• Régulation de la météo, comme forme de régulation sociale

    (Zbigniew Brzezinski)

    L’arme climatique: une conspiration?
     

     
    Par Andreï Arechev, pour RIA Novosti

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    La température anormalement élevée dans le centre de la Russie a déjà engendré d’énormes pertes économiques. Un cinquième des cultures a été détruit et les prix des produits alimentaires principaux pourraient augmenter considérablement dès l’automne. Moscou est pris dans la fumée des incendies des tourbières. Les prévisions des experts sont loin d’être rassurantes : les sècheresses, les ouragans et les inondations se répéteront de plus en plus souvent et seront de plus en plus violents. Alexeï Kokorine, le directeur du programme Climat et énergie des Fonds mondiaux pour la Nature (WWF), explique que « la tendance actuelle (la sècheresse) ne s’arrêtera pas, elle n’est pas le fruit du hasard... »

    Que l’employé d’une organisation internationale influente qui travaille dans différentes régions du monde sous la couverture des programmes écologiques soit si bien informé est très significatif. Et cela ne se réduit pas au fameux « réchauffement de la terre » qui fait l’objet d’intenses débats scientifiques et autres. La théorie du « réchauffement de la planète » en tant que cycle naturel nécessite, tout au moins, des preuves alors que la canicule actuelle, observée, d’ailleurs, exclusivement sur le territoire de la Russie et de ses territoires limitrophes, pourrait sous-entendre plus que des explications scientifiques naturelles.

    Le problème de régulation de la météo, comme forme de régulation sociale, a été abordé dès les années 1970 par Zbigniew Brzezinski dans son livre Entre deux siècles. Il est clair que l’expert de la géopolitique américaine ne pouvait pas ne pas se poser la question sur la possibilité d’utiliser diverses formes d’impact climatique aussi bien sur les systèmes sociaux que géopolitiques. D’autres auteurs sérieux ont également écrit à ce sujet, bien que pour des raisons évidentes, il est peu probable que les informations concernant les découvertes dans le domaine de la création et d’essais d’une arme climatique soient divulguées un jour.

    En 2000, Michel Chossudovsky, professeur d’économie à l’université d’Ottawa, a écrit sur la possibilité d’un changement partiel du climat comme résultant de l’utilisation d’une nouvelle génération « d’armement non létal ». Les Américains travaillent sur la capacité de contrôler le climat dans diverses régions du monde, cette technologie est développée dans le cadre du High-frequency Active Aural Research Program (HAARP), capable de provoquer des phénomènes tels que des sècheresses, des ouragans, des tremblements de terre et des inondations. Du point de vue militaire, le HAARP est une arme de destruction massive, un instrument d’expansion qui permet de déstabiliser sélectivement les systèmes écologiques et agricoles des pays et des régions ciblés. La base technique connue du programme est un système d’émetteurs électromagnétiques destiné à l’étude des processus dans l’ionosphère et composé de 360 émetteurs radio et de 180 antennes d’une hauteur de 22 mètres. En émettant dans le ciel 3 600 kilowatts la station est devenue l’installation la plus puissante au monde pouvant agir sur l’ionosphère. Le programme, lancé en 1990, est financé par la direction des Recherches maritimes et par le laboratoire de Recherche de l’armée de l’air américaine avec la participation des plus grandes universités.

    Tout cela donne matière aux rumeurs et aux hypothèses. On pourrait toujours continuer à rire de Hugo Chavez qui a expliqué le tremblement de terre dévastateur en Haïti (http://fondsk.ru/article.php?id=2755) par la mise en application de HAARP, mais des hypothèses similaires ont été formulées après le tremblement de terre dans la province chinoise de Sichuan en 2008. De plus, une série de faits montre que le programme américain qui a pour objet le changement climatique dans des pays et des régions particuliers porte un caractère systématique qui touche maintenant le milieu spatial.

