• ENCORE PLUS D'IMPOTS SUR LES CRETINS D'EUROPEENS
    du 18 au 21 novembre 2009 : Vous ne savez pas, mais le Belge Herman Van Rompuy est le candidat de Sarkozy et de Merkel pour le poste de président de la CEE et son programme est simple: "plus d'impôts", dans le sens "encore plus". Bruno Waterfield du Telegraph a écrit que lors d'une soirée secrète organisée par le groupe Bilderberg (oui) et le vicomte Etienne d'Avignon pour pousser sa candidature, le Flamand a laché quelques confidences au journal De Tijd sur son programme... Par exemple, une TVA européenne en plus de la nationale... Cool. Quand le peuple lui mettra une balle dans la tête, il lui donnera la TVA avec. Lire, avec une loupe, le Telegraph. Revue de Presse par Pierre Jovanovic © www.jovanovic.com 2008-2009


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  • Quand Bernard Laporte met BHL au tapis

    En somme, c'était un peu France-Angleterre, mais à Saint-Germain-des-Prés. Côté muscles, l'ancien entraîneur et secrétaire d'Etat UMP, habitué des dérouillées sauvages et des troisièmes mi-temps bien arrosées au Floc de Gascogne. Côté neurones, notre meilleur philosophe dont le maillot, plus connu sur les plateaux TV que sur les pelouses des stades, n'est pas moins reconnaissable que celui des All Blacks: all costard, lui, avec la chemise ouverte jusqu'au ceinturon. All Black and White.

     

    h-20-1280914-1223221371[1].jpgSacrée rencontre! Dans le livre qu'il publie aux Presses de la cité, et où il règle ses comptes, Bernard Laporte vous refait le match en léger différé. C'était dans le Parisien hier, et ça vaut tous les Brive-Agen au championnat de France. «Invité du Grand Journal de Canal +, le pseudo-philosophe ne mâche pas ses mots», raconte Laporte. C'est qu'il s'y connaît, lui, en philo. Pseudo-philosophe! Pardi, pas besoin d'avoir lu Kant pour savoir que l'œuvre de BHL ne va pas traverser les siècles à bord d'un car affrété par la Fédé.

     

    Laporte continue, furibard comme on va voir. Car BHL a mis en cause sans le nommer notre sanguin sportif, à une époque où celui-ci passait pour le père possible de l'enfant de Rachida Dati: «Cette bande de petits mâles et de porcs qui défilent pour faire des communiqués de presse, pour dire qu'ils ne sont pas le père de Rachida Dati, c'est absolument immonde!», avait déclaré BHL. Evidemment, Laporte se sent visé: «Le sang bout dans mes veines», écrit-il. «Nous demandons le script de l'intervention de BHL à Canal +. A la lecture, j'éructe. Je compose le numéro, Bernard-Henri Lévy décroche

     

    Au passage, admirez le style. L'accélération digne d'une Sagan à moteur trafiqué: rien sur la recherche du numéro, les pages jaunes inutilement consultées, le téléphone enfin identifié grâce au confrère du Ministère de l'Intérieur. En somme, Laporte est comme sur le terrain, en train d'hurler sur ses joueurs. Il lit, il décroche. Il n'explique même pas l'objet de son appel car déjà la réponse fuse, comme le ballon dans les mains du capitaine: «Culotté, il me soutient qu'il y a un malentendu, que ce ne sont pas les propos qu'il a tenus. Contrit et penaud, il s'excuse platement. Il m'explique qu'il n'aime pas José Maria Aznar, que son commentaire visait le Premier ministre espagnol, pas moi.» Intellectuel, zéro, Musclor, 4.

     

    168759-rachida-dati-et-bhl-637x0-2[1].jpgSauf que BHL ne sait pas encore que, pour un rugbyman, l'essai ne suffit pas. C'est transformer qu'il faut faire: «Je fulmine. Je n'en ai rien à faire, de ses excuses. Dans le sport, quand tu fais un coup interdit, tu es viré sur-le-champ. Je lui décerne un carton rouge.» Décerne! L'admirable mot, dans la bouche du self-made-man. Décerne, comme on décerne un diplôme, celui du DEUG, du Capes, peut-être! Gageons du reste que BHL eût été plus assuré à l'oral de Normale Sup qu'au téléphone avec un Laporte prêt à lui démontrer - sujet bateau s'il en est - que l'homme est bien un loup pour l'homme.

