• La question que l'on ne doit pas poser....

     


    votre commentaire
  • Quelqu’un a-t-il compris le discours d’Obama ?

    En me basant sur un pot-pourri de phrases de son discours (1), je m’interroge sur la santé mentale de ce Président des Etats-Unis, dont les qualités potentielles n’ont pas encore réussi à s’exprimer depuis le début de sa mandature.

    Attention il y a du second degré, c’est un essai d’exploration des contradictions que font émerger l’examen de quelques conséquences logiques. Le pot-pourri du Figaro suffit largement à mes besoins, je n’ai pas lu ou écouté son discours, comme beaucoup j’ai d’autres priorités. Et donc, il faut être conscient qu’une mésinterprétation liée à la traduction ou à la décontextualisation est toujours possible.

    Citations

    « Mes accomplissements ne sont pas à la hauteur de ceux d’un Martin Luther King ou d’un Mandela »

    Très bonnes références (mais pourquoi que des noirs, et Gandhi par exemple ?), quant à reconnaître le manque de résultat sur le plan du progrès humain, cela semble lucide et honnête.

    « Les hommes et les femmes emprisonnés car ils se battent pour la liberté... ces inconnus le méritent plus que moi »

    De qui parle-t-il exactement ?

    Des prisonniers de Guantanamo ? De tous les prisonniers issus des guerres larvées entretenues par les USA ? En effet, pourrait-on nier que dans une large majorité ces prisonniers se sont battus pour leur liberté et celle des leurs ?

    Donc, s’ils méritent plus le nobel que Barack, pourquoi ne les libère-t-il pas ? 

    Pourquoi emprisonne-t-on des gens qui méritent plus le prix nobel de la Paix que Barack Obama ?

    Mais je dois mal interpréter, il parle d’inconnus. Ceux qui sont dans ses geôles lui sont potentiellement connus, donc la question reste entière, de qui parle-t-il ? La réponse est-elle qu’il s’agit d’une figure de style un peu creuse, à l’instar de certaines charges d’obus ?

    Ensuite, le Figaro écrit qu’Obama a défendu le concept de « guerre juste ».

    Bon, pourquoi rejeter cette hypothèse théorique. Mais passons à la pratique. Au vu des données empiriques sur les guerres d’Irak et d’Afghanistan, en quoi ces deux guerres sont-elles justes ?

    Justes pour qui d’ailleurs ?

    Approfondir cette question pourrait être de prime importance pour Monsieur le prix Nobel.

    (le figaro) le démocrate a souligné « la dure vérité qui veut que les conflits armés ne seront pas éradiqués de notre vivant »

    Est-ce une constatation ou un choix politique ? En quoi le Président des Etats-Unis ne serait pas capable d’éteindre le feu guerrier de ses troupes ? 

    S’il peut les éteindre, la continuation des conflits armés n’est pas une fatalité.

    C’est un choix.

    Un choix de prix Nobel de la paix.

    « Dire vouloir la paix ne suffit pas à l’obtenir »

    Bon ok, les truismes maintenant. Question quand même : quels sont les pouvoirs du Président ? Ok il y a le Sénat qui n’est pas tendre. Mais au niveau des pouvoirs exécutifs et du devenir de leurs guerres, qui est au-dessus de lui ?

    Il y a forcément quelqu’un au-dessus de lui, puisque qu’il n’arrive pas à faire de progrès dans l’arrêt des guerres étatsuniennes.

    Ou alors, est-ce à cause du poids de l’administration ? 

    Ses décisions sont envoyées par courrier interne et le courrier se perd dans les méandres de l’administration, je ne vois que çà pour expliquer son impuissance !

    (le figaro) « Si la paix est l’objectif, la guerre est parfois justifiée », a-t-il insisté.

    Bon. Avec des peut-être on ne va pas loin (tout est possible si on cherche bien). Qui a un bon exemple de cas où la guerre est vraiment justifiée ? Je veux dire, quelque chose de consensuel, sans point de vue pseudo-ethnique ou religieux, forcément subjectif et non-consensuel. A part la guerre contre Hitler, bien sûr. Cela dit cet exemple n’est peut-être pas valable, en effet, ce ne sont pas les alliés qui ont déclenché la seconde guerre mondiale, or, il n’y a aucune raison sérieuse de soutenir que ce ne sont pas les USA qui ont décidé des guerres d’Irak et d’Afghanistan.

    En effet il y a un argument de poids en défaveur de l’argument du déclenchement de ces guerres en réponse à l’attaque d’Al-Quaïda : pourquoi alors entrer en guerre contre l’Irak et l’Afghanistan, et pas contre l’Arabie Saoudite le Pakistan, qui semblent nettement plus impliqués ?