    Ainsi, par exemple, le 22 avril 2010, le drone américain X-37B a été lancé sur l’orbite de la Terre et pourrait, selon certaines sources, transporter à son bord de nouveaux modèles d’armement laser. Selon le New York Times, les représentants du Pentagone nient fermement toute relation entre l’appareil et un armement offensif quelconque mais admettent qu’il a pour but d’assister des opérations militaires terrestres et de remplir diverses missions auxiliaires. Le X-37B a été construit il y a 11 ans déjà en vertu d’un programme de la NASA, et en 2006 ce programme a été transmis à l’armée de l’air américaine sous le cachet du secret défense en ce qui concerne sa destination et son budget.

    Les exigences de soulever le voile du secret défense sur les expérimentations menées en Alaska n’ont jamais cessé d’être exprimées aux États-Unis et dans d’autres pays. En Russie les exigences similaires n’ont jamais été exprimées de façon bruyante. Néanmoins, il semblerait que les changements climatiques au service des intérêts politiques soient loin d’être un mythe et prochainement la Russie, ainsi que le reste du monde, devrait faire face à un nouveau type de menace. Les développements dans le domaine d’armement climatique semblent atteindre la « capacité de rendement prévue», en engendrant les sècheresses, en détruisant les récoltes et en provoquant sur le territoire de la « cible » toute une série de phénomènes anormaux.

    Ce texte n’engage que la responsabilité de l’auteur


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  • Transocean a fait pression sur son personnel

     

    LONDRES, 7 septembre (Reuters) - Transocean (RIG.N: Cotation), qui a foré le puits du groupe BP à l'origine de la marée noire dans le golfe du Mexique, a fait pression sur son personnel pour le dissuader de faire état d'infractions aux normes de sécurité, à en croire un rapport établi par le HSE britannique.

    Le HSE (Health and Safety Executive), autorité qui traite des questions de santé et de respect des normes de sécurité, a communiqué cette année à Transocean un rapport établi par ses soins et comportant des accusations d'intimidation formulées par certains employés de cette entreprise, ont déclaré des députés britanniques qui ont auditionné mardi un cadre supérieur de Transocean. Paul King, patron des opérations de Transocean en mer du Nord, a reconnu l'existence du rapport, communiqué à l'entreprise en février dernier. Il a indiqué que l'entreprise avait mené sa propre enquête et n'avait pas recueilli la preuve de manoeuvres d'intimidation à grande échelle.

    "Je crois tout à fait que notre entreprise respecte les normes de sécurité et qu'il s'agit de cas isolés", a dit King à propos d'éventuelles atteintes aux règlementations.

    (Tom Bergin, Eric Faye pour le service français)


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  • Pire que DeepWater

     

    Delta du Niger: les fuites de pétrole "pires" que la marée noire du golfe du Mexique

    GENEVE — Les fuites de pétrole dans le delta du Niger ont des conséquences sur l'environnement bien "pires" que la marée noire de l'été dans le golfe du Mexique, avertissent ONG et l'ONU qui dénonce des "actes criminels organisés".

    "La pollution dans le golfe du Mexique, c'est un +one shot+ (en un coup, ndlr). Dans le delta du Niger, c'est pire car les déperditions de pétrole -- qu'elles soient liées à des actes criminels ou non -- existent depuis des décennies", explique ainsi l'expert de l'ONG Greenpeace en Suisse, Nicolas de Roten.

    "C'est peut-être moins impressionnant, mais les déversements d'hydrocarbures au Nigeria se produisent sur de très grandes distances et ont des conséquences majeures pour l'environnement et les habitants de la région", a-t-il ajouté.

    Un constat partagé par l'ONU. Selon un responsable d'une étude du Programme des Nations Unies pour l?environnement (Pnue), réalisée à la demande du gouvernement nigérian, Mike Cowing, des milliers de kilomètres du delta sont souillés de pétrole, les réserves de poisson "virtuellement anéanties" et les nappes phréatiques gravement polluées.