     

    Arrive la fin du match. C'est clairement la victoire pour Laporte et, pour BHL, la déculottée. Du jamais vu en rugby, un pareil score. Le néo-philosophe est à terre. Ce qui n'empêche pas Laporte de lui coller un coup de crampons en guise de café gourmand: «Je crois que vous vous êtes trompé, Monsieur. C'est vous le porc.» Et d'ajouter, royal soudain, mais toujours sportif dans le choix de son vocabulaire: «Il me semble qu'il mesure sa chance de ne pas se trouver en face de moi. Il se confond en excuses, je raccroche au terme de cette explication virile


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  • Angolagate : Pasqua lache les chiens !

    Par Marc Vignaud

    Angolagate : la charge de Pasqua contre Chirac et Villepin

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    "Oui, ils savaient, oui, ils en ont tiré un avantage politique." C'est peu après 15 heures, jeudi, que Charles Pasqua rompt le silence et déroule ses "révélations" sur l'affaire dite de l'Angolate pour laquelle il a été condamné à un an de prison ferme fin octobre. "Un jugement qui me scandalise et que je n'accepte pas", insiste-t-il avant d'affirmer : "En décembre 1995, Jacques Chirac, Dominique de Villepin (à l'époque secrétaire général de l'Élysée), Charles Millon (ancien ministre de la Défense) étaient informés des ventes d'armes vers l'Angola. Cette opération s'est faite avec l'aval du président de la République." Et de souligner qu'"aucun d'entre eux n'a été entendu par le magistrat instructeur. Aucun d'entre eux ne s'est opposé à ces opérations." "Comment, puisque la justice a estimé que ces ventes d'armes sont illégales, ces autorités n'ont rien fait pour arrêter ces opérations et ne sont-elles pas poursuivies pour complicité ?" s'interroge Pasqua avec son habituelle faconde...

    Il poursuit sa charge : "Dans toute cette affaire, l'ancien président de la République n'a jamais assumé ses responsabilités, il en est de même de Dominique de Villepin. Tous les deux ont manqué à leur devoir."


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  • ça va saigner... 

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    </btn_noimpr>Pasqua : «On m'a cherché, on va me trouver»
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    En vieux renard de la politique, Charles Pasqua occupe le terrain médiatique depuis sa condamnation, lundi, à un an de prison ferme dans l'affaire de l'Angolagate. <btn_noimpr> </btn_noimpr>

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    Avant un éventuel procès en appel, il a décidé de privilégier une cible : Jacques Chirac, alors que ce dernier vient d'être renvoyé en correctionnelle dans le dossier des emplois fictifs de la Ville de Paris.

    Ce samedi, c'est dans le Journal du Dimanche qu'il s'en prend à nouveau à son ancien mentor, bien qu'il juge «triste mais aussi un peu indigne» son renvoi en correctionnelle. A propos de l'Angolagate en revanche, il réclame toujours la levée du secret défense dans cette affaire de trafic d'armes remontant aux années 1990.

    «Je suis un animal de combat. On m'a cherché, on va me trouver», affirme-t-il  au JDD. Charles Pasqua a été condamné pour trafic d'influence à trois ans de prison, dont deux ans avec sursis et une amende de 100 000 euros. Il affirme, ni plus ni moins, que Jacques Chirac, alors président de la République, aurait «débloqué 900 000 francs» pour la libération des deux pilotes français détenus en Bosnie et libérés fin 1995. Pasqua assure que cet argent lui a été remis par Dominique de Villepin, alors secrétaire général de l'Elysée.

    «J'estime que dans cette affaire la justice n'a pas bien fait son travail. C'est grâce à Arcadi Gaydamak (ndlr : lui aussi condamné), qui est un ancien du KGB, que nous avons pu faire libérer nos deux pilotes détenus par les Serbes. Le président de la République Jacques Chirac et ses collaborateurs le savent bien. Je le démontrerai en appel.» Homme d'affaires franco-israélo-canado-angolais d'origine russe, Arcadi Gaydamak, proche des services de renseignement russes et de certains oligarques russes, avait servi d'intermédiaire dans l'affaire des ventes d'armes vers l'Angola.