    Ah si, Barack donne un exemple : « Un mouvement non violent n’aurait pu stopper Hitler ou persuader al-Qaida de déposer les armes  »

    Al-Qaida a déposé les armes et on ne m’a pas prévenu ?

    Mais que fait la presse !

    Il n’y en a toujours que pour Vercingétorix, çà doit être pour la préservation de l’identité nationale...

    « Avec le sang de nos citoyens nous avons œuvré à un monde plus juste de l’Allemagne à la Corée. Nous avons amené la démocratie dans les Balkans. Nous n’agissons pas par intérêt mais nous voulons un avenir meilleur pour nos enfants  »

    Bon je passe sur la Corée, par manque de jugement mûr sur ce sujet. Mais de quoi parle-t-il concernant les Balkans ? Il ne parle quand même pas du Kosovo ? Non, ce n’est pas possible, ou alors ce serait un Bush bis, entièrement déconnecté de la réalité, une pure marionnette ?

    Et quand il dit qu’ils n’agissent pas par intérêt, les faits montrent le contraire, il suffit de regarder qui s’enrichit et qui meurt. Je pense bien sûr aux marchands d’armes. Je déclare que les USA font ces guerres par intérêt (économique, politique, idéologique), c’est évident, sauf pour le microcosme cotonneux qui nous sert la soupe médiatico-débiloïde.

    « Même confronté à un adversaire qui ne respecte aucune règle, les Etats-Unis doivent rester la référence en matière de respect du droit dans la conduite de la guerre.  »

    Leur respect du droit dans la conduite de la guerre ? Non mais il tente d’égaler Bush ou quoi ? Est-ce du cynisme ou de la bêtise ?

    Sinon, à part çà, je comprends les membres du Nobel (tenter de susciter l’action est plus utile que de récompenser les faits accomplis) et je trouve que Barack a a priori du potentiel (un Kennedy bis ne serait pas déplaisant). Mais ce genre de discours théorique et de bons sentiments est assez inquiétant. Arrivera-t-il à sortir de la gangue de l’establishement qui l’entoure avant la fin de son mandat ? Rien n’est moins sûr...

    Evidemment, après avoir décidé d’envoyer 30 000 soldats de plus, la rédaction du discours pour recevoir le Nobel de la Paix n’est pas un exercice facile. Et c’est vrai que si on n’y prête garde, ces phrases étonnamment peu sérieuses peuvent donner le change. Ce but suffit à son staff, apparemment.

    En conclusion, si vous avez des réponses à ces questions ou même d’autres questions je lirai vos commentaires avec intérêt. Il s’agit de défricher un peu la pensée de ce Président du pays le plus puissant du monde. Si quelqu’un a un algorithme de décodage cohérent, qu’il en fasse part !


    votre commentaire
  • Madame est une ...

     


    votre commentaire
  • Les faux choix d'Obama

    Il parle de guerre quand on lui décerne le prix Nobel de la paix, annonce le retrait d’Afghanistan en même temps que des renforts, et promet la réduction des déficits en même temps qu’un nouveau plan de dépenses pour l’emploi… Barack Obama est bien le président de la synthèse par excellence… ce qui se trahit aussi par un tic de langage. Christopher Beam, analyste chez Slate, a relevé que Barack Obama parle sans cesse de “faux choix” (“false choice”, que les philosophes préfèreront peut-être traduire par “faux dilemme”). Dans son discours inaugural, il avait rejeté  “le faux choix entre notre sécurité et nos idéaux”. Cette semaine, il a dénoncé le “faux choix” entre “réduire nos déficits d’un côté et investir dans la création d’emploi et la croissance économique”. Quand on lui demande d’autoriser la recherche sur les cellules souches, il surmonte encore un “faux choix”, “entre la science et les valeurs morales”. Et au service de l’environnement, il met en garde: “Il y a eu des tensions entre ceux qui cherchent à conserver nos ressources naturelles au profit des générations futures et ceux qui ont cherché à tirer profit de ces ressources. Mais je suis ici pour vous dire que c’est un faux choix”.

