Foundation responsable des stérilisations a été créée aux Etats-Unis et financée par Ezra S. Gosney, un homme d’affaires richissime de Pasadena, qui avait des vues bien particulières sur le genre humain : Selon Gosney, en effet, les êtres humains sont en effet comme les vaches Longhorn texanes. Il suffit tout simplement de les croiser habilement pour "améliorer la race" (*3) C’est bien du nazisme, cette notion de race supérieure à fabriquer. Pour arriver à ces fins, Gosney va se trouver un médecin biologiste qui partage ses vues : Paul Popenoe. Qui a déjà expérimenté et même fait un livre à se sujet : Sterilization for Human Betterment : A Summary of Results of 6,000 Operations in California, 1909-1929 . En 1933, ce fut le tout premier livre étranger traduit par les nazis ! Les précurseurs de l’eugénisme sont bien américains, et non allemands !


    votre commentaire