    «Concernant Villepin, cela ne sera jamais qu'un mensonge de plus»

    «Quand je vois qu'Alain Juppé, Edouard Balladur, ou même Villepin ne se souviennent de rien, cela n'est pas sérieux !», insiste Pasqua. «Concernant Villepin, cela ne sera jamais qu'un mensonge de plus. Je demande donc la levée du secret-défense sur cet épisode. J'avais même remis personnellement un rapport à Jacques Chirac, écrit de la main de Jean-Charles Marchiani. Chirac sait bien que la médaille du mérite accordée à Arcadi Gaydamak était légitime. En tout cas, le président était parfaitement au courant», assure le sénateur des Hauts-de-Seine.

    Au JDD, il répète que «ses ennuis (judiciaires) ont commencé en 2000», quand il a dit être «candidat à la présidentielle de 2002». «Il est évident (...) que si j'avais été candidat, Jacques Chirac n'aurait jamais été élu. Il aurait été battu par Lionel Jospin. Tout a été fait pour m'éliminer. Un juge s'en est chargé», accuse-t-il.


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  • Affaire Coupat: «Des anomalies et des contradictions dans l'enquête»

    Irène Terrel (G) et Steeve Montagne (C) avocats de Julien Coupat et Yldune Lévy, devant la presse le 2 décembre au palais de Justice de Paris
    Irène Terrel (G) et Steeve Montagne (C) avocats de Julien Coupat et Yldune Lévy, devant la presse le 2 décembre au palais de Justice de Paris/Francois Guillot AFP/Archives

    JUSTICE - C'est ce qu'affirment des avocats de la défense...

    Un an après le sabotage de lignes SNCF, dans la nuit du 7 au 8 novembre 2008, l’enquête stagne. Et la défense, elle, «révèle des incohérences de la version policière quant à l’implication de Julien Coupat et de sa compagne», explique Libération ce lundi.

    >> Retrouvez tous nos articles sur l'affaire ici
     
    Première incohérence: les marques de pas et les traces de pneus de voitures, aux abords de la voie ferrée sabotée, ne correspondent ni aux pointures du couple Coupat ni aux roues de sa voiture.
     
    «Qu’a-t-on voulu cacher?»
     

    Autre élément troublant: la filature du couple, mise en place par la police, justement le soir du sabotage, donne des éléments qui semblent incompatibles. «Selon le procès-verbal, il s’est écoulé dix minutes entre les deux points de stationnement (de la voiture de Julien Coupat, ndlr). L’itinéraire emprunté entre les deux arrêts est également indiqué. Or la distance parcourue étant de 26,6 kilomètres, la vitesse moyenne de la voiture aurait dû être de 159,6 km/h.», estiment les avocat de Julien Coupat.
     
    «Il  y a des incompatibilités spatiales et temporelles», estime William Bourdon, l’un des avocats, dans les colonnes du quotidien. «Cela suggère un maquillage, une reconstitution a posteriori. Qu’a-t-on voulu cacher?». La défense devrait demander au juge d’instruction d’entendre les fonctionnaires chargés de la filature du couple Coupat.

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  • La piste de l'assassinat de Boulin relancée

     

    L'étang où le corps a été retrouvé.
    L'étang où le corps a été retrouvé./ STF / AFP

    Ils sont prêts à témoigner de « leur vérité ». Trente ans après la mort de Robert Boulin, de nouveaux aveux ont relancé, hier, la piste de l'assassinat politique. Pressenti pour Matignon, le ministre du Travail de Valéry Giscard d'Estaing avait été retrouvé mort dans 50 cm d'eau dans l'étang du Rompu à Saint-Léger-en-Yvelines en 1979. La justice avait conclu à la thèse d'un suicide après absorption de barbituriques.