    En répudiant tous ces faux choix, Barack Obama prend au moins clairement le contre-pied de George Bush et de son célèbre “Soit vous êtes avec nous, soit vous êtes contre nous, dans la guerre contre le terrorisme” (après le 11 septembre 2001), constate Christopher Beam. Pour Obama, “c’est une façon chic de dire: les choses sont plus compliquées que vous ne le pensez. Le monde n’est pas blanc ou noir. Ne soyez pas puérils!”. Sauf que souvent la formule peut aussi servir à masquer qu’il fait bel et bien un de ces choix, soupçonne Beam: “En disant sans cesse qu’il rejette les “faux choix”, Obama peut ainsi prendre en compte les deux côtés d’un argument, et masquer le fait qu’il choisit l’un des deux”. Sur l’Afghanistan, le choix est clairement celui de la force militaire, dans l’immédiat du moins. Sur le front économique, il y a bien en revanche “faux choix”: le chômage est au taux record de 10% de la population active tandis que le congrès se prépare ces jours-ci à relever encore de 1800 milliards de dollars le plafond de la dette publique (qui est actuellement de 12 000 milliards). Sans doute est-il là plus élégant de parler de “faux choix”, plutôt que de choix impossible.


    votre commentaire
  • Scandale à l’OMS : création de la fausse pandémie H1N1

     

    Vendredi 11 Décembre 2009


    Scandale à l’OMS : création de la fausse pandémie H1N1

    Surnommé « Dr. Flu », le professeur Albert Osterhaus, de l'Université Erasmus à Rotterdam en Hollande a été désigné par les chercheurs et les médias Hollandais comme l’homme étant au centre de l'hystérie mondiale autour de la pandémie de grippe H1N1. Osterhaus s’avère être la plaque tournante du réseau international pharmaceutique, apparenté à une véritable Mafia. Mais il est également le conseiller en chef de l'OMS pour les questions de grippe et aurait profité de sa position pour engranger pour son profit personnel des milliards d’Euros en vaccins soi disant pour guérir la grippe H1N1.
     
     
     Plus tôt cette année, la Seconde Chambre du Parlement Hollandais a ouvert une enquête sur le Dr. Osterhaus pour conflit d’intérêt et malversations financières. Ce ne seraient pas ses compétences scientifiques qui sont remises en question, mais le fait de s’être servi, selon le très réputé magazine Science, de la soi-disant pandémie de grippe H1N1, pour servir ses propres intérêts et ceux des entreprises privées pharmaceutiques.
     
     Voici la brève note publiée par Science à propos du Dr. Osterhaus le 16 Octobre 2009:  
     
     « Au cours des 6 derniers mois, on pouvait difficilement allumer sa télévision aux Pays Bas sans voir le visage du célèbre chasseur de virus, Albert Osterhaus, parler de la pandémie de grippe porcine. Ou du moins c’est ce qu’il nous a semblé. Osterhaus, qui dirige un laboratoire de virologie internationalement renommé au Centre Médical Erasmus, a été le Monsieur Grippe (Mr. Flu). Mais la semaine dernière, sa réputation en a pris un coup après qu’il ait été accusé de jouer sur la peur de la pandémie pour favoriser ses propres intérêts commerciaux dans la mise au point de vaccin.
    Etant donné que « Science » est allé voir la presse, la Chambre des Représentants Hollandaise a même lancé en urgence un débat à ce sujet. »
     
     Mais dès le 3 Novembre, le scandale était déjà maîtrisé, la Chambre des Représentants ayant refusé de demander au Dr. Osterhaus de couper tout lien avec le Centre Médical Erasmus. Pire encore, le Ministre de la Santé Hollandais, Ab Klink, un ami personnel du Dr. Osterhaus, pour noyer le poisson, a demandé à tous les scientifiques d’annoncer leurs liens avec le secteur privé. Il a minimisé l’affaire disant que le Dr. Osterhaus n’était qu’un conseiller auprès du gouvernement parmi d’autres et que ces liens avec le secteur privé était parfaitement connu et ne sortait en rien de l’ordinaire.
     
     Le Dr. Osterhaus est un gros poisson. Au cours des 2 dernières décennies, il a été au cœur de toutes les apparitions de virus à travers le monde. En 2003, au summum de la panique liée au SRAS, il a été engagé par l’OMS et comme à chaque fois, c’est comme s’il connaissait déjà toutes les réponses à l’avance, voila ce que conclue un rapport de l’UE à son sujet:

     
     « Il a une fois de plus montré sa compétence à avancer rapidement pour aborder un grave problème. Dans un délai de trois semaines, il a prouvé que cette maladie a été provoquée par un syndrome respiratoire aigu grave, tout nouvellement découvert, qui réside chez les chats ou les civettes et chez d'autres animaux carnivores [comme les chauves-souris]. »
     
     En 1997, après la mort d’un enfant de 3 ans par le virus H5N1, censé avoir été en contact avec des oiseaux, le Dr. Osterhaus a sauté sur l’affaire et a actionné ses lobbies en Hollande et en Europe pour faire monter la panique qu’une mutation du virus H5N1 a été transmis vers l’homme, il s’est ensuite vanté d’être le premier scientifique à avoir prouvé que le virus
    H5N1 pouvait se transmettre à l’homme.
     