    Le pétrole "se répand dans l'estuaire depuis environ dix ans sans que l'on s'en préoccupe", explique M. Cowing, considérant ce désastre écologique comme potentiellement pire que celui du golfe du Mexique où l'explosion d'une plate-forme de la compagnie British Petroleum a provoqué la pire marée noire de l'histoire des Etats-Unis.

    Pour l'expert, dont l'étude sera rendue publique en 2011, ces fuites sont d'autant plus inquiétantes qu'elles sont le fruit d'actes "organisés".

    Environ 90% du pétrole répandu dans l'Ogoni (sud du delta), "sont le résultat d'activités criminelles", a expliqué en août à l'AFP M. Cowing contacté par téléphone.

    Selon des "estimations officielles du gouvernement du Nigeria" citées par le chercheur, seulement 10% des déversements d'hydrocarbures sont dus à des problèmes techniques.

    "Les autorités du Nigeria doivent prendre au sérieux cette activité illégale qui, à mon avis, est organisée à plusieurs niveaux de la société nigériane", a insisté l'expert onusien.

    Son enquête a pour l'instant permis de révéler que le pétrole récupéré dans les oléoducs est non seulement vendu en petites quantités sur le marché local, mais aussi transporté par camion citerne au-delà des frontières du Nigeria.

    "Le plus inquiétant, c'est de voir de grands navires qui sont chargés (avec du pétrole) et escortés en mer", relève encore M. Cowing, estimant que ce commerce illicite "se chiffre en plusieurs milliards de dollars".

    Un porte-parole du Pnue, Nick Nuttal, a tenu à souligner que l'évaluation scientifique n'avait pour but de rechercher les coupables, mais de "localiser la pollution et fixer les priorités pour les opérations de nettoyage".

    Il n'en demeure pas moins que les spécialistes des matières premières abondent dans le sens de sabotages organisés en se basant sur la différence entre la production théorique et effective. Cette différence est, selon eux, bien trop importante pour être uniquement le fait d'actions de sabotages ponctuelles.

    Le groupe pétrolier Shell a lui-même tiré la sonnette d'alarme en août en dénonçant une augmentation des actes de sabotages, prévenant qu'il ne pourrait en conséquence pas honorer certains contrats.

    Les capacités de production du Nigeria sont évaluées à 3 milliards de barils par jour, explique ainsi l'analyste du courtier britannique PVM, Tamas Varga.

    Or, en juillet le pays n'a produit que 2,28 millions de barils par jour, précise l'analyste, selon lequel le Nigeria "perd environ 53 millions de dollars par jour, un montant important


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  • Le tatouage


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  • FN - Gollnisch Vs Bourdin - 25/08/2010

     

    Bruno Gollnisch chez notre ami Jean-Jacques Bourdin, (qui s’excite en vain)…




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    Pour l'école de la République

     


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  •  La fermeture du détroit d'Ormuz, une catastrophe pour les USA 

     

    Dans un article publié sur le site internet Estawrford, le réputé politologue Georges Friedman a estimé qu’en cas de guerre entre les Etats-unis et l’Iran,   la République islamique dispose de diversers options militaires et non-militaires pour se défendre notamment   la « fermeture du détroit d'Ormuz, qui aura les même conséquences qu’une attaque nucléaire , voire plus néfaste ».
    L'expert américain a précisé que « la fermeture du détroit d'Hormuz est l’une des options des plus dangereuses dont dispose l’Iran dans une guerre contre les Etats-Unis, car  il assure le transit  de 45 pour cent des camions-citernes de pétrole brut , et donc sa fermeture est comparable à une attaque nucléaire car elle provoquera une importante récession de l'économie mondiale déjà en crise ».
     