    Mais de nouveaux témoignages, révélés hier par France Inter, contestent cette version officielle. « Un policier assure que son oncle a assisté à l'assassinat, un autre confirme que les mains de mon père étaient liées quand on l'a sorti de l'étang, nous explique Fabienne Boulin, la fille du ministre. Avec ces nouveaux éléments, le juge ne peut que rouvrir l'enquête. »

    En fait, ces « nouveaux éléments » étaient connus dès 2007 et la publication d'Un homme à abattre*. La seule chose qui change, c'est que les auteurs de ces révélations sont aujourd'hui prêts à témoigner devant la justice. Parmi eux, la fille d'Alexandre Sanguinetti, l'un des proches de Robert Boulin. « Mon père m'avait clairement parlé d'un assassinat. Robert Boulin avait vu des choses qu'il n'aurait pas dû voir [un réseau de fausses factures], raconte-t-elle. A la mort de mon père, j'ai aussi reçu la visite de personnalités politiques qui cherchaient des documents. Juste après, nous avons été cambriolés deux fois... » Deux ans après avoir essuyé un refus de la justice française, Fabienne Boulin compte donc réclamer la réouverture de l'enquête. « Cette fois-ci, on ira jusqu'à la Cour européenne des droits de l'homme s'il le faut ! » W

    Vincent Vantighem


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  • Le monde agricole est en train de crever

    Tout un symbole. Eux qui disent être fauchés comme les blés ont déposé des bottes de paille devant le Fouquet's, le restaurant où Nicolas Sarkozy avait fêté son élection présidentielle en 2007.

    A l'appel de la FNSEA, les agriculteurs ont quitté leurs exploitations ce vendredi pour faire entendre leur détresse face aux difficultés économiques qu'ils traversent, la plus grave crise de ces trente dernières années. Lait, légumes et fruits, viticulture, viande bovine et porcine, céréales: en août, les prix agricoles ont baissé de 2,5% par rapport à juillet et de 15% sur un an, selon l'Insee.

     

    «Le monde agricole est en train de crever, a déclaré Damien Greffin, le président des JA d'Ile-de-France, céréalier à la tête d'une exploitation de 150 hectares. Ce qu'on demande, c'est une hausse des prix des matières premières. Actuellement, un kilo de blé se vend 9 centimes, pour un prix de production de 14 centimes. Si ça continue comme ça, on va délocaliser toute l'agriculture et dans dix ans il n'y aura plus un seul agriculteur en France.»


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  •  

    Discours de Vaclav Klaus au parlement européen

     

    Discours de Vaclav Klaus au parlement européen, mettant une gifle aux bien pensant fascistes de la nouvelle union soviétique.Vous allez voir, certains super corrompus se lèvent et s’en vont !

     

    Le Times écrivait hier qu’il avait appris que « lors d’une promenade, dimanche », Vaclav Klaus avait « dit à des sympathisants qu’il ne signerait jamais » le traité de Lisbonne. Le journal précisait : « A quelqu’un qui lui demandait de ne pas mettre son nom sur le traité, il a répondu : Ne vous en faites pas, je ne le ferai pas. » (Don’t worry, I won’t.) Le journal ajoutait que cela pourrait permettre à David Cameron d’avoir le temps d’organiser un référendum en Grande-Bretagne.


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  • SARKONNECTION

     


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  • Patrimoine : les cachotteries de Dati

    Reuters
    Rachida Dati. Photo : Reuters
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    L'eurodéputée a omis de signaler au Parlement européen qu'elle avait créé une société de conseils aux entreprises.

    Trois mois après son élection au Parlement européen, Rachida Dati, l'ex-garde des Sceaux, est la cible d'une polémique sur la compatibilité de ses activités de député et d'entrepreneur. S'est-elle dérobée à ses obligations de transparence en omettant d'indiquer, dans la déclaration individuelle d'intérêts financiers, une société de conseil qu'elle a créée ?

    L'ancienne ministre a déposé les statuts d'une société baptisée « La Bourdonnais Consultants », après son élection à Strasbourg. Toutefois, elle n'a pas mentionné l'existence de l'entreprise dans la déclaration individuelle d'intérêts financiers qu'elle a remise aux services du Parlement européen.

    Cette déclaration est exigée par le Parlement pour éviter tout conflit d'intérêts. Or c'est ce qui aurait pu se produire si Rachida Dati, qui est membre de la commission économique et monétaire et de la commission de l'industrie, avait obtenu, comme elle le souhaitait, la rédaction du crucial rapport sur les fonds spéculatifs.