     Sa campagne de panique autour du H5N1 a réellement commencé à décoller en
    2005 après avoir lié la mort d’un vétérinaire Allemand au virus H5N1. Il a alors réussi à convaincre le gouvernement Allemand d’abattre toute la volaille en Allemagne. Aucune autre victime du H5N1 n’avait par la suite été déplorée, ce qu’il a imputé à l’éviction des volailles.
     
     En 2005, il déclare sur BBC :  
     « … si le virus réussi effectivement à subir une mutation de telle manière qu'il puisse se transmettre d'homme à homme, alors la situation serait complètement différente, nous pourrions être au début de la pandémie. »
     
     Osterhaus a indiqué que les excréments d’oiseaux étaient à l’origine de la contamination, mais après analyse de 100 000 échantillons d’excréments d’oiseaux, pas un seul cas de H5N1 n’a été détecté.
    Aucune contamination de masse par le H5N1 n’a été observée, mais au passage, Roche et GlaxoSmithKline & Co ont vendu pour des milliards de médicaments Tamiflu et Relenza.
     
     En Avril 2009, après qu’un enfant ait été diagnostiqué au Mexique comme étant porteur du H1N1, la directrice de l’OMS, Margaret Chan, a aussitôt déclaré « l’état d’urgence pandémique ». La prevision de pandémie de longue date, répété à plusieurs reprises par le Dr. Osterhaus finit par voir le jour. Le 11 Juin 2009, Maragret Chan a déclaré l’alerte pandémique de niveau 6, la plus haute possible, impliquant que l’OMS a autorité sur les Etats signataires (192 dans le monde) de l’OMS,les obligeant à lancer une campagne de vaccination de masse. Bizarrement dans son discours Margaret Chan déclare tout de même :
     
     « Sur la base des preuves actuelles, une majorité écrasante des patients éprouvent des symptômes doux et ont un rétablissement rapide et complet, souvent en l'absence de toute forme de traitement médical. », ajoutant que « dans le monde entier, le nombre de décès est faible… nous ne nous attendons pas à voir un bond soudain et dramatique dans le nombre d'infections graves ou mortelles. »
     
     Voila qui est bien contradictoire et suscite des questions sur les véritables raisons qui ont motivé sa décision.
     
     En effet, il s’est avéré par la suite que Mme Chan a pris sa décision selon l’avis émis par le groupe d’experts de l’OMS, le Strategic Advisory Group of Experts (SAGE), dont le Dr. Osterhaus est l’expert clé, par ailleurs également Président du European Scientific Working group on Influenza (ESWI ).
    Ce qui est intéressant avec l’ ESWI c’est qu’il est financé exclusivement par les géants pharmaceutiques, également fabricants de vaccins
    : Novartis, Hofmann-La Roche, Baxter, GlaxoSmithKline, Sanofi Pasteur et d’autres.
     
     Le Dr. Osterhaus également le conseiller en chef pour les questions de virus pour le gouvernement Britannique et Hollandais, a émis ses craintes que le virus H1N1 pourrait muter en une forme proche du virus de la grippe Espagnole, jouant sur la peur, il a ainsi préconisé une vaccination de masse à travers le monde entier.
     
     JP Morgan a estimé les profits tirés de la pandémie de grippe de 7.5 à 10 milliards de dollars.
     
     Mais ce n’est pas tout, le Dr. Osterhaus compte parmi ses amis les docteurs Frederick Hayden et David Salisbury, tout également 2 membres du SAGE et Conseilleur auprès du gouvernement Britannique (tiens tiens encore !!!) et réputés pour être les plus fervent défenseurs des groupes pharmaceutiques.
    Voila un conseil d’experts qui semble bien impartial !!!! (ironie)
     
     Dans une interview avec le magazine Allemand Der Spiegel, l’épidémiologiste Dr. Tom Jefferson de la Cochrane Collaboration, une organisation de scientifiques indépendants évaluant toutes les études ayant attrait à la grippe, a noté les implications de la privatisation de l'OMS et de la commercialisation de la santé :  
     
     « … une des caractéristiques extraordinaires de cette grippe -- et de toute la saga de grippe -- est qu’il y a certaines personnes qui font des prévisions année après année, et ils vont de pire en pire. Jusqu'ici, aucune de leurs prévisions ne s’est produit, et ces personnes sont toujours là à faire leurs prédictions. Par exemple, qu’est-il arrivé avec la grippe aviaire qui était censée tous nous tuer ? Rien. Mais cela n'a pas arrêté ces personnes à poursuivre leurs prévisions. Parfois vous avez le sentiment qu'il y a toute une industrie quasiment en attente qu’une pandémie se produise.  
     
     SPIEGEL : De qui voulez-vous parler? L'Organisation Mondiale de la Santé
    (OMS) ?  
     