    Par ailleurs, Friedman a estimé que les menaces  proférées par les médias américains et israéliens d’une attaque imminente contre les installations nucléaires iraniennes sont exagérées, et s’inscrivent dans le cadre des pourparlers israélo-palestiniens.
    De son avis,  l'augmentation de la publication de ce genre d’informations  a pour but de créer une atmosphère de guerre en vue de renforcer les intérêts américains et sionistes.
    Et d’ajouter: «Cette situation coïncide avec le lancement du processus diplomatique  d'un règlement au Moyen-Orient, les organisateurs de cette situation cherche à provoquer les Iraniens par ce genre d’informations, et leur faire parvenir un message que la question palestinienne ne sera réglée que de la façon dont les Américains et les Israéliens la souhaitent."
    Friedman a souligné que « toutes ces tentatives de provocation contre l'Iran, font partie de la guerre psychologique menée par les Américains contre le peuple iranien, une guerre sponsorisée par les Israéliens qui ne cessent de brandir de tant à autre la menace d’une  attaque contre les installations nucléaires iraniennes alors que cette idée est fondamentalement inacceptable ».
    Par ailleurs,  Friedman a exclu que « les Etats-Unis s’attaquent aux  installations nucléaires de l'Iran, soulignant que les experts iraniens choisiront d'évacuer et de les transférer vers des lieux plus sûrs en cas d'attaque »


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  • Europe centrale (rediff)

    Analyse sociologique, politique, et économique de la crise européenne et mondiale dans son contexte historique.

     

     

    Partie 1 :
    http://leweb2zero.tv/video/webrunner_994839a17f46a3e

    Partie 2 :
    http://leweb2zero.tv/video/webrunner_724839b0d2810cd

    Partie 3 :
    http://leweb2zero.tv/video/webrunner_824839c331c266e

    Partie 4 :
    http://leweb2zero.tv/video/webrunner_17483a613648b09

    Partie 5 :
    http://leweb2zero.tv/video/webrunner_46483a9c2644f65


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  • L'Iran dit avoir le droit de choisir les inspecteurs de l'AIEA

    Source AFP

    L'Iran a affirmé mardi qu'il avait le droit de choisir les inspecteurs de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) autorisés à surveiller ses installations nucléaires, en réponse au dernier rapport de l'agence onusienne critiquant le manque de coopération de Téhéran. Téhéran avait retiré en juin leur agrément à deux experts de l'AIEA qu'il a accusés d'avoir fourni de "fausses informations" sur la disparition d'un équipement nucléaire important dans une installation de Téhéran.

    L'AIEA avait reconnu alors le droit de l'Iran à prendre une telle décision, tout en la regrettant. L'agence onusienne revient sur cet incident dans son dernier rapport lundi, accusant l'Iran "d'entraver les procédures d'inspection" par des "refus répétés opposés à des inspecteurs expérimentés". "C'est notre droit, comme pour tout membre de l'AIEA, de choisir les inspecteurs", a dit le chef du programme nucléaire iranien Ali Salehi, cité par l'agence de presse Isna. "Les deux inspecteurs rejetés par l'Iran avaient transmis des informations contraires à la réalité, et l'AIEA est d'accord avec ce fait mais ne veut pas l'admettre" publiquement, a-t-il ajouté.

    Pas de preuve

    Le rapport de l'AIEA "ne fait état d'aucun détournement de matériel nucléaire à des fins non pacifiques. Nous estimons que les autres points mentionnés dans ce rapport sont marginaux", a poursuivi Ali Salehi. Les Occidentaux soupçonnent l'Iran, malgré ses dénégations répétées, de chercher à se doter de l'arme atomique sous couvert de son programme nucléaire civil.

    L'AIEA n'a jamais produit de preuve à l'appui de ces accusations, mais estime que les refus apportés par Téhéran à certaines de ses demandes d'inspection ou de renseignement ne lui permettent pas de garantir que Téhéran n'a pas de programme nucléaire militaire.