    « Mme Dati est tout à fait en règle avec le Parlement européen. Elle n'exerce absolument aucune activité qui la mette en situation de conflit d'intérêts », affirme son cabinet, précisant qu'elle ne percevait aucun revenu de La Bourdonnais Consultants, société pour l'heure « inactive ».


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  • Les francs-maçons de Sarkozy

    Influence. Les « frères » sont nombreux autour du président, révèle Sophie Coignard dans un livre dérangeant.

    Sylvie Pierre-Brossolette

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    Les francs-maçons ? Ils sont partout, jusqu’au coeur de l’Etat. C’est en tout cas la conclusion de notre consoeur et collaboratrice au Point Sophie Coignard.

    Dans un livre extrêmement documenté, elle met en lumière le rôle de cette confrérie aussi mythique que réelle, qui ne cesse d’alimenter les fantasmes sur son pouvoir supposé. Confiant qu’elle-même a longtemps oscillé entre deux attitudes-le scepticisme et la conviction-, son enquête l’a persuadée que les francs-maçons exerçaient encore au XXIe siècle une influence prépondérante, voire croissante, en particulier dans les sphères publique et économique. Gouvernement, administration, entreprises, banques, rares sont les secteurs où ils ne sont pas présents. « Tandis que l’autorité de l’Etat tombe en lambeaux, que les corps intermédiaires n’existent plus, que la notion de service public a perdu de son sens, les francs-maçons, ou du moins certains d’entre eux, deviennent des médiateurs, des facilitateurs, voire des décideurs. Progressivement, ils ont donc reconstitué un Etat dans l’Etat. »

    Puissance

    Une affirmation que tente de relativiser un des plus connus d’entre eux, Alain Bauer, ancien grand maître du Grand Orient et super-conseiller de Nicolas Sarkozy. En décembre 2007, il déclare à l’auteur : « Ce gouvernement est le plus a-maçonnique qui soit, puisque nous sommes à zéro franc-maçon. Même sous le gouvernement du maréchal Pétain à Vichy, il y en avait, hélas. » Bauer sera pris à contrepied. Car, quelques semaines plus tard, Brice Hortefeux, qui n’est pas le moins voyant des ministres, ne dément pas avoir longtemps fréquenté les colonnes du temple. Puis l’on apprend que Xavier Bertrand est membre du Grand Orient, ce qui suscitera, dit-on, ce bon mot de François Fillon : « Je ne suis pas étonné de le découvrir maçon ; mais franc, cela m’en bouche un coin... » A droite, même si l’on est plus discret qu’à gauche sur son appartenance maçonnique, on est donc bien présent dans les loges. Et, si le chef de l’Etat n’est pas de la « famille », il en prend grand soin, sachant son poids (voir extraits pages suivantes).

    « Jamais je n’aurais pensé que les francs-maçons étaient aussi puissants ! » Cette réflexion effarée de Jean-Pierre Raffarin vient d’un épisode vécu lorsqu’il était Premier ministre. Il en garde un très mauvais souvenir : la mobilisation fraternelle l’a en effet empêché, malgré tous ses efforts, de nommer à la tête d’EDF, bastion franc-maçon, l’ancien ministre Francis Mer à la place de François Roussely, qui admet être proche des frères pour les avoir beaucoup fréquentés. Pour le défendre, un déluge de coups de téléphone s’abat sur Matignon. Il y avait tous les jours un appel de Bauer et un autre d’Henri Proglio, patron de Veolia, qui dément très mollement être initié. La bataille dure des semaines. Pour finir, les ligueurs ne sauvent pas Roussely, mais ont la peau de Mer. Raffarin en tremble encore.

    Fleurons

    Les francs-maçons détiennent de nombreux bastions, comme les mutuelles, le « paradis des frères », ou Bouygues, ou encore Eiffage. Malgré la privatisation de nombreuses entreprises publiques où les francs-maçons étaient très présents, ces derniers ont conservé leur place à tous les étages de la hiérarchie, conseils d’administration compris. C’est le cas de La Poste et de France Télécom, qui ont succédé au ministère des PTT, véritable pépinière fraternelle. Idem pour Air France, où les dirigeants comme les pilotes connaissent un taux d’initiation bien supérieur à la moyenne nationale.