     Jefferson : L'OMS et les hauts fonctionnaires de la Santé Publique, les virologues et les entreprises pharmaceutiques. Ils ont construit cette machine autour de la pandémie imminente. Et il y a beaucoup d'argent, d’influence, et de carrières, et d’établissements entiers impliqués ! …
     
     Interrogé si l'OMS avait délibérément déclaré l'Urgence Pandémique afin de générer un énorme marché pour les vaccins H1N1 et les médicaments, Jefferson a répondu :
     
     « Ne pensez-vous pas là est-vous quelque chose remarquable concernant le fait que l'OMS a changé sa définition de pandémie ? L’ancienne définition était un nouveau virus, qui circule rapidement, pour lequel on n’a aucune immunité, et qui génère une morbidité et un taux de mortalité élevés.
    Maintenant les deux dernières clauses ont été abandonnées, et voila comment la grippe porcine a été classée en tant que pandémie. »  
     
     Le parlementaire et président du Comité pour la Santé de la Douma Russe, Igor Barinow, a demandé au représentant russe de l'OMS à Genève d’ouvrir une enquête officielle sur les preuves croissante de la corruption massive de l'OMS par l'industrie pharmaceutique.  
     
     « Il y a de graves accusations de corruption au sein de l'OMS, » a déclaré Barinow. « Une Commission d'Enquête internationale est demandée en urgence. »  
     
     Depuis des décennies, les mêmes personnes, ou les mêmes groupes de personnes, travaillant pour les intérêts des compagnies pharmaceutiques et rémunérés très grassement (en millions de dollars) par ces mêmes compagnies, ne cessent d’annoncer des pandémies censées couter la vie à une grande partie de la population de la terre, à chaque fois, rien de cela ne se produit, par contre, les bénéfices de ces compagnies explosent à coup de milliards de dollars, grâce à la vente de vaccins et de médicaments antiviraux. La démission du Dr. Osterhaus ne changera rien, il n’est qu’un bouc émissaire parmi d’autres, c’est tout le système de l’OMS qu’il faut changer, ainsi que les organismes de la santé Publique des divers pays qui travaillent tous main dans la main pour les compagnies pharmaceutiques qui les rémunère et qui assure le succès de leurs carrière.


    votre commentaire
  • Les faux-culs

     


    votre commentaire
  • Le pic de la pandémie de grippe bientôt atteint

    L’Office fédéral de la santé publique a indiqué jeudi que le nombre de cas de grippe A est déjà en diminution en Suisse romande et en Suisse centrale. Le pic de la pandémie devrait rapidement être atteint sur l’ensemble du pays.

     

    La grippe A (H1N1) a provoqué une huitième victime. La personne décédée faisait partie d’un groupe à risque, a précisé jeudi Virginie Masserey, responsable de la section vaccinations auprès de l’Office fédéral de la santé publique (OFSP).

    La semaine dernière, 1730 nouveaux cas de grippe porcine ont été confirmés en Suisse pour un total de 10'580. Il s’agit d’une diminution par rapport à la semaine précédente (plus de 500 cas en moins).

    Le pic de la pandémie devait être atteint au cours des prochains jours. «La courbe devrait commencer à descendre à partir de Noël», a indiqué le directeur de l’OFSP Thomas Zeltner. La campagne de vaccination se poursuivra cependant jusqu’au mois de mars.

    Par ailleurs, selon une étude britannique publiée dans le British Medical Journal, le taux de mortalité de l’épidémie est «considérablement inférieur» à ce que l’on craignait dans un premier temps. Jusqu’au 8 novembre, l’étude n’a répertorié que 26 décès pour 100'000 cas de grippe (0,026%). A titre de comparaison, le taux de mortalité de la grippe espagnole de 1918 avait été de 2 à 3%.

    swissinfo.ch et les agences

    En France, on nous dit de nous gaver de Tamiflu....Ah oui, j'oubliais que nous étions moins cons que les autres !!!


    votre commentaire
  • AP | 10.12.2009 | 18:00

    A/H1N1: antiviraux recommandés pour tous les cas suspects de grippe...bizarre non?

    Pour lutter contre la pandémie A/H1N1, la Direction générale de la santé (DGS) recommande aux médecins de prescrire à compter de ce jeudi un traitement antiviral pour tous les cas suspects de grippe, et non plus seulement lorsque la suspicion est combinée à un facteur de risques.

    Pour qu'il y ait assez de médicaments disponibles, "nous allons mobiliser le stock stratégique de l'Etat", a déclaré jeudi matin Didier Houssin, directeur général de la santé, au cours d'un point de presse.