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  • La Famille, le pédagogisme et la violence (rediff)

     Des jeunes qui parlent pratiquement par onomatopées et slogans comme les spots publicitaires, un déficit lexical qui entraine un déficit analytique. Mais surtout des besoins insatisfaits qui se transforment en frustration parce que l’apprentissage de la limite n’a pas été effectué. Toutes ces frustrations se transforment en violence. On a de quoi s’inquiéter. Des égos surdimensionnés qui ne supportent pas la moindre contrariété, des parents qui prennent systématiquement parti pour leurs enfants et cèdent à tous leurs caprices...Un élève qui poignarde son professeur qui a osé lui faire une remarque sur la tenue de son cahier. Une surveillante qui se fait rouer de coups parce qu’elle a demandé à un élève d’éteindre sa cigarette.
    Et pour clore, un petit rappel (vous me pardonnerez...) sur la député qui s’est battue pour interdire la fessée et sur un Onfray qui s’attaque trop médiatiquement aux fondement de la psychanalyse et à Freud, et qui nous joue les Gainsbourg de la philosophie !

    La fonction paternelle, source symbolique de l’autorité, a définitivement disparu. Le père, réduit à son rôle de géniteur, a été amené à devenir une "mère bis". Ce qui le conduit à se lancer avec la mère dans un concours de maternité, toxique pour l’enfant.  Les valeurs maternelles, conjointes à un enfant devenu roi, ont envahi les structures de nos sociétés, qui sont devenues maternantes. Plus aucun tarissement du lait maternel, même si celui-ci est servi en boîte et même si maman travaille. La féminisation de la société a contribué à brouiller un peu plus le problème par une surimpression du féminin sur la mère, bien entendu en l’absence de tout symbolisme du masculin et du père... L’enfant doit être un consommateur et rien d’autre. Pas d’altérité et pas d’effort non plus, qui pourraient contrarier son potentiel à consommer. Le besoin infini de l’enfant et la consommation, sont les modèles référents de notre société. Ils sous-tendent notre système tout entier.
     
    Cette vague déferlante a atteint le système scolaire. Les enseignants sont censés devoir combler le déficit éducationnel, derrière lequel se cache, en réalité, le déficit de l’autorité, ils sont invités "à accompagner l’enfant dans la découverte du savoir", comme la fonction maternelle l’avait accompagné dans ses premiers besoins et comme si l’enfant était doué d’un bon génie inné, à la façon de son besoin naturel infini. Il n’est plus question de délivrer un savoir ou d’éduquer ! L’enfant est au centre de l’Ecole a la place du Savoir, comme il est au centre de la famille à la place de l’éducation. Derrière ce système maternel, se cache en réalité le consumérisme érigé en système absolu et non dé-passable. Le monde de la mère, non dépassé, c’est la satisfaction du besoin matériel, érigé en finalité absolue. Résultat, les enfants présentent un égo surdimensionné qui ne supporte plus la moindre contrariété. Les parents prennent systématiquement parti pour leurs enfants et cèdent à tous leurs caprices. Ce tableau est sans précédent dans l’histoire, il mérité d’être souligné ! 
     
    Le résultat est préoccupant. Car, si les milieux cultivés parviennent avec leur progéniture au minimum requis, il n’en va pas de même pour les autres. Le système actuel fabrique tous les ans trop d’enfants qui finissent leur parcours scolaire avec moins de 400 mots de vocabulaire et qui confondent Napoléon et Louis XIV. Ces jeunes parlent pratiquement par onomatopées et slogans comme les spots publicitaires. Le déficit lexical entraine un déficit analytique. Mais ceux sont surtout les besoins insatisfaits qui se transforment en frustration parce que l’apprentissage de la limite n’a pas été effectué. Toutes ces frustrations se transforment en violence. On a de quoi s’inquiéter.
     
    On comprend maintenant pourquoi le mot éducation n’a plus la cote... Il signifie "conduire hors de", on lui préfère dans les milieux autorisés le mot formation qui est le substantif de " formater". On a compris effectivement le complément circonstanciel.
     
    La violence à l’Ecole ne fait que commencer, car le débat sur les véritables raisons est politiquement incorrect et remettrait trop de choses en question, à commencer par la consommation...
     
    Eric de Trévarez
     

    par Eric de Trévarez lundi 3 mai 2010


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