    Sophie Coignard nous fait ainsi découvrir tout au long de son livre les dessous de nombre de nominations ou d’opérations. On est parfois sidéré, voire choqué, que de tels réseaux puissent exister à l’heure de la modernité et de la transparence. Certes, d’autres puissants lobbys ont partout leur mot à dire. Mais les francs-maçons auront réussi le tour de force d’être à la fois le plus ancien et le plus secret des réseaux. Son mystère a fait sa force. Le voici aujourd’hui en partie dévoilé


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  • Un nouvel adepte du "niquisme"

    besson Eric

    Eric Besson , ministre de l’immigration, serait-il victime d’un syndrome de mimétisme avec les banlieues ? Alors qu’il participait à une table ronde avec des jeunes UMP, il a cru bon d’illustrer la question d’un journaliste sur Philippe de Villiers par un « doigt d’honneur », une gestuelle ordurière sensée exprimer une opinion.

    L’élève dépasse le maître

    Notons à la décharge de ce ministre incompétent que ce comportement d’une rare indécence s’inscrit parfaitement avec la goujaterie d’une présidence où l’on se croit autorisé à composer des SMS lors d’une audience pontificale ou à mâchonner un chewing-gum lors d’un déplacement officiel.

    Quant à Philippe de Villiers, la dernière acquisition de la solderie sarkozyste, il sait maintenant grâce à cette réaction imagée d’un ministre -comme lui acheté- ce que, dans le premier cercle présidentiel, on pense de son arrivée.

    Qu'est-ce queLe Niquisme ?

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  • Mensonges et petites combines : derrière l’affaire Hortefeux, Copé assume des intentions liberticides

    copéPour Copé, le journalisme doit être de la propagande organisée
    Décidément, lorsque les leaders UMP se lâchent, on en apprend de belles. Pour tenter de venir en aide au soldat Hortefeux, pris en flagrant délit de sincérité sur l’immigration, Jean-François Copé remet en cause la liberté d’internet. Lui qui a signé un livre intitulé « promis j’arrête la langue de bois » ne semble en effet pas disposer à accepter la transparence.

    Avec une décontraction qui frise la provocation, le président du groupe UMP oppose donc la liberté de la toile qui permettrait de diffuser des images sans contrôle au « journalisme » qui produirait « de vrais reportages » (sic).

    Le coupable ce n’est pas Hortefeux mais internet

    “Le vrai sujet n’est pas sur la scène elle-même” mais la façon dont la vidéo a atterri sur internet et dont “l’ensemble du monde médiatique” s’est “emballé sur cette histoire”, avait-il estimé. “Il y a derrière ça un débat de fond qui est celui du rôle que nous allons laisser à internet en matière de diffusion de l’information“, a insisté Jean-François Copé. “Je crains que si on met sur un pied d’égalité des images comme celles-ci, dont je persiste à dire qu’elles sont sorties de leur contexte, avec d’authentiques reportages, il y a un vrai risque de discrédit pour votre profession”, avait-il encore dit à l’adresse du journaliste qui l’interrogeait.

    Ces propos qui suggèrent la mise sous contrôle politique d’internet sont évidement scandaleux et devraient soulever une indignation générale. Ils rappellent aux journalistes prétendument libres qu’ils ne sont généralement que les obéissants faire-valoir du pouvoir ; à tous les citoyens, ils rappellent les intentions liberticides des sako-boys.


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  • On toujours gagné ça !!! suite

    Après la diffusion par Le Monde.fr des images de Brice Hortefeux à l'université d'été de l'UMP, plusieurs membres du gouvernement et de l'UMP ont émis de vives critiques sur le rôle que joue aujourd'hui Internet dans la diffusion d'images et d'informations. Ces images, qui montrent un dérapage de M. Hortefeux sur les origines maghrébines d'un militant de l'UMP, ont été visionnées plus d'un million de fois par le biais des sites d'information et des réseaux sociaux.