    Actuellement, les malades ont accès, sur ordonnance, au Tamiflu et au Relenza qui sont produits par les laboratoires et qui sont payants.

    A partir du 21 décembre au plus tard, seront disponibles gratuitement en pharmacies, toujours sur ordonnance, trois types d'antiviraux issus des stocks d'Etat: des gélules de 75mg de Tamiflu (pour les adultes et les enfants de plus de 40kg), du Relenza que l'on inhale, et des comprimés sécables Oseltamivir PG 30mg (à réserver de préférence aux enfants). Ces comprimés ont été fabriqués par la Pharmacie centrale des armées à partir de la poudre qui avait été achetée à un laboratoire en 2004 au moment de l'épidémie de grippe aviaire.

    Le traitement antiviral curatif (pleine dose pendant cinq jours) est désormais conseillé pour tous les cas suspects de grippe. Evelyne Falip, conseillère de la ministre de la Santé Roselyne Bachelot, souligne que "toutes les grippes que l'on voit (actuellement) sont des grippes A/H1N1".

    La DGS recommande de prescrire ce même traitement aux personnes ayant été en contact étroit avec un cas suspect et présentant un facteur de risque. Il leur est maintenant conseillé de prendre un antiviral à pleine dose pendant cinq jours, au lieu de la prophylaxie précédente (une demi-dose pendant 10 jours).

    Ces nouvelles recommandations s'appuient sur un avis rendu par les scientifiques du Comité de lutte contre la grippe (CLCG).

    "Ce n'est pas un changement de stratégie concernant la vaccination", a insisté Didier Houssin, en précisant que ces mesures venaient en "complément" à la politique d'immunisation.

    D'après les chiffres communiqués jeudi par le Directeur général de la santé, l'Etat dispose actuellement de 4 millions de traitements Tamiflu, 3,3 millions de traitements Oseltamivir et 9 millions de traitements Relenza.

    Selon le bilan du 9 décembre communiqué jeudi par le ministère de l'Intérieur, le dispositif de vaccination a atteint un niveau record à la fois au niveau du nombre de centres ouverts (981) et au niveau du nombre de personnes vaccinées (197.475). Au total, depuis le 12 novembre, plus de 2,7 millions de personnes ont été vaccinées, dont plus de 400.000 personnels de santé, et plus de 100.000 collégiens et lycéens. Pour le weekend du 12 et 13 décembre, les centres de vaccination seront ouverts dans les mêmes conditions que celui précédent. La vaccination des personnes non-prioritaires doit commencer fin décembre.

    Depuis le début de l'épidémie, l'Institut national de veille sanitaire (InVS) a recensé 126 décès liés au virus A/H1N1 et 630 cas graves en France (selon le point de situation au 8 décembre 2009).

    Roselyne Bachelot a déclaré mercredi que près de quatre millions de personnes avaient été infectées depuis le début du mois d'août.AP

    Cet article est pour le moins étrange, d'autant plus quele même jour sur d'autres médias nous trouvons ceci :

    Désintérêt et déclin...
    jeudi 10 décembre

    En France, la grippe porcine serait sur la pente descendante, tout comme dans de nombreux pays. Pour le réseau SOS Médecins, l’activité diminue dans la plupart des régions et, à l’hôpital, la diminution du nombre de passages aux urgences pour grippe se poursuit.

    En Allemagne, l’État fédéral de Brême a fait savoir qu’il voulait annuler le contrat qu’il avait conclu avec les compagnies pharmaceutiques, au sujet du vaccin contre la grippe porcine, à cause du manque d’intérêt de la population pour ce vaccin. Selon les estimations des autorités, 4 % seulement de la population de Brême a été vaccinée, ce qui laisse à l’Etat plusieurs millions de doses de vaccins inutilisés dont la facture s’élève à 30 millions d’euros.

    Sylvie Simon

    Grippe A : le virus mutant se propage-t-il déjà à notre insu, dans le mutisme de l’OMS ?

    Le mutisme de l’OMS n’est pas une nouveauté. Dans son communiqué du 27 novembre dernier (1), le monde apprenait avec stupeur que le mutant D225G avait été détecté dans plusieurs pays depuis … 6 mois, sans qu’un seul de ses communiqués précédents en fasse mention. Les autorités médicales françaises n’ont rien à envier à l’OMS en matière de mutisme. Toujours le 27 novembre, on apprenait (2) que la mutation était présente en France, relativement à un décès datant de … septembre, soit 2 mois auparavant. Délai justifié par « un travail d’identification beaucoup plus long ». Des cas jugés « sporadiques » par les autorités sanitaires, c’est-à-dire une génération spontanée qui ne se propage pas par contamination, notamment en France où l’on a parlé de « deux cas isolés ».