    Interrogé lundi matin sur France 2, Jean-François Copé a estimé qu'il faudrait "un débat public sur la question d'internet et de la liberté". Sur France info, Henri Guaino dénonçait vendredi "une transparence absolue qui est le début du totalitarisme". Patrick Devedjian et Eric Besson ont, eux aussi, estimé qu'il s'agissait d'un "piège", "d'un buzz extraordinaire (...) à partir de pas grand-chose".

    Ces déclarations ne sont pas uniquement une marque de soutien au ministre de l'intérieur, après les demandes de démission de la gauche et la polémique déclenchée par ces images. Elles s'inscrivent dans un cadre plus global, celui d'une vision politique de <st1:personname productid="la Toile." w:st="on">la Toile.</st1:personname>


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  • Vidéo/Hortefeux : "scandaleux" (Le Pen)

    AFP
    11/09/2009 | Mise à jour : 17:34 <script language="JavaScript" type="text/javascript">// <![CDATA[ figcom_sep_bulle='avec'; // ]]></script> <script type="text/javascript" src="http://www.lefigaro.fr/media-communautaire/js/profil/figaro/nbcmt.php?article=20090911FILWWW00503"></script> <script language="JavaScript" type="text/javascript">// <![CDATA[ figcom_sep_bulle=false; // ]]></script> <script language="JavaScript" src="http://www.lefigaro.fr/media-communautaire/js/ssoLibrary.js.php"></script> <script type="text/javascript" src="http://www.lefigaro.fr/media-communautaire/js/jsxmlrpc/xmlrpc_lib.js"></script> <script type="text/javascript" src="http://www.lefigaro.fr/media-communautaire/js/profil/figaro/ajouter_selection.js"></script> |

    Jean-Marie Le Pen a jugé aujourd'hui que le "tollé soulevé" par les propos équivoques de Brice Hortefeux sur un jeune militant UMP d'origine arabe, était "scandaleux". "Ce serait comique si ce n'était pas scandaleux. Non pas la déclaration de Brice Hortefeux qui n'a aucune importance mais le tollé que cela soulève dans l'opinion", a dit le président du Front national. "Il y a désormais en France une censure antiraciste qui s'exerce par l'intermédiaire des médias", a-t-il dénoncé.

    Mais, a ajouté le président du FN, "Brice Hortefeux y a prêté la main lui-même; il a mis à la retraite d'office un ambassadeur (le préfet Paul Girot de Langlade, ndlr) accusé d'avoir tenu un propos déplaisant paraît-il pour les immigrés lors d'un contrôle à l'aéroport".

    "Petit à petit l'espace de liberté d'opinion des Français se restreint, même l'humour n'est plus accepté. Il faut que les Français exigent la liberté de parole. C'est le temps de la gestapo, jamais plus ça", a-t-il dit.

    Sans être proUMP(loin de là) , ce genre de buzz à la con commence à me gonfler !!! WR


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  • Fillon : «Je m'engage à ne pas augmenter les prélèvements obligatoires»

    Propos recueillis par Alexis Brézet et Carl Meeus
    04/09/2009 | Mise à jour : 16:59 <script language="JavaScript" type="text/javascript">// <![CDATA[ figcom_sep_bulle='avec'; // ]]></script> <script type="text/javascript" src="http://www.lefigaro.fr/media-communautaire/js/profil/figaro/nbcmt.php?article=20090905ARTFIG00113"></script> <script language="JavaScript" type="text/javascript">// <![CDATA[ figcom_sep_bulle=false; // ]]></script> <script language="JavaScript" src="http://www.lefigaro.fr/media-communautaire/js/ssoLibrary.js.php"></script> <script type="text/javascript" src="http://www.lefigaro.fr/media-communautaire/js/jsxmlrpc/xmlrpc_lib.js"></script> <script type="text/javascript" src="http://www.lefigaro.fr/media-communautaire/js/profil/figaro/ajouter_selection.js"></script> |

    François Fillon à son bureau lundi soir. Le Premier ministre est décidé à poursuivre «l’effort de maîtrise de la dépense publique dans le budget de l’Etat 2010».
    François Fillon à son bureau lundi soir. Le Premier ministre est décidé à poursuivre «l’effort de maîtrise de la dépense publique dans le budget de l’Etat 2010».

    Conseil Webrunner : allez vous acheter des tubes de vaseline


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  • La chronique médicale de Christophe Barbant

    Lorsque nous avons un ennui quelconque, nous savons que notre ami Christophe Barbant ne possède pas de réponse mais peut néanmoins nous fournir une analyse judicieuse.


     



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    AU BON BEUR

    On s’en souvient, une enquête de la cellule anti-blanchiment Tracfin avait dévoilé il y a peu les colossaux mouvements de fonds entre le très dépensier Julien Dray et certaines organisations “amies”. Le rapport remis le 13 juillet au procureur de la république de Paris, le confirme.

    Entre 2005 et 2008, le député socialiste a acheté notamment pour 130 000 euros de montres et de stylos de luxe et, bien que le fripon affirme : “Je ne suis pas un irresponsable dépensier, je ne suis en rien un homme qui vit dans la luxure”, il a dilapidé 2,087 millions d’euros alors qu’il n’en a perçu que 1,631 millions tous revenus confondus.

    Portrait - Julien Dray - FrenchGallery

    Tout aussi coupables sont SOS-Racisme et la Fédération indépendante et démocratique lycéenne (FIDL) qui ont financés à fonds perdus ces gaspillages compulsifs alors que, comme le rappelle Le Monde, “SOS-Racisme et ses satellites sont financés par les contribuables à hauteur de 90%”.

    La FIDL étant pour sa part grassement subventionnée par l’éducation nationale et le Conseil régional d’Ile-de-France qui lui a alloué 50 000 euros en 2008, SOS-Racisme ayant reçu 100 000 euros en 2007 et la Maison des potes, pseudopode de l’organisation anti-raciste, 600 000 euros.

    Coïncidence : cofondateur de SOS-Racisme, Dray est également vice-président du conseil régional chargé… de la politique de la Ville et de la Jeunesse ! Autrement dit, c’est lui qui ventilait les fonds qui lui étaient libéralement alloués.


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  • Le syndrome d' hubris : la maladie du pouvoir

    Perte du sens des réalités, intolérance à la contradiction, actions à l'emporte-pièce, obsession de sa propre image et abus de pouvoir : tels sont quelques-uns des symptômes d'une maladie mentale récemment répertoriée qui se développerait durant l'exercice du pouvoir.
    C'est le syndrome d'hubris.
    Sebastian Dieguez

    Dans ses Discours sur la condition des grands, Pascal jugeait utile d’éduquer les futurs puissants en leur rappelant que leur détention du pouvoir tenait avant tout du hasard : « Surtout ne vous méconnaissez pas vous-même en croyant que votre être a quelque chose de plus élevé que celui des autres […] Car tous les emportements, toute la violence, et toute la vanité des Grands vient de ce qu’ils ne connaissent point ce qu’ils sont. » Le pouvoir exerce une fascination indéniable, autant sur ceux qui le subissent que sur ceux qui l’exercent. Assurément, l’exercice du pouvoir n’est pas une activité comme une autre et n’échoit pas au premier venu, mais les « Grands » se souviennent-ils suffisamment de leur condition de simple mortel ? Un livre et un article récents plaident pour l’instauration d’une nouvelle entité médicale qui concernerait les personnalités politiques dirigeantes : elles seraient « intoxiquées » par un étrange agent pathogène – le pouvoir – les conduisant à manifester un narcissisme pathologique.

    L'auteur

    Sebastian Dieguez est neuropsychologue au Laboratoire de neurosciences cognitives du Brain Mind Institute de l’École polytechnique fédérale de Lausanne, en Suisse.


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  • Le bal des maudits :

    Philippe de Villiers prêt à faire alliance avec l'UMP

    AFP

    Philippe de Villiers prêt à faire alliance avec l'UMP

    Philippe de Villiers prêt à rejoindre la majorité présidentielle © ERIC FEFERBERG / AFP

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    Philippe de Villiers, président du Mouvement pour la France (MPF), se dit prêt à rejoindre la majorité présidentielle et à faire alliance avec l'UMP en vue des "prochains combats électoraux", notamment les régionales de mars 2010, dans un entretien au quotidien Ouest-France mardi.


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