    Mais la non-contagion du virus mutant annoncée par l’OMS est-elle certifiée par une base scientifique ou une certitude statistique, ou plutôt est-elle une prudence d’annonce en l’attente d’une preuve irréfutable de la contagion du mutant ? Voire, au pire, le masque mal fardé d’une ignorance peu avouable, comme le suggérait le Dr Keiji Fukuda (3) « : « Nous ne somme pas sûrs ».
     
    Cela fait maintenant plus d’un mois que l’apparition du mutant D225G est attesté en Ukraine sur au moins 4 cas. Les informations relatives aux échantillonnages tardent toujours à venir et tombent au compte goutte malgré la profusion des décès, suspects quant à la soudaineté de leurs irruptions (près de 500 décès en 5 semaines). Pire encore, l’OMS est en déni (4) de réalité (5), refusant de reconnaître la propagation du H274Y, souche résistante au Tamiflu, et se contente de parler de rôle « incertain » (« contributing to these deaths is uncertain »). Le 4 décembre, le nombre de cas officiels réputés résistants au Tamiflu a explosé au cours de 2 semaines précédentes, passant de 57 à 96 (6).
     
    Ce déni relatif à la propagation du H274Y, et la manière qu’a l’OMS de traîner les savates à publier les échantillons des décès d’hémorragies pulmonaires augurent-ils de ce que tout le monde redoute, la diffusion généralisée du H274Y et, pire encore, du D225G ?
     
    En ce qui concerne ce dernier, le redoutable D225G que certains analystes ont déjà comparé à la grippe espagnole, diverses annonces disparates semblent étayer cette hypothèse :
     
    - Le CDC vient d’ajouter à la base du GISAID le cas A/Utah/42/2009 d’un patient de l’Utah révélé positif au D255G et D225N, ce qui soulève des inquiétudes de pandémie (7)
     
    - Le NIH vient de publier (8) le descriptif de 34 cas à New-York ayant subi des « symptômes voisins de la grippe espagnole de 1918, qui a eu un taux de mortalité très élevée », et il s’agirait du changement de domaine de liaison récepteur D225G, qui provoque un épanchement de sang dans les poumons, et qui serait faiblement réactif au vaccin. Les autopsies ont été pratiquées suite à des décès survenus entre mai et juillet (donc depuis plus de 6 mois). Noter également l’étrange remarque du Dr Taubenberger qui compare l’affection non seulement à la pandémie de 1918, mais à celle de 1957, qui était … aviaire !?
     
    - Le 22 novembre, c’est 21 cas similaires signalés dans l’IOWA (9), saignements abondants dans les poumons.
     
    - Plus récemment, Un article du Spiegel (10) fait état d’une « peste pulmonaire identique à l’Ukraine » qui vient de faire son apparition en Russie, à Satarov. Etant maintenant avisés que la peste pulmonaire ukrainienne était en fait le mutant D225G, conformément aux résultats publiés à Hill Mill, doit-on conclure de cette information que le mutant à commencé sa propagation en Russie ?
     
    - Un communiqué du CDC (11) témoigne de la parfaite connaissance des autorités américaines de la mutation sur leur sol, et de ses effets désastreux sur l’appareil respiratoire inférieur. On remarquera que le conférencier fait également référence, comme le Dr Taubenberger, à la pandémie de 1957, pour laquelle « il y a eu un accroissement important de cas graves et décès en décembre, janvier et février. Nous ne savons pas si ça arrivera cette année ». Pour la première fois, un ratio apparaît. La « mutation norvégienne » serait en cause dans moins de 10% de cas graves [du virus H1N1 non muté].
     
    La grande facilité liée aux statistiques, si volonté délibérée il y a de masquer le phénomène, est de noyer le poisson. Le D225G est toujours H1N1. C’est une grippe A. Il est donc tout indiqué, le cas échéant, de balancer les décès dus au mutant dans la grande fosse commune des déshérités de la grippe A grand public (voire même d’agiter médiatiquement, le spectre des violents SDRA, une sorte de false flag biologique, personne ne saura que le SDRA mis en épouvantail avant analyse était à mettre sur le compte de la mutation). Tant qu’il n’y a pas trop de décès dus à une cause étrangère, ça passe en perte et profit. Quand la quantité deviendra trop criarde pour être mise sous le tapis, il sera toujours tant de parler de délai justifié par « un travail d’identification beaucoup plus long ». La France a déjà gagné 2 mois avec cette subtilité. Si la mutation se propage déjà, on devrait donc le savoir au plus tard en février. Le temps de laisser passer les fêtes.

    votre commentaire
  • Un mystérieux phénomène lumineux apparaît dans le ciel nocturne norvégien

    <script type="text/javascript">// <![CDATA[ GA_googleFillSlot("MAXISCIENCES_RG_ARTICLE_SCIENCES_468x60_HAUT"); // ]]></script>
    • le phénomène lumineux
    • la spirale lumineuse s'est atténuée au bout d'environ 2 minutes
    • elle s'est ensuite transformée en un large halo de lumière blanche
    • seule la queue de lumière bleue accompagnant la spirale était ensuite visible
    • gros plan sur le phénomène
    • une autre vue de la spirale après son élargissement en halo de lumière blanche
    • un autre gros plan du phénomène lumineux

     

    Paru le 2009-12-10 12:43:00

    Observé la nuit dernière par des milliers de personnes médusées, ce phénomène lumineux visible sur plusieurs centaines de kilomètres à la ronde dans le ciel norvégien laisse les scientifiques interrogatifs.Tir de missile, manifestation astrale inconnue, trou noir, météorite ? Les théories, parfois très farfelues, ne manquent pas mais aucune explication officielle n'a encore été donnée.


    votre commentaire
  • S&P place la note de l'Espagne sous surveillance négative

    [ 10/12/09  ] <script language="Javascript" src="http://commentaires.lesechos.fr/onglet2.php?id=020261450938"></script>

    L'agence de notation, qui avait rabaissé à AA+ la note de la dette à long terme, au mois de janvier, s'inquiète de la détérioration persistante des finances publiques espagnoles. Après la Grèce, la pression monte sur l'Espagne.

    GILLES SENGÈS, Les Echos
    DE NOTRE CORRESPONDANT À MADRID.

    Alors que José Luis Rodriguez Zapatero présente, aujourd'hui, le rapport économique 2009 devant les partenaires sociaux, et que le Trésor s'apprête à émettre, ce même jour, de 2 à 3 milliards d'euros d'obligations à dix ans, Standard & Poor's (S&P) a jeté un froid, hier, en Espagne. Après avoir baissé, début janvier, à AA+, la note de la dette à long terme du pays, l'agence de notation l'a placé sous surveillance négative pour les deux ans qui viennent. Ce qui, ajouté à la décision de Fitch de dégrader, mardi, la dette grecque de A-à BBB+, augmente la pression sur les « PIGS », acronyme anglais pour englober le Portugal, l'Italie, la Grèce et l'Espagne, les enfants malades de l'Europe.

    Inquiet de la détérioration des finances publiques de l'Espagne, qui figure parmi les derniers grands pays de l'Union à ne pas être encore sortis d'une récession entamée il y a quinze mois, S&P évoque l'absence de mesures plus agressives de la part des autorités pour faire face aux déséquilibres fiscal et extérieur. Pour nourrir ses craintes, l'agence liste, pêle-mêle, le risque d'une reprise écono mique faible, un endettement privé très élevé représentant 177 % du produit intérieur brut (PIB) et un marché du travail rigide. Ce qui pourrait nourrir des pressions déflationnistes. Selon l'agence, la dette, jusque-là bien contenue, pourrait représenter 67 % du PIB à la fin 2010 contre 54,3 % au 31 décembre 2009.

    Taux de chômage proche de 20 %

    L'Espagne, qui a encore enregistré un recul de son PIB de 0,3 % au troisième trimestre et de 4 % en glissement annuel pourrait renouer avec des chiffres légèrement positifs à la fin de ce trimestre ou lors des trois premiers mois de 2010 grâce à la reprise de ses exportations. Mais le bout du tunnel n'est pas encore en vue. Avec un taux de chômage qui s'apprête à avoisiner les 20 % (près de 4,5 millions de personnes), la consommation n'est pas près de redémarrer selon les spécialistes, en désaccord avec les prévisions du gouvernement Zapatero pour les années qui viennent. Croyant dur comme fer être en mesure de ramener les déficits publics en dessous des 3 % en 2013 comme le lui a imposé Bruxelles, Elena Salgado, la ministre de l'Economie et des Finances, table pour cette année sur un solde négatif de 9,5 % et de 8,1 % l'an prochain quand le consensus parle de 10,4 % pour 2009 et de 10,5 % en 2010.

    Pas d'inquiétude

    Les prévisions gouvernementales diffèrent aussi en matière de croissance pour 2009 (- 3,6 %) et 2010 (- 0,3 %) avec celles des experts pour cette année (- 3,7 %) et l'an prochain (-0,6 %). Ce qui nourrit la crainte des marchés selon lesquels le pouvoir en place n'a pas pris conscience de la gravité de la situation. Hier, le ministère de l'Economie expliquait qu'il « respectait » la décision de S&P mais « ne la partageait pas » et qu'il n'y avait « pas de motifs de préoccupation ».


    votre commentaire